C’est une recette qui vient du sud-ouest, le pays basque pour être plus précise. J’ai eu l’occasion d’y goûter il y a quelques années, et c’était fort bon. Mais comme cela ne prononce pas du tout comme cela s’écrit, j’ai eu du mal à retrouver la recette. De passage chez Véro, il y quelques jours, dans ses livres de cuisine il y avait « La cuisine Basque ». Du coup j’ai retrouvé le nom de la recette. J’ai cherché sur Marmiton. Et avec tous ces tuyaux voilà un savant mélange qui demande un peu de préparation mais qui permet d’avoir un plat complet : viande et légumes et qui a l’avantage de se préparer à l’avance et d’être encore meilleur réchauffé. Bref j’adore ce genre de plat.

Pour 4 personnes

  • 700 gr de veau (du genre blanquette)

  • 1 poivron vert

  • 1 poivron rouge

  • 1 oignon

  • 1 gousse d’ail

  • ½ l d’eau

  • 1 bouillon cube

  • huile d’olives

  • sel et poivre

  • 1 cuillère à café de piment d’espelette

  • Pommes de terre environ une dizaine (dépend de l’appétit des convives)

Éplucher l’oignon et l’ail, les faire revenir dans une sauteuse avec l’huile d’olive. Baisser le feu. Ouvrir les poivrons, enlever les filaments blancs et les graines, couper en petits morceaux et rajouter au mélange oignons-ail. Laisser revenir le temps de couper la viande en tout petit morceaux (dans certains recettes elle est même hachée). Ajouter la viande aux légumes. Faire revenir une dizaine de minutes. Ajouter l’eau avec le bouillon cube, le sel, le poivre et le piment. Peler les pommes de terre et les couper en cubes. Rajouter dans la sauteuse. Faire cuire environ ¾ d’heure. Surveiller le niveau d’eau dans la sauteuse de temps en temps et rajouter si nécessaire.

Pour imprimer : Axoa_au_piment

Dans la catégorie balades, ou cuisine ou personnages à rencontrer. Hier j’ai fait tout ça en visitant le Château Virant. Pour celles et ceux qui ont lu le Elle de la semaine dernière (daté du 31 juillet 2006) vous aurez certainement vu une page consacrée à Christine Cheylan et à l’huile d’olive de Château Virant.

Château Virant Olivier

Remarquez, j’ai un doute, ce n’est peut-être que dans l’édition Provence. Qu’à cela ne tienne, je m’en vais vous raconter ce qui se passe au Château Virant et ce que fait Christine Cheylan.

A l’origine Château Virant produit un coteau d’Aix en rouge, rosé et blanc. Fort agréables par ailleurs. Il y a quelques années, Christine Cheylan, la fille des propriétaires a voulu diversifier les activités familiales et a crée son moulin à huile. En dix ans, la production a pris son essor, et les huiles des médailles. 

Son principe est de fabriquer son huile à partir de fruits frais tout de suite après la récolte (fruité vert) et non à partir de fruits fermentés (fruité noir) comme cela se faisait traditionnellement. Ces huiles sont vendues dans des épiceries fines en France, et chez Oliviers and Co. Elles sont exportées dans 18 pays.

Chateau Virant

Et comme cela ne suffit pas, Christine Cheylan continue de créer de nouveau produits à base d’olives : (des sucettes basilic – olive (les enfants ont adoré) et pâtes de fruits aux olives (les parents ont adoré)) en collaboration avec Denis Fetisson, chef à l’Hôtel Daniel.

Château Virant Fontaine

Le nom du château vient du rocher au dessus de la propriété, qui sert de spot pour tous les clubs d’escalade de la région. (Même Miss Bobette a grimpé sur ce rocher !).

(La propriété avec ses oliviers vue du rocher Virant)

L’accueil de Christine Cheylan a été formidable. Elle nous a fait visiter sa propriété, et donné pleins d’explications sur la fabrication des huiles d’olives. Je vous passe les détails, allez voir vous-même.

Montagne Sainte Victoire vu du rocher Virant

Vue de la sainte Victoire, toujours du rocher.

Un site a été crée pour présenter le Château Virant avec une boutique en ligne pour trouver les vins et les huiles d’olive de la propriété. Vous saurez tout sur les vins et les possibilités de visites.

Dans l’article de Elle, Christine Cheylan parle d’une recette qu’elle fait à partir d’un fromage local le Banon.

Prendre un Banon (fromage de chèvre frais), le mélanger avec une vinaigrette préparée avec deux cuillères à soupe d’huile d’olive, une cuillère à café de vinaigre de vin rouge, une pincée de sel et de poivre et une gousse d’ail (pressé).

Banon à l'ail

Christine Cheylan recommande de le tartiner sur du pain grillé. Nous, le pain n’a pas vu l’ombre d’un grille-pain mais c’était fort bon.

Toujours dans un souci de conservation de mes tomates, j’ai essayé les tomates séchées. L’avantage du sud de la France en période de canicule c’est que le four n’est pas nécessaire.

J’ai coupé en quartiers autant de tomates que je pouvais mettre sur mon assiette. Je les ai saupoudré de sel et de thym.

 

Par contre il faut quelque chose pour protéger les tomates des mouches. J’utilise des paniers recouvert d’une mousselline.

 

Ensuite il faut les laisser à peu prés trois jours en plein cagnard. Au bout d’une semaine j’ai retrouvé ça :

 

Voilà cela réchauffera les plats d’hiver, ou je m’en servirai pour faire du pesto rosso. Je les conserverai dans un bocal en attendant.

Le retour de la tomate masquée !!!

Recette trouvée sur le oueb international ici

Encore une fois j’ai réduit les quantités pour voir si cela aurait du succès :

  • 800 gr de courgettes

  • 500 gr de tomates

  • 150 gr d’oignons

  • 2 gousses d’ail

  • environ 1 cm de gingembre (après épluchage, j’avais 20gr)

  • 500 gr de cassonnade

  • 1 cuillère à café de poivre noir en grains

  • 1 cuillère à soupe de sel

  • 1 cuillère à café de 4 épices

  • 1 pincée de piment (j’utilise encore un piment indéfinissable qui est assez fort)

  • 300ml de vinaigre de cidre

Laver et couper les courgettes en fines rondelles, peler les tomates puis les hacher grossièrement. Peler et émincer le gingembre et l’oignon, presser l’ail.

Mettre tous les ingrédients dans une marmite. Ajouter le sucre, les épices et le vinaigre. Faire cuire au moins une heure trente. Le mélange doit s’épaissir. Remplir des pots stérilisés et les retourner.

A consommer comme tout chutney qui se respecte avec des viandes froides.

 

Je vais peut être arrêter de prendre tout mes pots de confiture en photos, on ne voit pas la différence entre les chutneys et les confitures!!!!

 

 

Youpi encore de la tomate.

Pendant mes recherches de conserves de tomates, une amie m’a fait remarquer qu’elle faisait de la confiture de tomates comme avec n’importe quel autre fruit. 

 

Alors voilà ma confiture,que je vais faire tester par une copine à Paris. J’espère que son commentaire suivra.

Alors pour 500gr de tomates, 300gr de sucre roux type Cassonade et un bâton de cannelle.

 

Nettoyer et couper les tomates en quartiers ou plus petits si elles sont grosses. Mettre les tomates dans une casserole avec le sucre et laisser cuire environ 1 heure sur feu moyen. Le mélange doit s’épaissir. Remplir des pots stérilisés presque jusqu’au bord, mettre le couvercle et retourner le pot.

 

Remarque : il n’y a pas énormément de sucre alors je pense qu’il vaut mieux conserver cette confiture au frigo après l’ouverture des pots.

 

 

Cette sauce est à la base de nombreuses recettes qui suivront (certainement) :

La marinade :

  • 3 cuillères à soupe de ketchup
  • 5 cuillères à soupe de miel
  • 4 cuillères à soupe de sauce soja
  • 1 cuillère à café de gingembre en poudre (ou du gingembre frais haché)
  • 1 gousse d’ail pressé

Mélanger toutes les ingrédients dans un bol, poivrer mais pas de sel puisqu’il y a du soja.

Pour varier les plaisirs en option on peut mettre 1 cuillère à soupe de vinaigre de vin et/ou ½ cuillère à café de piment.

Ensuite pour les brochettes, j’ai pris 1kg sauté de porc, que j’ai coupé en cubes de 2 * 2cm environ (je n’avais quand même la règle à la main) et j’ai tout mis dans la marinade. Comme j’aime bien préparer à l’avance je fais mariner la viande toujours un jour avant, mais je crois que vous pouvez vous contente de quelques heures.

Ensuite l’ennui de cette recette, c’est qu’il faut enfiler les morceaux de viande dégoulinants de marinade sur des pics à brochettes. J’utilise des piques en métal, si vous voulez utiliser des piques en bois ou en bambous, il est utile de les laisser tremper dans l’eau quelques mn pour pas qu’ils s’enflamment sur le barbecue.

Ensuite 20 à 25mn sur le barbecue. Je n’ai même pas eu le temps de prendre une photo…..

e_barbecue

Encore des tomates. Mais qui a dit que je ne savais pas quoi faire de mes tomates ? C’est vrai qu’elles se bousculent un peu. Alors pour varier les plaisirs et pour voir, j’ai essayé de faire un chutney à la tomate. Je garde un trés bon souvenir du chutney à la tomate de Marks and Spencer qui accommodait bien les restes de viande froide. Donc me voilà à la recherche d’une recette. Vous ne serez pas étonnés de savoir que je l’ai trouvé chez Marmiton, ici même.

Comme je ne voulais pas faire des quantités industrielles, voici ce que j’ai fait pour essayer :

Pour un pot de 750gr environ :

  • 750 gr de tomates
  • 125 gr d’oignons
  • 125 ml de vinaigre de cidre (au lieu du vinaigre de vin blanc)
  • ½ cuillère à café de piment
  • ½ cuillère à café de gingembre en poudre
  • 50 gr de cassonnade
  • sel

Pour peler les tomates j’ai utilisé mon outil miracle. Couper les tomates en morceaux, et le mettre dans une casserole. Peler l’oignon et le mettre à blanchir 5 mn dans l’eau bouillante avant de le hacher. Rajouter aux tomates.

Ajouter dans la casserole le vinaigre, le sucre, les épices et le sel.

Mélangez le tout, et faites cuire à feu doux une heure en remuant. La préparation doit épaissir. Mettez en pots.

D’après la recette originale il faut attendre un mois avant de consommer, d’après un des commentaires ce n’est pas nécessaire. Nous avons attendu une semaine pour le goûter avec du poulet rôti froid.  J’ai peut-être forcé un peu la dose du piment, mais c’est à vous de voir. Super, j’ai trouvé un moyen pour conserver mes tomates.

D’accord j’ai beaucoup de recettes avec des tomates, mais d’abord c’est la saison et ensuite mon jardin croule sous les tomates. Je cherche des recettes et des astuces pour conserver les tomates en bocaux, je crois avoir trouvé des idées chez Marmiton (bien sur), nous allons bientôt tester un Chutney.

En plus en ce moment, je cherche des recettes qui se préparent à froid et qui se mangent froides. On se demande bien pourquoi :

Prévisions pour aujourd’hui 14h, vous les voyez les 37° Arhhhhh

Une amie m’a parlé d’une recette de soupe froide à la tomate. Non, pas du gaspacho : que de la soupe à la tomate sans poivrons et sans concombre. C’est une recette Espagnole (quelle surprise). Elle me dit les ingrédients et voilà à ma façon, (je n’avais qu’une idée approximative des quantités) une soupe à la tomate. Elle répond à mes critères du dessus donc banco.

Pour 4 personnes :

  • 650 gr de tomates
  • 80 gr de pain rassis
  • une gousse d’ail
  • 6 cuillères à soupe d’huile d’olive
  • 2 cuillères à soupe de vinaigre
  • sel et poivre

Laver et couper les tomates en morceaux, mettre dans le bol mixer du robot. Ajouter le pain coupé en petits morceaux, la gousse d’ail pressé, l’huile et le vinaigre. Mixer quelques instants. J’ai ensuite salé et poivré. (Si la consistance ne vous parait pas assez liquide, vous pouvez rajouter une tomate ou deux).

Mettre au frais quelques heures et servir avec une feuille de basilic.

Soupe froide à la tomate

 

Dans la catégorie estivale et facile à faire (c’est-à-dire comme j’aime) voici un autre plat que j’aime beaucoup et que j’ai également piqué à Luolan.

Un mélange de poivrons de toutes les couleurs sautées à l’huile d’olive. Non seulement c’est jolie à regarder, mais c’est bon chaud ou froid.

Pour les quantités c’est selon le nombre de personnes. Je compte environ un poivron et demi par personne.

  • Des poivrons verts, rouges, jaunes et orange.

  • Sel et poivre

  • Huile d’olive

Laver les poivrons, les couper pour enlever les filaments et les graines. Couper en morceaux de taille moyenne.

Faire chauffer l’huile dans une sauteuse ou une poêle. Mettre les poivrons. Faire chauffer à feu fort quelques minutes en remuant. Puis baisser le feu et toujours en remuant faire cuire une dizaine de minutes. Saler et poivrer. Servir….

Pour varier les barbecues et pour utiliser les courgettes qui commencent à nous envahir, voici des brochettes toutes simples mais très goûteuses :

J’utilise maintenant des brochettes en métal mais si vous utilisez des brochettes en bois ou en bambous, penser à les tremper cinq minutes dans l’eau avant de vous en servir, cela évite qu’elles brûlent.

  • Un poivron rouge,

  • Des tomates (le nombre dépend de la taille)

  • Des courgettes

  • Des petits oignons blancs

Préparer les légumes :

Poivrons : laver, couper en deux, enlever les filaments blancs et les graines ? Couper en morceaux de 2 à 3 cm.

Oignons : laver et couper selon la taille en deux ou en quatre

Tomates ; laver et couper selon la taille en deux ou en quatre

Courgettes : laver et couper en tronçons ou en demi tronçons selon la taille.

Mettre sur une brochette selon votre goût une alternance de légumes, jusqu’à épuisement des légumes. En général quand on presque fini les légumes, on s’aperçoit qu’il reste pleins d’une sorte et pas de l’autre donc on est obligés de recouper…

Mettre les brochettes dans un plat, verser un filet d’huile d’olive dessus, saler, poivrer et éventuellement un peu de thym et/ou du romarin.

Faire cuire au barbecue environ 10 mn. Les légumes seront très peu cuits. Mais nous c’est ce que l’on aime.

Encore une fois rien de bien sorcier mais agréable à faire et à manger

Même réflexion que pour le curry : il y a pleins de versions différentes de tandoori, voici celle qui plait à ma famille.

 

  Il me reste encore de la poudre de chez Sharwood’s, (contrairement au curry).

 Ingrédients : 

  • 800gr de pilons de poulet (dans mon cas cela faisait 8 pilons)
  • 3 yaourts brassées
  • 3 cuillères à soupe de poudre de tandoori
  • sel et poivre
  • jus d’un demi citron

Mélanger dans un plat ( plat à gratin, pas trop profond mais large) les yaourts, la poudre à tandoori, le jus de citron, le sel et le poivre.

Inciser de plusieurs coups de couteaux  les pilons (cela permet à la marinade de mieux aromatiser la viande).

 Laisser mariner. Je préfère le faire toujours la veille, ce qui vous donne entre 12h et 24h.

Ensuite, dilemme : four ou barbecue. D’habitude, je mets au four pendant ¾ d’heure à 200 ° en retournant les morceaux à mi-course. Cette fois ci j’ai refilé le BB à Bob qui les a fait cuire 30mn sur le barbecue. Il a trouvé que ce n’était pas très pratique à faire cuire, et nous nous avons trouvé un peu cramé mais avec un très bon goût de tandoori. On refera au four l’hiver prochain, a moins que Bob change d’avis.

 Monsieur Bob dit que la photo du poulet avant cuisson n’est pas montrable, c’est vrai que la yaourt rose. Bof !! Et la photo après cuisson, je n’ai pas eu le temps de la faire. Désolée

J’ai trouvé cette recette sur le blog de Pascale Weeks (qui ne fait pas que du sucré). Je n’ai pas suivi les quantités à la lettre (comme d’habitude j’ai fait la recette avec ce que j’avais à la maison), mais plutôt l’idée générale qui est de faire cuire la ratatouille au four. Les tomates deviennent confites, et surtout il a une super bonne tête, contrairement à la « mochebouille » ou gloubiboulga que je fais d’habitude.

J’ai attendu un moment avant de la faire, je pensais qu’elle prendrait plus de temps à préparer qu’une rata normale. En fait, non, de toute façon il faut couper tous les légumes. Donc je vous conseille fortement cette recette. Elle se mange froide  ou chaude, c’est un délice.

Chaque fois que Luolan fait son taboulé, je le trouve formidable, pas sec, goûteux. Bref j’adore. Chaque fois que je le fais, il est sec. Grrrr

Sauf hier, youpi. Elle le fait avec 800gr de tomates, moi il m’en faut 1kg pour éviter la sécheresse.

Avant de vous donner sa recette, je voulais vous montrer le dernier ustensile de cuisine que je me suis acheté (à La Carpe à Paris, rien que ça ma chère !!! avant de m’apercevoir que chez Casa à 800m de chez moi il le vendait aussi, re-Grrr. Heureusement au même prix ).

 

Couché sur le dos :

 

 

vu de profil :             

 

 

C’est un éplucheur de tomates, accessoirement de poivrons, de gingembre et de kiwis. C’est géniale, plus besoin de se brûler les doigts pour éplucher les tomates (que du coup je n’épluchais pas, pour me simplifier la vie).

 

 

 

Alors pour le taboulé de Luolan, c’est parfait.

Voici les proportions :

  • 800 gr de tomates (j’ai mis 1 kg)

  • de la menthe

  • du persil (elle n’en mets pas)

  • 250gr de semoule

  • le jus d’un citron ou un et demi

  • un ou deux oignons

  • 6 cuillères à soupe d’huile d’olive.

  • Sel et poivre.

Donc éplucher les tomates et les oignons, les couper en quartiers et mettre dans le mixer avec le persil et la menthe lavé et séché. Mixer jusqu’à l’obtention d’un « jus ». Verser sur la semoule. Rajouter l’huile d’olive et le jus de citron, sel et poivre; bien mélanger. Laisser au frais quelques heures (minimum 3heures).

 

Voilà ce qu’il en restait :

 

J’adore le beurre d’escargot, mais à part les escargots avec quoi le manger ? J’aime bien les escargots aussi, mais on ne peut pas en manger tous les jours quand même.

Donc hier en regardant dans mon frigo, j’ai vu un paquet de champignons qui se morfondait. Un éclair de génie (si si) ma frappé et je me suis lancée dans les champignons de paris au beurre d’escargot.

 

Pour 400 gr de champignons de paris de taille moyenne

  • 60gr de beurre mou
  • du persil (j’ai utilisé celui de Monsieur Picard)
  • une gousse d’ail pressé

Mettre le four à chauffer à 210°.

Nettoyer les champignons, enlever le pied. Mélanger le beurre avec l’ail et le persil. Remplir les champignons du mélange. Mettre au four pendant 30mn à 45mn.

 

Cela sent très bon, et en plus c’est délicieux.

Cela fait plusieurs fois que je fais cette recette de Pascale Weeks, elle est dans son livre Cookies, muffins & Co en version Banane-Noix ou ici en version Chocolat.

 

Les enfants me la réclament souvent et elle est vraiment très facile à faire.

Voici des photos de ce merveilleux gâteau maintenant que j’ai compris comment utiliser la fonction « maquereaux » de mon appareil grâce au conseil de Dolgo.

Dans la catégorie, je prépare tout avant et puis je ne m’en occupe plus pendant une heure. J’adore ces plats se font vite. En plus je n’aime pas trop les odeurs de poisson dans la maison, donc la cuisson au four est parfaite.  Voilà ce que nous avons mangé hier soir.

Pour 5 personnes

  • 5 filets de poisson (j’ai pris des filets de daurade sébaste chez Mr Picard)
  • 2 à 3 courgettes
  • 2 à 3 tomates
  • 1 oignon
  • de l’huile d’olive
  • le jus d’un demi citron
  • Sel et poivre
  • Du thym et du romarin

Préchauffer le four à 200°.

Je tapisse le fond du plat à gratin avec des rondelles de courgettes, je pose les filets de poisson par-dessus, ensuite je mets des tomates coupés en tranches sur le poisson. L’oignon coupé en tranches par-dessus. Un filet d’huile d’olive versé sur le poisson, ainsi que le jus de citron. Saler poivrer et mettre le thym et le romarin, puis au four pour une heure.

 

Remarques : sur les quantités, pour tapisser mon plat à gratin, deux à trois courgettes suffisent selon la taille. A vous d’ajuster. Les tomates elles donnent le jus, donc plus vous en mettrez plus vous aurez du jus, dans ce cas j’en ai mis cinq ou six toutes petites. Quelque fois je mets comme poisson des blocs de cabillaud du genre carré.

 

On ne voit pas le poisson, mais il est bien en dessous, les tomates sont presque confites. Je l’ai servi avec un mélange semoule et autres céréales.