Dans la continuité de mon post d’hier voici la confiture de cerises. Toujours les griottes de La Grive. D’ailleurs c’est elle qui m’a dit ne jamais faire de confiture de cerises because trop de boulot à les dénoyauter.

Pfff c’est bien vrai. Et encore je suis partie avec seulement 1 kg de cerises, mais c’est long à dénoyauter. Ptit Bob qui trouvait mon petit ustensile bien rigolo (il a quand fallu que je m’équipe d’un de ces trucs qui ne vont plus jamais servir juste pour satisfaire ma curiosité) a voulu essayer. Je tourné le dos 2mn pour sortir la casserole et j’entends « ce n’est plus rigolo Maman ». Et donc j’ai continué mon dur labeur toute seule. Surtout qu’à la première bouchée j’ai trouvé un noyaux et mon ptit chéri me dit « il me semblait bien que j’en avais loupé ». Grrr

Ingrédients :

  • 900gr de cerises dénoyautées
  • 750 gr de sucre à confiture

Mélanger les cerises avec le sucre pour que le sucre fonde. Je laisse macérer environ 20mn et puis cuisson à feu fort puis moyen. Je ne peux pas vous donner une durée puisque mon test* pour savoir si elle était prête n’a pas marché et il a fallu que je recommence le lendemain.

 

Mais par contre le boulot en valait la peine, elle est très très bonne cette confiture.

 

 

 

 

*une cuillère de confiture sur une assiette. Attendre quelques instants, voir si la confiture a figé. Et vous vous faites quoi comme test, parce que clairement le mien n’est pas au point !

Je sais c’est carrément facile comme titre mais c’est vraiment le moment d’en profiter, surtout si vous avez la chance de pouvoir en cueillir. De mon coté c’est un peu mitigé, j’ai un beau cerisier au milieu d’un groupe de chênes. Je pense qu’il est arrivé là par hasard et personne ne l’a taillé. Donc j’ai ramassé des cerises deux fois seulement et juste de quoi faire des clafoutis. Les cerises qui restent me narguent mais je ne peut pas les attraper. Snif.


Heureusement, La Grive m’a proposé de venir en ramasser chez elle. Elle a un griottier qui est superbe. Lui au moins il a été taillé pour qu’on puisse ramasser les cerises facilement. En quelques instants nous avions ramassé plusieurs kilos et nous avons pu rejoindre Bob et Le Merle que la cueillette n’intéressait pas du tout !

Et là le résultat des courses c’est de la confiture à se rouler par terre et des cerises du soleil comme dit si joliment La Grive. J’ai déjà fait cette recette l’an dernier mais pas avec ce joli nom. D’ailleurs ces cerises étaient un délice, nous en avons encore un peu mais il était temps que j’en refasse.

Pour le clafoutis, la recette me vient de Luolan qui va certainement nous expliquer de qui elle l’a tient si elle a fini de passer ses examens de Chinois !

Ingrédients :

  • 3 cuillères à soupe de sucre
  • 3 cuillères à soupe de farine
  • 1 paquet de sucre vanillé
  • 2 œufs
  • 1 cuillère à soupe de crème fraîche
  • Quantité suffisante de lait 

Préchauffer le four à 190°.

Mélanger tous les ingrédients, et ajouter du lait jusqu’à une consistance de pâte à crêpes. Beurrer un moule ou des moules individuels. Mettre des cerises dedans dénoyautés ou pas, mais avertissez lesmangeurs ! Verser le mélange dessus. Mettre le moule au four pendant 25mn.
Sortir le moule, verser un peu de sucre dessus et remettre 5mn.

Juste pour la rigolade, pour mon premier clafoutis j’ai voulu faire la maligne et utiliser mon sucre tip-top : la rapadura, bio et complet et tout et tout. Celui qui ressemble à du ciment gris vert. Ce n’était pas du tout une bonne idée, le clafoutis est devenu vert et en plus les photos étaient flous donc je ne pourrais pas vous montrer. Cela étant dit c’était très bon, juste inmontrable.

gâteau Cardamome café

J’adore le café, et j’adore la cardamome. J’aime même les deux ensemble, et j’avais envie d’essayer de faire un gâteau café-cardamome.

 

Alors un petit tour sur Google, mais chercher coffee cake sur Google c’est râpé. Le coffee cake étant par principe un gâteau que l’on mange en buvant son café, idem sur les sites Suédois. Eux, ils disent kaffebröd ce qui veut dire littéralement « pain de café ». Les Kanelbullars rentrent dans cette catégorie. Et si on cherchait en Français (pourquoi faire compliqué quand c’est si simple….): en fait il y a pleins de recettes mais avec des petits beurre ou avec de la crème de café, du café en poudre, de l’extrait de café ou je ne sais quoi d’autre. Chez les bonheurs de Sophie j’ai même trouvé une recette avec de la cardamome. Je suis partie de la recette de Tasca d’Elvira et j’ai un peu changé les ingrédients pour rejoindre celle de Sophie….

Ingrédients :

  • 3 œufs
  • 250gr de sucre cassonade
  • 200gr de farine à levure incorporé
  • 2 expressos bien fort
  • 1 grosse cuillère à café de cardamome moulue
  • 5 cuillères à soupe d’huile neutre

Faire chauffer le four à 190°.

Battre les œufs avec le sucre, ajouter l’huile, le café et la cardamome. Bien mélanger. Ajouter la farine. Mettre dans un moule beurré ou dans un moule mou et au four pendant 35mn.

 

Je pense que la prochaine fois je mettrais un petit plus de café, mais c’était très bon avec mon thé de 5 heures.

Dans la série, on se débrouille sans appareil en plus dans la maison, cela faisait longtemps que je voulais essayer de faire des yaourts maison.

Bob m’a dit dans des termes très très clairs qu’il n’était pas envisageable qu’une yaourtière passe la porte de cette maison. Et pourtant c’est drôlement économique (en général c’est un argument qui marche) mais comme d’hab si c’est pour faire quelque chose que l’on trouve tout prêt et bon dans un commerce à proximité il n’est pas question d’essayer d’en faire soi-même. Franchement perdre du temps à faire ça c’est idiot. Venant de quelqu’un qui prévoit de peindre la vague d’Hokkusai sur le mur du fond du salon (environ 2.5m *3m) alors qu’on pourrait acheter un poster, je le trouve gonflé.

Bon, mais comme j’aime bien avoir le dernier mot, j’ai voulu essayer de faire des yaourts toute seule. Sans yaourtière il y a la solution cocotte minute. Zut de flûte, encore un truc que je n’ai pas. Et puis il y a la solution four. Ça j’en ai un. Sur le web on trouve pleins d’explications, les deux blogs que j’ai lus et relus pour m’en imprégner et inspirer sont Les culino-tests et les yaourts de Samia. Je ne vais pas vous cacher que mon premier essai ne fût pas concluant et les sarcasmes de mon chéri à la hauteur de son prétendu triomphe. Ils étaient bons mais très liquide. Donc re-belote hier et ta-ta voilà :

Super bons, très crémeux (trop d’après Bob junior qui n’aime pas le lait entier et gnia gnia gnia, c’est quand que ça finit cette période casse pieds….) et pas acide pour deux sous. Comme a dit C. une petite invitée : « ils sont aussi bons que ceux dans les magasins ».  Si c’est pas un critère ça !

 Ingrédients pour 8 yaourts ou plus

  • 1 litre de lait entier
  • 1 yaourt au lait entier
  • 1 cuillère à soupe de lait en poudre

 Préchauffer le four à 40°.

Faire bouillir le lait puis le laisser refroidir jusqu’à 40°. C’est-à-dire quand vous ne vous brûlez plus le doigt en le trempant dans le lait. Ajouter le yaourt bien battu et la cuillère de lait en poudre. Bien mélanger. Répartir dans des pots en verre. Mettre les pots au four pendant 1h30. Ensuite éteindre le four et laisser refroidir pendant 4h. Mettre les couvercles si vous en avez (moi non !) et mettez au frigo quelques heures.

 Yaourts maison

Petits conseils :

Il semblerait que le lait en poudre ne soit pas toujours nécessaire si vous utilisez du lait entier mais mon premier essai de yaourt sans n’avait pas marché et mon deuxième essai avec du lait en poudre était réussi. Donc….

Certains conseillent de ne pas mélanger le yaourt ou ensuite le mélange lait-yaourt avec des cuillères en métal, cela pourrait compromettre la prise du yaourt.

Ne laissez pas bouillir le lait trop longtemps (comme moi environ 15mn) vous aurez moins de yaourts au final.

 Et « last but not least » il y a  pleins de déclinaisons chez Samia, elles ne sont peut-être pas toutes possibles sans yaourtière mais cela vaut la peine de s’y  intéresser.

Faire la cuisine pour ce blog en général est une lutte incessante contre le suréquipement. Encore une fois c’est une conversation que j’ai eu avec Luolan qui me fait écrire ce post.

Il me faut de plus en plus d’épices (poivre de jamaique, merci Garance, du massalé, merci La Grive) pour essayer les merveilles vues sur les blogs, et des pots (merci qui??) pour les ranger.

Des ingrédients que je n’avais jamais vu ont tout à coup une place dans mes placards (Perles du japon ou agar-agar ).

Je ne vous cache pas que j’ai acheté quelques jolis contenants pour essayer de faire des photos un peu différentes (pourvu que Bob ne lise pas mon blog aujourd’hui).

Mais là ou j’ai mis une limite (en fait c’est Bob, mais ça fait mieux de dire que c’est moi) ce sont les appareils. Non, la machine à pain (je sais, on a des super boulangeries juste à coté de chez nous), la super Kenwood ou Kitchen Aid rouge de préference (ahhhhh Anne, chaque fois que tu t’en sers je suis prise de jalousie), la yaourtière (bon d’accord, je vais essayer de les faire au four), le rice-cooker (j’aimerai bien pourtant, ils sont vraiment pas chers chez Paris Store) et le moulin à café pour moudre le sarrasin (recette de Laurence Salomon vu sur Cuisiner en ligne, mais je crois honnêtement que Bob tomberait en syncope si je ramenais ça) ne passeront pas ma porte.

Cela étant dit je suis quand même assez persuadé que ce n’est pas l’ustensile (même si ça aide bien) qui fait la cuisine mais bien le cuisinier. C’est juste que le chant des sirènes du marketing fonctionne très très bien avec moi.

 

Par contre il me faut des moules mous à tartelettes, cela ne peut plus durer, je ne peux pas continuer à les emprunter à chaque fois que j’en ai besoin. Et là, Mamina a fait une recette qui me fait des clins d’œil, à se demander si elle n’aurait pas un tic (la recette bien entendu, pas Mamina). Elle utilise une petite crème citronné mais on peux aussi utiliser du lemon curd.

Tiens, j’en ai fait ! Cela fait un certain temps que cela me démangeait d’essayer cette recette. Entre autres pour amadouer mon chéri qui n’est pas à moitié Britannique pour rien et qui adore ça. J’ai pris celle de Pascale de C’est moi qui l’ai fait. Il est très très bon, mais il me manque un outil c’est le zesteur (flûte encore un ustensile). Du coup j’avais des lamelles de zestes un peu larges et cela se voit dans le résultat final, mais pas au goût.

Ingrédients :

  • 2 citrons pour le zeste
  • 1 dl de jus de citron
  • 150 gr de sucre
  • 4 oeufs
  • 100gr de beurre


Mettre tous les ingrédients dans un bol au bain marie, (en fait Pascale recommande d’utiliser un bol en verre posé sur une casserolle avec de l’eau mais sans que le bol touche l’eau). Mélanger régulièrement, cela prend environ 15mn pour épaissir et vers la fin il faut mélanger sans arrêt. Mettre dans un pot et consommer sur des fonds de tartes ou avec des tartines. Personnellement je trouve que à la petite cuillère cela se mange très bien aussi.

 

Il se conserve au frais.

PS C’est le premier jour du printemps alors voici mes premières fleurs d’abricotier. Celui que nous avions planté à l’automne.

Et comme bonus des jonquilles et des muscaris :

C’est juste un hasard si ces couleurs vous rappellent quelque chose. Heja Sverige. Une petite pensée pour les Suédois (et autres Nordiques) pour qui les jours sont enfin aussi long que pour nous.

Ma copine La Grive m’a fait essayer ce breuvage fait par ses
petites mains lors de notre dernier barbecue de l’année 2006 (à la Toussaint quand même). Comme j’avais
envie d’essayer et que la saison des déjeuners dehors commence à montrer le
bout de son nez, elle m’a non seulement donné la recette mais aussi les oranges
(du jardin de sa Maman). Par contre comme
le mélange doit macérer pendant 45 jours et je ne suis pas sure qu’il va être prêt
à temps. Aie Aie Aie. Et en plus je vous donne la recette avant d’avoir goûté
mon breuvage, tout simplement parce que si cela intéresse quelqu’un, je crois
qu’il y a encore des oranges amères sur les marchés mais pas pour longtemps.

Ingrédients :

 

  • 3l de vin rosé
  • 1 l d’eau de vie
  • 750 gr de sucre
  • 12 oranges amères (plutôt petites)
  • 1 gousse de vanille
  • quelques clos de girofle.
  • 1 citron dans la recette originale mais je n’en avais pas!

Un récipient de grande contenance style bonbonne de vin.

 

Nettoyer les oranges, (comme les miennes étaient non
traités, un petit coup sous le robinet a suffit). Couper les fruits en tranches
fines, les mettre dans la bonbonne avec le vin, l’eau de vie, la vanille coupé
dans sa longueur et les graines grattées, les clous de girofle. Tout mélanger
et attendre 45 jours pour le filtrer et le mettre en bouteille.

 

 

 

Je vous en re-causerais dans quelques jours….

Le glögg ou vin chaud est une boisson de saison qui donne lieu à des invitations par les froides après-midi d’hiver. On se retrouve les uns chez les autres pour boire un peu de vin et manger des gâteaux comme les lussekatter (brioches au safran) et les pepparkakor.

 

Glögg ou Vin Chaud

 

Une fois par an nous invitons nos copains et nous faisons la totale coté Suèdoiseries.

Alors pour un litre de vin rouge il faut :

  • 1 cuillères à café de cannelle
  • ½ cuillères à café de cardamome
  • 1 cuillères à café de gingembre
  • 1 pincée de clous de girofle
  • une écorce d’orange (pas une orange entière)
  • le jus d’une orange
  • 1 dl de sucre

 

Pour me simplifier la vie, je mets toutes les épices en poudre, mais pour la cardamome et les clous de girofle qui sont plus difficiles à trouver en poudre, prenez entier.

Je mélange tout dans le vin. Je fais chauffer assez fort mais ne faites pas bouillir sinon attention les vapeurs (la première fois nous ne nous sommes pas méfiés et nous étions un peu pompom avant).

Ensuite je baisse au minimum et je laisse comme ça quelques heures. Ajustez les épices et le sucre. Selon le vin il est peut être nécessaire d’en rajouter. Ensuite deux heures avant de servir je remets à chauffer.

Pour les puristes, il faut également rajouter pendant la préparation du « pomerans skal » c’est-à-dire de l’écorce de bigarade (d’après mes connaissances toute récentes de l’orange amère), j’en ai en poudre donc j’en mets un peu.

Ensuite on doit aussi ajouter de l’alcool, genre vodka qui n’a pas trop de goût. Et c’est là qu’il y a un piège. Forcément on ne sent pas l’acool, et comme cela se laisse boire très facilement (je ne suis pas objective je sais), il est également facile de se retrouver avec des invités plus que pompom. Donc je ne mets pas d’alcool fort.

Derniers détails, d’habitude je préparais le glögg le matin pour le soir, de manière à ce que le vin s’imprègne bien, d’après Garance, on peut le faire plus longtemps à l’avance. Donc là il embaume la maison depuis Jeudi soir (pour Samedi). Le glögg se garde très bien (sans les épices) dans des bouteilles pour le faire réchauffer à d’autres occasions, comme j’en ai 10 litres, je pense qu’il va m’en rester un peu.

Glögg ou Vin Chaud

Le glögg se sert dans de jolis petits verres et on met dedans quelques amandes émondés et des raisins secs.

Glögg ou Vin Chaud

 

Pour faire mon Christmas cake, il m’a fallu préparer du mixed-spice. Comme son nom l’indique c’est un mélange d’épices. Mon problème étant de trouver du Allspice ou poivre de jamaique. Wikipédia me dit que cela ressemble au goût à de la cannelle avec des clous de girofles et un peu poivré : donc voilà ce que j’ai mis dans mon mélange :

 

Ingrédients :  

* 6 doses de coriandre moulue
* 5 doses de cannelle moulue
* 3 doses de muscade râpée
* 2 doses de gingembre en poudre
* 1 dose de clous de girofle moulus

* 1 dose de poivre noir

Sachant que vous adaptez la notion de dose à la quantité finale que vous souhaitez, moi j’ai pris une « pincée c’est à dire 1ml comme dose.

Edit du 11/12/13 en fait on trouve du poivre de Jamaique dans toutes les bonnes épiceries de France et de Navarre

 

Le problème étant de trouve du clous de girofle moulus, essayer de le « moudre » dans un mortier, sinon peut être que votre marchand préféré d’épices acceptera de vous le moudre (la petite dame du marché Place Richelme à Aix me l’a proposée donc je pense que vous trouverez bien quelqu’un). L’autre alternative étant de vous en faire ramener de Suède.

PancakesBob Junior revient d’un séjour aux US où il a passé tout son temps à manger et à regarder la télé. Pour apprendre l’Anglais, c’est pas mal. A part les kilos qu’il a pris, il est revenu avec un enthousiasme délirant pour les pancakes au beurre de cacahuètes et au sirop d’érable.

Pour ceux qui pourraient croire que j’ai fait une faute, j’insiste des pancakes avec du beurre de cacahuète et par dessus une rasade de sirop d’érable. J’en frémis rien que d’y penser.

Je ne vois pas du tout où il peut y avoir une ombre d’équilibre diététique dans cette description. En plus il a réussi à entrainer sa sœur et son frère dans son délire. Donc Dimanche soir ils voulaient manger des pancakes.

Je leur ai sorti la recette trouvé sur le Oueb, mais par contre je ne peut pas rendre à César ce qui lui est dû. Je n’ai pas noté à l’époque le nom du blog où j’ai chipé cette recette.

Je vous donne la recette telle quelle (mais les enfants ont fait double dose : ils avaient un peu faim ce soir là).

Ingrédients :

  • 2 œufs
  • 3 dl de lait
  • 1 cuillère à soupe de sucre
  • 200 gr de farine
  • 1 pincée de levure chimique.

Mélanger d’abord les ingrédients liquides puis ajouter la farine et la levure. Laisser reposer 20mn.

Mettre une louche dans la poêle beurrée, bien chaude et retourner quand les bulles commencent à être visibles.

Mettre de coté, au chaud sur une assiette, elle-même posée sur une casserole d’eau frémissante.

Servir chaud avec du beurre et du sirop d’érable, pour les cinglés de beurre de cacahuète étalez du beurre de cacahuètes sur la pancake, puis verser du sirop dessus. Bon Ap !

PS : c’est aussi très bon avec du Nutella.

Youpi encore de la tomate.

Pendant mes recherches de conserves de tomates, une amie m’a fait remarquer qu’elle faisait de la confiture de tomates comme avec n’importe quel autre fruit. 

 

Alors voilà ma confiture,que je vais faire tester par une copine à Paris. J’espère que son commentaire suivra.

Alors pour 500gr de tomates, 300gr de sucre roux type Cassonade et un bâton de cannelle.

 

Nettoyer et couper les tomates en quartiers ou plus petits si elles sont grosses. Mettre les tomates dans une casserole avec le sucre et laisser cuire environ 1 heure sur feu moyen. Le mélange doit s’épaissir. Remplir des pots stérilisés presque jusqu’au bord, mettre le couvercle et retourner le pot.

 

Remarque : il n’y a pas énormément de sucre alors je pense qu’il vaut mieux conserver cette confiture au frigo après l’ouverture des pots.

 

 

Cappuccino Cardamome ou bien café au lait mousseux infusé avec de la cardamome ou même Kardemmuma kaffe pour ma cousine Lotta qui m’a donné cette recette.

Capuccino a la cardamome

Tout d’abord la cardamome (je l’ai vérifié dans le Larousse, ce n’est pas cardamone comme je l’ai cru pendant très longtemps) : on la trouve dans le commerce dans des gousses blanches ou vertes. Ces gousses contiennent des alvéoles qui contiennent des graines. On peut utiliser ces graines concassés ou moulus. J’ai un mal de chien à trouver les graines moulues en France, ils semblerait que certains marchands d’épices en vendent, mais je vient seulement d’en trouver. Jusqu’à maintenant je l’achetais en Suède (ainsi que les clous de girofles moulus). Donc il est vrai que je ne cherchais pas très assidûment.

J’utilise la cardamome dans des recettes suédoises : brioches ou vin chaud. Dans les pays du Moyen-Orient, il semblerait que la cardamome soit utilisée pour parfumer le café…

J’ai déjà essayé de mettre quelques graines de cardamome dans le filtre de la machine à café avec le café moulu. C’est très bon.

Mais pour cette recette je fais différemment, tout d’abord j’utilise cet engin qui se trouve dans toute boutique bien achalandé comme Ikea.

Cappucino Cardamome

  • 50ml de lait
  • 50 ml de café
  • 1 pincée de cardamome
  • du sucre  éventuellement

Faire chauffer le lait avec la cardamome puis le laisser un instant pour que la cardamome « infuse ». Mixer le lait jusqu’à ce qu’il devienne mousseux. Rajouter du café chaud. Sucrer éventuellement.

Capuccino Cardamome

J’ai trouvé au super marché du coin un rayon de plantes aromatiques avec différents basilics. Je n’en connaissais pas autant : du basilic à la cannelle, à l’anis ou au citron. Il y avait des plus iques Pourpre, Thaï, grand vert, Marseillais. Sur l’emballage il y a des explications pour chacun.

 

 

J’ai adoré l’odeur de celui à la cannelle, donc le voici dans mon caddie. L’odeur demande quand même que l’on mette son nez  dessus, elle est un peu subtile.

Leur conseil était « excellent dans les préparations de soupe de fruits frais, (fruits rouges, fraises, framboises, groseilles), sorbet citron et feuille de basilic cannelle hachée au dernier moment. ».

J’ai juste essayé avec quelques fraises coupé et sucrés. C’était délicieux.

 

Voici la recette donnée par Muriel qui me vend mes légumes : remplir un pot de 1 l avec des cerises, lavées mais sèches. Ajouter un verre de rhum et un verre de sucre. Mettre le bocal en plein soleil, (l’expression utilisée par Muriel était « en plein cagnard ») pendant vingt jours puis déguster.

Une suggestion de bocal est l’utilisation de bouteille de jus de fruits en verre, cela fait la bonne contenance, et c’est hermétique. Pour ma part j’ai utilisé ce que j’avais :

 

Le sucre a du mal à fondre mais je pense que cela viendra.

L’autre recette c’est avec de l’eau de vie, la recette vient de Marmiton elle est ici .

J’ai juste essayé avec un petit bocal à confiture. Ici le temps d’attente avant dégustation est de minimum trois semaines.

Un régal quand on a bien voulu attendre, à manger avec modération cependant mais en accompagnement du café c’est parfait.