Allez une recette de Chicken Stew tiré du Ministry of Food, de Jamie Oliver  déjà cité dans mon post précédent. J’ai réussi à piquer le livre de ma mère, noter quelques recettes dans mon petit carnet orange  spécial cuisine.

Et voici la déclinaison de la recette de Stew au poulet de Jamie Oliver. Je n’ai pas pu m’empêcher de rajouter quelque chose : des pommes de terre.  Le but de la manœuvre était de préparer un plat complet en avance pour ma petite famille de manière à ce que les enfants puissent le réchauffer facilement en mon absence.

Ingrédients pour 5

  • 2 branches de céleri
  • 2 carottes
  • 2 oignons
  • de l’huile d’olive
  • 500gr de blanc de poulet
  • 2 ou 3 branches de thym
  • 500ml de vin blanc
  • 1 cuillère à soupe de farine
  • 400 gr de tomates ou une boite en cette saison
  • sel et poivre
  • environ 2 pommes de terre par personnes selon les appétits.

Couper le céleri en branche nettoyé en morceaux, laver, éplucher et couper en morceaux les carottes, éplucher et couper les oignons.

Mettre une sauteuse sur feu fort avec de l’huile. Ajouter les légumes et mettre à feu moyen pendant 5mn environ tout en mélangeant. Ajouter le thym.

Ensuite ajouter la viande coupé en morceaux, saupoudrer la farine par dessus. Saler et poivrer. Mélanger. Ajouter le vin et les tomates. Mettre un couvercle et laisser cuire pendant 1h30.

Au bout de 3/4 d’heure ajouter les pommes de terre et laisser se terminer la cuisson.

Chicken Stew

 

 

En train de blobloter sur le feu!

Il me semblait que la quantité de vin est énorme. En général j’en mets moins et je rajoute de l’eau ou du bouillon, mais là j’ai voulu tester et comme l’alcool s’évapore c’est pas gênant et même j’ai beaucoup aimé.

En fait j’avais deux idées en tête pour cette semaine, je voulais faire un parmentier de fruits de mer et un pie à la viande. La recette de ce dernier venant du livre de Jamie Oliver Ministry of food.

J’ai adoré ce livre et son concept : si chacun apprend une recette simple et la transmets à 4 personnes qui eux mêmes la retransmettent à 4 personnes etc.. on aura fini avec la malbouffe.

De plus les recettes sont simples et permettent de varier le quotidien. En plus j’adore faire des currys et je suis toujours un peu complexé par le fait d’utiliser des pâte à curry toutes prêtes. Alors après avoir lu son livre fini les complexes et vive les pâtes à curry de chez Pataks!

Et puis finalement je n’avais pas de fruits de mer au congel comme je le pensais. Donc j’ai fait un hachis parmentier avec la recette de la viande prise dans le pie de Jamie.  Je sais pas si j’ai été tout à fait clair là?

Ingrédients :

  • 700gr de viande hachée
  • 3 oignons
  • 2 carottes
  • une branche de romarin
  • une feuille de laurier
  • 1 cuillère à café de Marmite
  • 1 cuillère à café de Worchestershire sauce
  • 2 cuillères à soupe de farine
  • 1/2 litre de bouillon
  • huile d’olive

Faire revenir les oignons hachés grossièrement dans une poele avec de l’huile d’olive quelques minutes. Ajouter les carottes épluchées et coupés en tranches. Ajouter la viande et bien mélanger.

Saupoudrer de farine et mélanger. Mettre la cuillère de Marmite et celle de Worchestershire sauce et arroser avec le bouillon. Laisser cuire entre 2àmn à 1/2 heure à feu moyen et sous couvercle.

Pendant ce temps faire la purée, là je vous laisse vous débrouiller, cette fois ci je l’ai faite moi même mais quand j’ai un peu moins de temps je hésite pas à utiliser de la surgelé.


Beurrer un plat allant au four, verser le mélange de viande au fond et recouvrir avec la purée.

(Youpi encore une photo mocharde au flash, zut de zut)

Après avoir pris cette photo, comme la purée n’était pas très salé j’ai rajouté ceci :


Du sel fumé de chypre, cadeau gourmand reçu aux dernières festivités (Merci AS) Miam c’est bon.

Dernière étape mettre pendant 30 à 45mn dans un four à 190°


Si vous voulez en savoir plus sur son livre, Pascale en parle, ainsi que Auntie Jo.

Hélas j’ai plus le livre, (Maman  je peux te le reprendre?) je vais peut être aller acheter des fruits de mer et faire un pie!

Il y a quelques temps je me (vous) posait la question de la différence entre les villas, cités et impasses. Alors d’abord merci à Léonie Canot dont la réponse semble être la bonne  J’ai  trouvé ce magnifique ouvrage :

En effet les cités regroupait plutôt des des ouvriers et des artisans ou même des artistes. Les villas et hameaux étaient plus chics et bourgeois.

Le 15eme arrondissement a beaucoup de ces cités-villas avec des ateliers d’artistes certains ont été détruits ou vont l’être par des promoteurs. D’autres se sont « bobo-ifié » et donc les prix  des appartement sont devenus délirants.

Pendant la journée du patrimoine nous avons pu visiter des ateliers d’artistes au fond de ces petites impasses souvent fleuries. De très belles cours, certaines petites d’autres très grandes. Les Villas de l’Astrolabe et du Mont Tonnerre ont plusieurs petite cours cachés. et la Villa Gabrielle, avec une grille pour interdire le passage est elle très longue avec plusieurs ateliers d’artistes.


Quelque fois les cours ont de vrais jardins, sinon juste de plantes en pots.




J’aimerais bien pouvoir prendre mon café là.

Nous n’avions pas l’impression d’être dans Paris malgré les voitures garés dans la cour et pourtant en levant le nez ….


Donc si vous en avez l’envie ne vous privez pas, c’est magnifique et déroutant.

Vous avez peut être remarqué que je fais jamais de pub (forcément personne ne me le demande sauf les crèmes anti-rides, c’est vexant à la fin) mais j’en fais quand même pour la famille, entre le fromage et la télé, je suis servie. Pour les autres frères et soeurs, beauf et belles-soeurs, le Conseil général des Midi-Pyrénées, l’Educ Nat, l’allergologie et les pétroliers n’ont pas besoin que je parle d’eux. Cela étant dit si vous cherchez une super traductrice, je peux vous en trouver une, idem pour une spécialiste des antiquités anglaises à partir de la fin du 14ème siècle.

 

Si avez deux minutes essayez dans Google le mot Dicovale,
vous verrez c’est super instructif, en quelques secondes on vous affiche
tou pleins de réponses, qui sont toutes en rapport avec le même livre, celui écrit
par mon beauf! Un livre sur le rugby
comme son nom l’indique pour les plus perspicaces d’entre vous.

 

De même, il est certainement clair pour vous tous, pourquoi en ce 6
septembre 2007, je vous parle de rugby. Demain c’est le match d’ouverture de la
coupe du monde en France. Et moi, j’ai de la chance parce que à 500m de l’école
de mon Petitou, j’ai l’équipe des All Blacks, c’est pas du bol ça! C’est sur
que si ils avaient tous la tête à Georges, je serais là bas, plutôt qu’en train
de vous écrire, mais bon je m’éloigne de mon sujet.

 

Qu’est que j’entend au fond ? Vous n’y connaissez rien au
rugby à part le calendrier des dieux du Stade (ça c’est pour La Grive!), alors
justement c’est l’occasion de vous instruire tout en vous amusant. Et comme ça
vous comprendrez un petit peu mieux les commentaires pendant les
retransmissions, vous saurez qui est Bernie le Dingue (pas forcément très
fréquentable à mon avis surtout depuis que je sais qu’il sera secrétaire d’état de NS dans quelques semaines
). Vous
saurez tout sur les différentes nations de ce magnifique sport, vous saurez
comment faire des commentaires brillants de match. Cet auteur formidable a même
mis une contrepètrerie que j’arrive à comprendre. C’est organisé comme
différents lexiques donc extrêmement facile à lire et à utiliser en société.

Je vous donne la présentation de l’éditeur, qui s’en sort mieux que moi :
Entrez dans la mêlée… Et sortez-en indemne !  » Jeu de voyous pratiqué
par des gentlemen  » ou  » excellent moyen d’éloigner 30 brutes du centre
ville « , le rugby n’est pas qu’un combat pardon, un sport collectif.
C’est aussi un langage, un esprit et une culture. Ce dictionnaire
décrypte avec humour son jargon, ses règles obscures, ses rapports
conflictuels avec le foot, les femmes ou l’Angleterre. Et donne aux
néophytes comme aux fans de rugby, les clefs d’un monde qui tourne
ovale.

Et trouvé sur Evene.fr

La coupe du monde de rugby est le 3e événement sportif le plus regardé
sur la planète. Pas drôle ? Ce livre souhaite démontrer le contraire !
John Palfrey propose de savoir appeler les joueurs par leurs ‘petits noms’ (Casque d’or, Petit Prince)
, d’être incollable sur les clichés des présentateurs (‘Comment est-on
passé de la tortue à la cocotte’) , de suivre les actions les plus
complexes de la Coupe du
monde (‘piscinologie ou plongite aiguë dans la mêlée’) , de briller
avec des phrases bien montées (‘Le jeu anglais a de tout temps reposé
sur un pack solide et un buteur fiable : c’est quand ils ont ces deux
ingrédients qu’ils deviennent indigestes’).

 

 

 

 

 

De mon coté je n’y connaissait pas grand chose mais grâce à
ce magnifique livre je vais enfin pouvoir briller dans mes prochains dîners
mondains.

 

 

La prochaine fois que vous passez dans votre librairie
préféré demandez le Dicovale (Le dico non officiel du rugby) écrit par John
Palfrey

 

 

 

PS Euh le dessin du dessus n’est pas ressemblant, il est beaucoup plus beau en vrai!

 

Ouf, revenu aprés quelques jours sur la grande bleue. Farniente, farniente et encore farniente.

Une petite photo pour vous montrer un joli petit phare sur la côte Italienne sur la pointe de Porto Fino.


Depuis l’été est revenu un peu partout, sauf ici ou il n’était jamais parti, mais la température s’est mis à monter dangereusement et puis enfin depuis ce matin un peu de pluie, (forcément j’ai lavé ma voiture). Mais ce n’est pas ça qui va remplir les nappes.

 

 

Pleins de lectures pendant l’été (sauf sur le bateau puisque le médoc anti-mal de mer  a changé ma vision de prés et je ne pouvais presque pas lire, snif), la Gourmandise de Muriel Barbery (écrit avant L’élégance du hérisson) un régal pour l’écriture et une torture quand on a faim (Merci Léonie Canot pour ce conseil). Guillaume Musso  Et aprés, (trés agréable à lire) et Marc Lévy, Et si c’était vrai (mais qu’est qu’ils ont tous a être obsédé par la mort), pareil une jolie histoire, puis Mes Amis, mes amours, une belle évocation de Londres, qui donne envie d’y aller (mais d’ou ils sortent tous leur fric pour vivre comme ça). Angel sur son blog parlait de la série de Robin Hobb, Farseer trilogy (ou l’Assassin Royal), trois volumes de 500 pages dans le genre médieval-fantastique. Je les ai dévoré et adoré, mais il faut aimer le genre, je me suis un peu éloigné de Muriel Barbery. Je ne vous parle pas du dernier Harry Potter puisque c’est de l’histoire ancienne, ni du 12ème tome de Stéphanie Plum que j’ai avalé en moins de temps qu’il ne faut pour le dire.

Coté cuisine, pas grand chose, nous sommes toujours sur un régime salade de tomates tous les jours (faut bien manger celles du jardin!), mais j’essaye des poissons en papillottes et je vous raconterais bien vite cela.

 

 

Enfin, je connais la fin de l’histoire! J’y ai passé une bonne partie de mon Dimanche, (on a juste mangé des tomates à midi avec de la viande froide, comme ça je n’ai pas perdu de temps). J’imagine que ceux qui veulent vraiment savoir comment cela se termine se sont ou alors procuré le bouquin ou alors vu des sites Internet. Cela étant dit, le seul site « spoiler » que j’ai trouvé était carrément a coté de la plaque.

Donc je ne vous raconte pas la fin. Sachez juste que j »ai passé un trés agréable moment en le lisant et que je vous le recommande!

PS Le film du tome 5, l’ordre du Phoenix, pareil toujours sympa à voir même si sur la fin j’ai trouvé que c’était un peu long!


Harry potter et l’ordre du phoenix ba
envoyé par cinemafrance

Edit du 24 /07/2007

En fait je m’aperçois en lisant sur les blogs que plusieurs personnes ayant lu les HP en Français ne se sentent pas de les lire en Anglais de peur de ne pas reconnaitre les noms des personnages ou le vocabulaire propre à cette série. Je voudrais juste vous signaler qu’il existe un dico Anglais Français espécial Harry Potter.

Re-edit : Shalima dans les commentaires met ce lien vers un dico sur Internet.

Dois-je mettre ce post dans la catégorie cuisine ou blogs à découvrir ou Livres. Gros soupir. Bon alors c’est un livre qui parle d’un blog qui parle de cuisine. Euh……

 

 

Je recommence. Vous connaissez Julia Child ? Si oui, allez au paragraphe suivant, si non restez avec moi. Julia Child était une des grandes dames Américaine de la cuisine, elle a écrit plusieurs livres, fait des programmes Télé. Sur Amazon il y a 5 pages de livres écrits par Julia Child dans la catégorie livres en Anglais (en Français : 0). Pour vous donner une idée, elle est née en 1912, elle a grandi aux US, rencontre son futur mari sur l’ile Kandy quand elle faisait parti des OSS, se met à la cuisine en prenant des cours de cuisine à Paris à 37 ans. Devient la star des emission culinaires  et décéde en 2004.

La nouvelle cuisine, le «light», et le « sans cholestérol » et l’aspect politiquement correct du bio et des volailles élevés en plein air la faisait rigoler (voir le San Francisco Chronicle). J’ai cru comprendre que sa grande caractérisque culinaire était de mettre du beurre partout et surtout du trés bon beurre.

 

 

Un des ses livres les plus connu fut celui écrit avec Simone Beck et Louise Bertholle. : Mastering the Art of French Cooking publié en 1961. Pour beaucoup c’est une bible.

Et d’ailleurs en 2002, une jeune secrétaire, aspirante actrice, de New York se nommant Julie Powells ne sachant que trop faire de sa vie décide de se lancer dans un projet qui va durer une année, faire toutes les recettes du livre Mastering the Art of French cooking Tome 1, c’est-à-dire 524 recettes quand même. Elle ne savait pas quel sens donner à sa vie et elle pensait que cela pouvait être une solution.  Son mari lui propose d’ouvrir un blog, (c’est assez nouveau à cette période là) pour qu’elle raconte son histoire. Comme pour d’autres blogueuses, son blog commence à être connu, des journaux et des magazines s’intéressent à elle. Un éditeur la contacte et voily-voilou un livre : Julie & Julia : my year of cooking dangerously.

 

C’est un livre très amusant, elle ne se prend pas au sérieux, elle nous raconte certaines recettes, comment elle prépare assassine les langoustes (à se tordre de rire), donne des extraits du blog, nous livres des commentaires de ses lecteurs (ou bleaders comme elle les appelle, on dirait des blecteurs en français je pense), son boulot de secrétaire au contact des familles de victimes du 11 septembre, ses amis et/ou testeurs. Elle utilise beaucoup le F-word et aime bien taper sur les Républicains. Ce livre m’a beaucoup fait rire, il n’y a pas de recettes dedans puisqu’elles sont toutes dans le livre de Julia. Bref si vous vous sentez de lire en VO je vous le conseille. Sinon jetez un œil à ses blogs.

 

 

Sur You tube on trouve un extrait imagé et sonore de son livre :

 

Ce blog se termine a l’annonce de la mort de Julia Child. Ensuite Julie Powell a commencé un nouveau blog : http://www.juliepowell.blogspot.com/

 

Pour en revenir à Julia Child, j’ai personnellement  deux de ses livres, la bible (j’avais le tome 2 mais il a disparu) et The way to cook. Je les ai dans ma bibliothèque depuis la nuit des temps mais traduit en Suédois. Pffff.

Il n’est pas trop usé, les recettes que j’ai fait dedans sont assez peu nombreuses mais c’est comme ça que j’ai essayé quelques classiques quand j’ai commencé comme le bœuf bourguignon (la première fois que j’ai rencontré ma future belle sœur (Léonie) je lui ai d’ailleurs fait ce fabuleux plat, j’ai appris après qu’elle détestait la viande rouge, Grrr elle aurait pu le dire) ou le navarin d’agneau. J’ai vaguement le souvenir d’une recette de coquilles st jacques tellement longue et compliqué que aujourd’hui c’est mon Bob qui est
préposé à ces fruits de mer.  Du coup ce livre m’a fait reprendre le livre de JC  et j’ai essayé un gratin de volailles, simplissime pour le coup, que je vous posterais bientôt

 

 

Chez Anne de Papilles et Pupilles on trouve tout d’abord une explication sur JC, la recette de la brioche de JC  qui a l’air magnifique et elle nous met la référence d’un site avec des vidéos tirés d’une série d’émissions Cooking with Master chefs.

 

 

Pour en savor plus sur Julia Child vous pouvez aussi aller voir wikipédia : http://en.wikipedia.org/wiki/Julia_Child
Julia Child a fait don de sa cuisine à un musée Américain le Smithsonian, vous pouvez en faire le tour ici : http://americanhistory.si.edu/juliachild/

 

Quand la mère de Stéphanie veut quelque chose de sa fille (du genre venir aux répétitions du mariage de son autre fille) elle brandit comme menace de ne plus jamais lui faire son gâteau préféré : le pineapple upside down cake.

 

J’ai trouvé cette recette sur le net, un lien qui ne fonctionne plus….

Ingrédients :

  • 50 gr de beurre
  • 100gr de sucre brun (j’ai utilisé de la vergeoise blonde)
  • 100gr de farine
  • 100 gr de sucre
  • 1 cuillère à soupe de levure chimique (env 15gr)
  • une pincée de sel
  • 50 gr de beurre ramolli
  • 1 dl de lait
  • 1 œuf
  • une boite d’ananas en tranches
  • des cerises maraschino (=confites je crois, mais j’ai utilisé
    une cerise à l’eau de vie)

 

Mettre le four à chauffer à 200°

Egoutter les tranches d’ananas en gardant le jus.

Mettre le beurre dans le moule à gâteau et à fondre dans le four qui chauffe. Quand il est fondu, saupoudrer avec le sucre brun. Disposer les tranches d’ananas au fiond du moule et des demi-tranches sur les bords. En principe il faudrait remplir chque trou d’ananas avec une cerise. Je n’en ai mis qu’une seule parce que j’ai utilisé des cerises à l’eau de vie non dénoyautées.

 

 

Dans un bol mélanger la farine avec le sucre, la levure, le sel, le beurre ramolli, le lait, l’œuf et deux cuillères à soupe de jus d’ananas.

Verser ce mélange dans le moule.

 

 

Mettre au four pour 30 à 35mn.

Sortir du four et laisser refroidir quelques minutes avant de démouler le gâteau. Servir tiède avec de la crème fouetté ou de la glace à la vanille ou nature.

 

Alors voilà à quoi cela ressemble et c’est vraiment très bon, l’ananas est juste un peu caramélisé.

 

 

Après avoir écrit que Stéphanie Plum mangeait des trucs qui me paraissaient improbables je me suis dit que j’allais essayer de faire quelques uns des plats dont elle se régale chez sa mère. J’ai pensé au Pineapple upside down cake (qui est dans le four en ce moment, donc la recette suivra) et au meatloaf. Alors pour tout vous avouer ce n’est pas la première fois que j’essaie de faire un meatloaf (ou pain de viande), l’idée m’a toujours paru pratique d’avoir ce pain de viande à manger chaud ou froid avec ou sans sauce.

Mais mon premier essai fût assez catastrophique : sec et pas assez assaisonné. Par contre là je crois que suis sur la bonne voie, il faudra peut être ajuster le tir mais c’est pas mal. Comme d’hab les enfants ont trouvé cela bof, mais je ne désespère pas, avec un peu d’habitude ils vont finir par aimer ça.

 

Alors la recette qui m’a inspiré est sur le net mais un lien qui n »existe plus. J’ai changé pas mal de choses et surtout j’ai divisé la recette par deux (à peu prés) et cela remplit déjà un moule à cake. Donc cela suffit.

 

Ingrédients pour un moule à cake :

  • 600gr de viande haché
  • 1 poivron rouge émincé grossièrement
  • ½ boite de tomates pelées (que j’ai remplacé par 200 gr de coulis maison)
  • 1 petit oignon émincé
  • 3  tranches de bacon
  • 75 gr de chapelure
  • 30gr de parmesan râpé
  • 1  gousse d’ail pressé
  • ½ cuillères à café de basilic
  • 2 cuillères à soupe de persil
  • 1 cuillère à café de fond de veau
  • 2 œufs
  • 1 cuillère à café de poivre noir moulu
  • 3 petites tomates (cerises !) coupés en morceaux
  • 1 cuillère à soupe de sauce soja
  • 1 cuillère à soupe d’huile d’olive
  • du ketchup selon envie
  • Poudre d’oignon ou d’échalote

 

Préchauffer le four à 200°

 

Dans un grand bol mélanger la viande, les légumes coupés, les œufs, les herbes, la chapelure, le coulis de tomates,l’huile d’olive (si le mélange parait trop sec) et le soja. Garder le bacon et le ketchup pour la fin.

 

Mettre la viande dans un moule à gâteaux (beurré ou huilé si c’est nécessaire). Mettre du ketchup par-dessus en couche fine, mettre les tranches de bacon par-dessus, saler, poivrer et éventuellement mettre de la poudre d’oignons ou d’échalotes. Mettre au four pendant 1h30. De temps en temps rajouter du ketchup si vous pensez que la viande sèche trop.

 

D’après la recette originale le ketchup peut être remplacé par une autre sauce de type barbecue si vous préférez.

 

Alors le résultat est moelleux à souhait, je pense que l’apport de légumes frais en morceaux était juste ce qu’il fallait. A servir avec de la purée de pommes de terre et des légumes verts sans oublier le gravy si on veut faire comme la Maman de Stéphanie. Les enfants l’ont mangé avec du riz blanc et nous avec une salade verte.

Et puis franchement n’étant pas douée pour la photo, aucune de mes photos est appétissante. Donc pas de photo. Désolée.

 

       

Ma révélation littéraire de l’année 2006. Suite à un commentaire de
Anne de Papille et Pupilles chez Hélène, je me suis lancée dans la lecture des aventures de Stéphanie Plum par Linda Evanovich. Et j’ai
adoré, j’ai dévoré, j’ai ris et j’en ris encore.

 

Vous avez déjà lus des livres qui vous font oublier où vous
êtes et rire à voix haute, et bien moi c’est Stephanie qui me fait cet effet là
(quoique j’ai des souvenirs de lecture de Garfield dans le métro à Paris où les
gens me regardaient curieusement, maintenant que j’y pense)
.


 

L’auteur,
Janet Evanovich, nous fait rentrer dans le monde de Stéphanie Plum, qui est une ancienne
vendeuse de lingerie fine reconvertie en «chasseuse de prime » ou bounty
hunter dans le New Jersey. Il lui arrive tout un tas d’aventures plus déjantés
les une que les autres. Elle a un
problème de voitures qui brûlent ou explosent avec une régularité
affolante, un
e vie sentimentale agité entre son flic préféré Joe Morelli (qui a
une Grand-mère qui jette des sorts) et son chasseur de primes préféré Ranger
(aussi mystérieux que sexy), une famille délirante (une
grand-mère (encore)
fofolle qui a comme passe-temps d’aller voir les morts exposés dans les salons
funéraires) et un chien qui s’appelle Bob (lui il mange tout ce qui lui tombe dans la gueule, y compris les stings en dentelle de Stéphanie, pour ensuite les évacuer d’un coté ou de l’autre quand cela lui prend). Dans les gens qui l’entourent il y a aussi Lula, une ancienne prostitué qui a des gouts vestimantaires douteux et une drag queen rockeuse reconvertie en organisatrice de marriage. Stephanie passe son temps à manger des trucs qui paraissent trés improbables (mais ce doit être mon manque de culture culinaire americaine qui me fait dire ça).


 

 

Ce ne sont pas des vrais polars dans le sens whodunnit avec
des interrogatoires et des meurtres mais il y a toujours  des
problèmes (ou des morts) à résoudre. Le style est rapide, franc et hilarant. Ils sont faciles à lire et je regrette toujours d’arriver à la fin.

  

 

 

Au jour
d’aujourd’hui il y a 12 livres dans la série : One for the money, Two for the
Doug
h, Three to get deadly etc…
Je suis en train de lire Eleven on top
et j’attends la sortie en poche (juin 2007) du numéro 12 Twelve sharp. La
première edition du numéro 13 Lean Mean Thirteen est annoncé pour juin 2007.

 

Janet
Evanovich en a écrit un spécial pour Noël qui s’appelle Visions of Sugar Plum
dans la même veine.

 

 

Les titres en Français sont moins facile à suivre qu’en
Anglais : La Prime, A la une à la deux à la mort, Deux fois n’est pas
coutume
, Quatre ou double, Cinq à sexe etc… A partir du numéro quatre ils ont
repris l’idée originale de mettre le numéro dans le titre.

 

J’ai réussi à accrocher mon Bob, qui rigole tant
qu’il peut dans son coin. C’est tellement agaçant que je vais voir par-dessus
son épaule où il en est. 

 

Je ne sais pas si je vous ai donné envie de le lire, mais si vous ne connaissez pas je vous le recommande.

 

 

Je ne suis pas critique de livres, mais il faut que je vous parle de ce livre que l’on vient de m’offrir (et d’ailleurs merci beaucoup à On).

C’est le récit d’une journée de mariage découpée en tranches et racontée par 8 personnes différentes. Cela va d’une enfant d’honneur aux mariés, en passant par le prêtre et des invités.

A chaque chapitre, c’est l’occasion d’un retour en arrière sur les raisons de sa présence à la fête, et chaque histoire est un concentré de la vie de la personne avec le mariage comme point d’amarre. Les personnages ne sont pas tous aussi fouillés les uns que les autres et tous les récits ne sont pas égaux en qualité.

Certains portraits m’ont fait rire et d’autres pleurer. Il est amusant de voir les personnages racontés par eux-mêmes et vus par les autres, les défauts apparaissent et disparaissent, ce qui paraît essentiel à l’un ne l’est pas pour ceux qui l’entourent… J’ai été touchée en particulier par le récit de Pauline une petite fille qui est l’aînée de sa famille et qui se doit d’être « responsable ». Ce mot revient tout le long de son récit de manière obsessionnelle.

Bref, si vous voulez passer un bon moment, je vous recommande chaleureusement ce livre.

Blandine Le Callet  Une pièce montée   Editions Stock

Je passe mon temps à lire quand je ne suis pas sur ce blog (donc en ce moment je lis moins : CQFD). Je lis essentiellement en Anglais mais pas que pour satisfaire mon coté snob, c’est aussi histoire de garder l’Anglais qui me reste. (N’ayant plus l’occasion de parler, je perds assez rapidement.) Bref je lis, et je lis surtout des livres de poches pour une raison toute bête c’est que c’est moins cher et jusqu’à l’avènement du Oueb internationale, cela coûtait fort cher d’acheter des livres en langue anglaise. Maintenant que Amazon me sauve la vie régulièrement (les livraisons sont gratuites pour les livres) je m’aperçois que je vois des livres anglophones même chez Carouf.

Bon revenons à nos cigales, je disais donc que je lis des livres essentiellement en poche mais ce que je préfère ce sont les livres avec une couverture en carton et du beau papier crème un peu épais. (Non je n’aime pas lire les Pléiades, je déteste le papier bible. J’ai l’impression que le papier va me rester entre les doigts. Bon cela étant dit je ne lis pas souvent des livres dans la Pléiade, ce n’est pas trop ma tasse de thé pour d’autres raisons qui seront certainement développés ici même dans un futur proche).

Je reviens à mon livre, il le faut de préférence de petite taille de manière à rentrer dans mon sac à main (je vous ai dit que j’emmène toujours un livre avec moi, on ne sait jamais quand on aura 5mn pour lire).

En farfouillant dans une librairie récemment j’ai trouvé un petit livre comme je les aime, cartonné rouge avec le titre en doré sur la tranche et en plus le contenu (c’est important le contenu quand même) est rigolo comme tout. Par contre il n’était pas dans la catégorie cheap : 15€.

Le voici avec sa couverture en papier épais :

Bon alors, il s’agit de : les Miscellanées de Monsieur Schott, écrit par Monsieur Ben Schott, traduit de l’Anglais et adapté par Monsieur Boris Donné éditée par les Editions Allia.

Ce Monsieur ne parle que de choses triviales, et n’ayant que peu de rapport entre elles, si ce n’est aucun rapport, pour l’exemple : les degrés de la franc-maçonneries (alors là j’ai perdu la moitié des lecteurs, déjà qu’il y en a pas beaucoup), les 12 travaux d’Hercule (vous les connaissez vous ?), les calibres comparés des œufs rentre l’Europe et l’Amérique du Nord (wahou !!), les abréviations SMS (à vérifier avec un ado d’après l’auteur), des proverbes météorologiques (Noël au balcon, paques au tison), le jargon de bistrot et l’argot bruxellois, le nom du chat de John Lennon ou le fabricant attitré de saucisses de la Reine d’Angleterre. Bref tout et n’importe quoi.

Il n’est pas recommandé de lire ce livre d’un bout à l’autre, mais par contre d’y piocher au gré de ses envies des petits bouts rigolos. Si on trouve ça rigolo, cela va sans dire. Moi cela m’amuse toutes ces informations sans queue ni tête. Rien ne va vous changer la vie mais peut être vous faire sourire un instant. Je puiserais dedans, de temps en temps pour vous donner des extraits plus ou moins inutiles, plus ou moins ridicules, ou alors peut être même plus ou moins absurdes.

PS je viens d’aller regarder sur Amazon, et Ben Schott a commis d’autres livres tout aussi ineptes semblerait-il. A voir.