Toujours des recettes d’été, de celles dont j’use et j’abuse en ce moment. Après les apéros, voici les plats et les accompagnements.

Nous avons commencé bille en tête, à peine sorti les affaires de la voiture, à chercher le barbecue. Les viandes que nous faisons griller restent simples et d’ailleurs il n’y a pas grand chose à en dire ni vraiment de recettes. Que ce soit les cotes de boeuf, les magrets de canard, les saucisses ou encore le thon ou les sardines. On peut les manger nature ou éventuellement les faire mariner avant mais nous avons chois la version nature. Quant au porc et au poulet, la même marinade revient deux fois sur ce blog, une fois pour des brochettes de porc et une fois pour des spare ribs. J’ai utilisé provence la même marinade pour des hauts de cuisses de poulet (en enlevant la peau du poulet) et c’était un régal.


La dernière marinade que j’ai fait pour des blancs de poulet était à base de citron, huile d’olive, herbes de provence, sel et poivre. Aprés quelques heures de marinade, j’ai enfilé les morceaux de poulet en alternance avec des quarts d’oignons et des bouts de poivrons rouges…..


Pour accompagner tout ça, le plus simple reste les pommes de terre au four servis avec une sauce  blanche à la ciboulette et les éternels tomates au four. On s’en lasse pas.
Ensuite il y a les brochettes de légumes au barbecue, grosso modo, mettez ce que vous avez et hop!
Un de mes grands classique pour aller avec le barbecue est le crumble de tomates. Je l’adore, il se prépare en avance (si on veut) pour le mettre au four dés que Grand Manitou, pardon, je veux dire mon cher et tendre lance le barbecue. Parce que forcément c’est le barbecue ici qui donne le timing!

Il reste aussi comme recettes d’été l’estoufade de Céline, l’escalivade et la ratatouille au four de Pascale.

Et vous c’est quoi vos recettes d’été préférés?

garbanzos tomates cebettesMais pourquoi j’achètes des garbanzos que quand je suis dans le sud? Et surtout, pourquoi est ce que j’appelle ça des garbanzos, ici on appelle ça des pois chiches. Mais quand je viens dans la région, les super marchés ont tous leur rayon produits spécial Espagne, avec des moules à l’escabèche, des poulpes à je-ne-sais-plus-quoi, du pimiento fumé, de la horchata, etc… Cela me rappelle les vacances Espagne quand j’étais petite et du coup je me fais une petite salade d’été toute simple.


Ingrédients pour 4 personnes :

  • un pot de 400 gr de garbanzos (ou pois chiches)
  • 2 tomates biens murs
  • 3 cébettes


Pour la vinaigrette :

  • 1 cuillère à café de moutarde
  • 1 cuillère à soupe de vinaigre
  • 4 cuillères à soupe de huile d’olive
  • Sel et poivre


Mélanger dans un saladier, les garbanzos égouttés, les tomates coupés en dés, ajouter les cébettes taillés finement. Pour la vinaigrette, mélanger la moutarde et le vinaigre et ajouter doucement l’huile. Verser la vinaigrette pardessus la salade et enjoy.

garbanzos tomates cebettes

Depuis quelques jours je puise dans mes recettes spéciale été pour nourrir ma petite famille et les copains. Ces recettes ont pour la plupart un lien avec la Provence, essentiellement parce que ce sont des recettes que j’ai fait quand j’habitais dans la région d’Aix en Provence. Passant mes vacances ici,  je refais avec plaisir ces recettes.

Certaines feront l’objet de nouveaux posts mais en plus de la liste des recettes disponible, je me suis dit que j’allais vous faire un post récapitulatif de recettes d’été.

Alors avant de passer aux choses sérieuses, il y a toutes les bricoles de l’apéro. Tout d’abord l’ailletade de Claude, elle était l’instit de mon fils avant de devenir ma grande amie, plusieurs recettes sur ce blog viennent d’elle. Elle reste toujours aussi timide quand il s’agit de commenter sur les blogs mais je sais qu’ell en lis plusieurs… Sonn ailletade peut faire peur quand on voit la quantité d’ail, mais essayez le, vous ne le regretterez pas.

Le Banon à l’ail piqué dans un article de Elle consacré à Christine Cheylan de Chateau Virant.

Le caviar d’aubergine, J’en ai déjà fait au moins trois fois depuis que nous sommes là, j’adore ce mélange sur une tranche de pain. Je le fais en général en même temps que les poivrons au four dont j’ai reparlé ici il y a quelques jours…

Ensuite il y a les dips à base de St Moret, pareil sur du pain ou avec des chips ou même des gressins. Le premier qui reste le plus simple c’est le Thon-St Moret. Un régal à assaisonner juste avec une poudre de curry ou de tandori. Et ensuite le dip Tomates séchés avec du St Moret.

Bon j’espère que cela vous permettra de tenir jusqu’au plat principal!

C’est les vacances, pendant 15 jours pour ma petite famille, nous avons posé nos valises dans une jolie maison à quelques centaines de mètres de celle que nous avons quitté il y a deux ans maintenant. C’est amusant comme les habitudes reviennent vite. Les chemins pour aller d’un endroit à l’autre, les petites routes, la Sainte Victoire vu d’un seul coup au détour d’un virage.Et les fichus fossés en bord de route, une des choses que je n’aime pas dans cette région. Surtout quand les routes sont étroites, j’ai tout le temps l’impression que je vais me flanquer dedans!.

De mon coté j’ai repris le chemin de la cuisine (vous verriez la taille de cette cuisine, je revis!!!) et  j’ai refait toutes ces choses qui me paraissent aller si bien avec une terrasse, une bande de copains, des longues soirées d’étés. Nous avons également retrouvé des amis, et les enfants les leurs. C’est comme si on s’était vu hier. Mon Bob est redevenu le roi du Barbecue comme avant!


Et comme un des mots clés qui attire le plus de monde sur ce blog est celle des poivrons aux fours, je vous redonne l’explication.

Prendre autant de poivrons qu’on a l’énergie d’éplucher, les laver et les mettre entiers dans un plat  et puis au four à 200° pendant 30 à 45mn. A mi-course, les retourner. Le but est que les poivrons soient cuits mais pas trop grillés. Les sortir du four, et c’est là que les différentes techniques d’épluchage divergent :

  1. se bruler les doigts en essayant d’enlever les peaux des poivrons,
  2. mettre les poivrons à refroidir dans un sac en plastique et le fermer, il parait que la peau s’enlève très très facilement après,
  3. ou alors laisser refroidir carrément les poivrons et enlever la peau tranquillement. (c’est ma méthode préféré)

Enlever toutes les graines et ensuite couper les poivrons en lanières. Les mettre dans un bol, verser de l’huile d’olive et un peu de sel.


Il existe des variantes avec de l’ail et/ou du vinaigre mais je préfère la version huile et sel.

Si vous voulez vous en servir pour faire une recette, il y celle ci de Pascale et celle ci qui va quand même falloir que j’essaye avec des poivrons épluchés un de ces jours….


Un seul mot et je pourrais presque arrêter mon post : FORMIDABLE.

 

 

 

Cette soirée était formidable, encore plus que la précédente, c’est pour dire. Le cadre magnifique des  Salons Latécoere, a accueilli  200 filles de 7 à 77 ans, des geekettes, des filles à maquillage, des filles Hiiiiiiiii, des filles aimant la bière, des filles buvant de l’eau, des filles à téléphone et d’autres à massages, bref toutes sortes de filles L’organisation mené de main de maître par Sandrine Camus était nickel chrome.

Parmi ces 200 filles il y avait Léonie Canot, Angelique, Delfée, Valérie, Manu, Fanny, Amélie et encore et encore! Que du beau monde.

 

 

Les sponsors étaient nombreux et variés, entre le maquillage Bare Minérals (on pouvait se faire maquiller, d’ailleurs cela m’a tellement plu que je me suis précipité pour en acheter dés le lendemain), les téléphones Samsung qui avec leur nouveau Wave qui pourrait bien prendre des parts de marché à qui vous savez!

Intel nous présentait des produits qui seront certainement dans toutes nos maison, mais pas tout de suite!! Des tablettes pour contrôler tout l’électroménager ou même le chauffage, accéder à Internet, lire le journal et pleins d’autres choses qu’on imagine pas encore tout à fait aujourd’hui!

J’ai découvert l’appli leNewz (gratuite) qui permet d’accéder à plusieurs média presse grâce à des mots clés qui sont dans l’actualité et selon des thèmes, cinéma, santé, sport etc… Je vous la recommande. La Egobox était également de la fête, regardez moi ces photos. On déclenche soi même la prise de la photo devant un miroir avec une lumière assez forte, les photos sont géniales, si vous passez devant une Egobox, n’hésitez pas essayez.

 

 

Mais last but not least j’ai découvert la caméra Flip. Pour vous poser le problème je n’ai jamais eu de Caméscope, même pour la naissance de mes trésors, ils doivent être tout seuls au monde à ne jamais avoir été filmé par leurs parents. Nous trouvions ces appareils trop gros, trop chers, pas pratique. Monter des films me paraissait difficile, bref on a vécu très bien sans.

Et là, à la soirée on me met ce petit bijou entre les mains : le Flip. Tout petit, super facile à utiliser, en gros on appuie sur un bouton et c’est tout; Pour arrêter on appuie sur le même bouton. Quand je vous dis que c’est simple. Bon ensuite le montage, voyez vous même. j’avais filmé environ 60 petits bouts de la soirée, supprimer quelques vidéos parce que mes pieds et le parquet n’intéressent personne. Des bouts enlevés ici et là dans les différentes séquences, monter tout les bouts restant, choisir la musique…  Jugez par vous même :

 


GIRL GEEK PARTY 8 juin 2010
envoyé par annikapanika. – Découvrez des webcam de personnalités du monde entier.

 

 

Bref un grand merci à Sandrine et à tous ses sponsors qui ont fait de cette soirée une réussite. Rendez vous cet automne pour la prochaine édition….

Crédit photos Patrick Gripe pour les photos couleurs et Egobox pour les noirs et blancs

Alors ce sont les vacances, pendant quelques jours pas d’enfants à la maison mais vu les allers retours qu’ils font, ça va pas durer. En attendant voici ce que j’ai fait à mes chérubins un jour où je devais aller je ne sais où et abandonner ma progéniture.

Il me restait de la bolognaise  de la veille, je voulais faire quelque chose relativement rapidement pour le déjeuner pour qu’il n’y plus qu’à le réchauffer. En plus de patates, il trainait quelques carottes et une courgette dans le frigo.  J’ai fait un parmentier avec une purée de pommes de terre, carottes, des courgettes. On met la bolognaise et c’est parti!


Ingrédients pour 4 :

  • Quantité suffisante de bolognaise
  • 500gr de pommes de terre
  • 3 carottes
  • 1 courgette
  • Sel et poivre
  • 50gr de beurre
  • 300ml de lait (+ ou – selon la consistance voulue)
  • 100gr de fromage râpée

Éplucher les pommes de terre, les mettre dans l’eau froide salée et faire cuire environ 20 à 30mn selon la grosseur. Pendant ce temps, éplucher les carottes, les couper en morceaux et rajouter avec les pommes de terre (elles prennent moins de temps à cuire si on les coupe en morceau plus petits) et 10mn avant la fin de la cuisson des pommes de terre, ajouter la courgette lavé et coupé en tranches. Quand tout est cuit, égoutter et presser avec un bon vieil presse purée. Faire chauffer le lait. Mettre le beurre dans la purée et quand le lait est chaud verser tout en remuant jusqu’à la bonne consistance.
Faire chauffer le four à 190° Beurrer un plat qui va au four, mettre la bolognaise au fond et la purée par dessus et éventuellement du râpé!


Pour les photos, vous n’aurez que celles que j’ai prises avant de mettre au four puisque j’ai lâchement abandonné mes enfants à leur triste sort avec le plat dans le four et j’étais très contente qu’il n’en est rien resté.

J’avais déjà mis un plat à base de bolo récemment,  c’était ici,
des aubergines à la bolognaise
. Et j’ai trouvé cette recette de Marjolaine qui fait une version parmentier de courgettes. Et vous vous avez des variantes de parmentier?

(photo ADELAP)

Non je n’exagère pas c’est bien le plus grand marché du monde, d’ailleurs quand on arpente ses 232ha en voiture et à pied c’est immense. Mais pour commencer par lé début, il était une fois une bande de bloggeurs qui se sont levés très très tôt à l’invitation de Monsieur Christophe Couteleau de la société Rouge Gorge pour visiter le Marché d’Intérêt National de Rungis. Nous nous y sommes retrouvés à 5h du matin sous une bruine qui ne nous a pas lâché de la journée! Euh, pardon de la matinée, je me trompe mais en fait quand la matinée dure de 5h du matin à 11h on a presque l’impression d’y avoir passé la journée.


Donc, par cette froide matinée de soi-disant printemps (puisque c’était début juin!!!), j’ai retrouvé Anne, Pascale, Dorian, Angélique, Alexandra, Marie-Laure et Silvia pour cette aventure qui était la découverte du marché. D’ailleurs je trouve que nous sommes tous très mignons sur cette photo (merci Alexandra).Nous étions invité par Christophe Couteleau qui est le responsable de l’entreprise familiale Rouge-Gorge. La visite s’est également fait en compagnie de Gilles Lacharme, chef de projet de la direction marketing &
communication de Rungis. Merci Messieurs pour votre gentillesse et toutes vos explications.

Nous avons commencé la visite par la halle aux poissons puisque c’est elle qui ferme le plus tôt, d’ailleurs ils étaient déjà en train de remballer, pour eux la journée à Rungis se termine aux alentours de 5h du mat!!!

Gilles Lacharme et Christophe Couteleau entouré par des bloggeurs très attentifs….

Le coté un peu glauque avec cette lumière artificielle…

Tous les glaçons utilisé par la halle des poisons sont fabriqués dans cette tour juste à l’extérieur (qui fait aussi assez glauque dans cette lumière matinale).

La visite a continué par les quais de déchargement de la gare,

Cette gare relativement récente permet de réceptionner les convois de marchandises directement au cœur de Rungis…

Ensuite ce fut la visite de la Triperie, suite aux pb de la Vache folle, la Triperie a failli fermer puis c’est reparti de plus belle, quoique la beauté c’est relatif dans ce lieu mais je suis sure qu’il y a des gens à qui cela doit plaire….

Les murs sont couverts de souvenirs de l’époque des halles au cœur de Paris et d’affiches diverses et variés :

On traverse des immenses couloirs, on passe de halle en halle, parfois on prend la voiture pour se déplacer et on arrive aux volailles, personnellement, ces petits cailles ne m’ont pas plus plu que ça mais plusieurs de mes collègues ont eu une petite étincelle dans les yeux. Je pense qu’ils avaient déjà des idées très précises sur comment les préparer…

Ensuite nous sommes arrivés à ce qui pour moi symbolise Rungis la halle des viandes avec ces énormes carcasses et ces messieurs avec leurs blouses blanches.

Puis, nous sommes passés par les fromages et les oeufs….

Et alors là je peux vous dire que même si il n’était pas encore une heure décente (avant 7h) je les aurais dévoré leurs fromages! Ahhhhh

D’ailleurs la faim commençait à se faire sentir mais on avait pas encore tout vu, c’était le moment des halles aux fruits et légumes, en commençant par le carreau de producteurs (qui sont presque tous de la région parisienne).

Et alors là des fruits, des légumes et des herbes toutes plus fraiches les unes que les autres. Et même des fleurs (dédicace spéciale pour Birgit!).

Et même des fraises de bois…

Ensuite les choses sérieuses, les grandes halles de fruits et légumes, il y en a 3 identiques, c’est immense.


Vue d’en haut de la galerie.

Et vue du sol!

En plus des myrtilles, il y a aussi des framboises arctiques, c’est dingue…

Et ensuite les melons!!!!

Et là dégustation (sauf pour certains qui n’aiment pas le melon!!! Rhaa lala). Un régal et avec toutes les explications pour choisir le melon. Je ne suis pas sure d’avoir tout retenu mais les derniers melons que j’ai choisi sur un étal  étaient très bons, donc il m’en est resté un peu.

Ensuite ce fut le petit déjeuner autour d’une table bien rempli de victuailles et les question ont fusé. C’est là qu’on a appris qu’en fait Rouge Gorge était une entreprise familiale de la région de Taizé mais leur production se fait maintenant également dans le Sud de la France, l’Espagne et le Maroc de manière à pouvoir fournir des melons pendant toute la saison. Le type de melon produit et commercialisé sous le nom de Rouge-Gorge est le melon jaune Charentais. Ce n’est pas une dénomination d’origine mais bien un type de melon!

Encore merci à Christophe Couteleau pour ses explications sur le melon  et merci à Gilles Lacharme, pour ses explications sur Rungis. Ce fut une matinée très intéressante et instructive.

Alexandra a fait une vidéo, elle est visible ici : http://vimeo.com/12505908

Edit : Anne de Papilles a depuis la visite de Rungis visité les champs de Rouge Gorge, je vous mets les liens vers Comment choisir un bon melon et  Melon : la cueillette

Après les petits pains aux olives et au thym sans pétrissage découverts récemment, j’ai essayé d’autres variantes avec la même recette. Les pains aux lardons et olives (125gr de lardons incorporés dans la pâte et un peu de sel). Étant donné que mes enfants adorent le pain type fougasse, ils m’ont tout de suite demandé la version avec lardons (mais ils ne m’ont pas encore demandé avec des anchois je vous rassure). D’ailleurs c’était tellement bon que c’est parti très vite et je n’ai pas pris de photo! Oups!!!

A propos de fougasse, je ne voudrais pas rentrer dans une polémique stérile sur comment on fait la fougasse. Mon cher et tendre dit que c’est de la pâte feuilleté comme dans la boulangerie en bas de chez lui à Nîmes! Ce doit être sa madeleine. Et moi je prétend que je n’en sais rien mais que j’aime les fougasses à base de pâte à pain! Et voilà.

Ensuite j’ai testé avec des airelles séchées (env 60gr) et des raisins secs (env 60gr). Même recette que précédemment et c’était un régal aussi.



Je me demandais si je devais faire gonfler les fruits secs dans un liquide quelconque avant de les incorporer dans la pâte mais finalement ce n’était pas nécessaire. Et ces petits pains sont délicieux le matin au petit dej. Bref, une découverte cette recette sans pétrissage. Essayé et adopté!

Les dernières semaines ont étés riches en évènements, que ce soit pour les enfants, première au Théâtre pour ma Miss Bobette dans Iphigénie ou le péché des Dieux.

En toute objectivité, je dois dire que ma fille est formidable. Mon Bob junior passe son bac de Français et Ptit’Bob était malheureux comme les pierres (elles sont vraiment malheureuses les pierres?) suite au vol de sa trottinette dans la bibliothèque où il passe la plus part de son temps libre.

Les vacances ont déjà commencé pour Miss Bobette, et d’ailleurs elle n’est pas très présente en ce moment très occupé à sortir. Le Grand doit attendre Lundi prochain pour l’oral et le petit dernier va commencer à nous casser les pieds : « je m’ennuie » dés Vendredi soir.

Coté boulot, c’est un salon qui m’a pris mes journées et mon week end, mais c’était passionnant d’organiser notre participation ainsi que celle de nos partenaires (comme on dit!). Et coté Blog, je vous parlerais bientôt d’une sortie à Rungis avec une bonne bande de bloggeurs, là aussi une matinée extraordinaire pour explorer ce lieu qui mérite bien son nom de marché gigantesque. Ensuite ça été un atelier sur le thème des légumes et toujours une bonne ambiance pour cuisiner entre bloggeurs.
Ajouter à cela un petit souci avec une épaule droite (bien sur puisque je suis droitière) et le résultat est que je n’ai pas beaucoup fait la cuisine ces derniers temps. Des classiques, des tartes, des pâtes , des pizzas livrés et surtout le reste de la famille qui s’est mis au boulot…..

Donc aujourd’hui Mercredi, un des gâteaux préférés de mon bachelier : le chocolat banane. Une recette à la base de Pascale Weeks sorti de son livre Cookies, Muffins & Co que j’avais déjà publié mais sans la recette et maintenant que c’est  devenu un basique à la maison, les enfants partent du principe qu’ils vont trouver la recette sur le blog…. Alors voilà!

Ingrédients :

  • 100gr de beurre mou
  • 100gr de cassonade
  • 1 sachet de sucre vanillé
  • 2 œufs
  • 3 bananes mures écrasés (ou coupés en morceaux et passés au micro-ondes quelques minutes)
  • 225gr de farine
  • 1/2 sachet de levure chimique
  • 100gr de chocolat noir coupé grossièrement en morceaux

 

Préchauffer le four à 180°

 

Mélanger le beurre mou, le sucre et le sucre vanillé jusqu’à obtenir un mélange crémeux. Ajouter les œufs battus et mélanger. Ajouter les bananes écrasés, mélanger encore. Ajouter la farine et la levure, mélanger (encore et toujours). Ajouter le chocolat et donner un dernier coup pour l’incorporer. Mettre dans un moule, beurré et fariné ou dans un moule en silicone, et mettre au four pour 45mn environ. Le couteau inséré dedans doit ressortir sec (sauf pour les traces de chocolat fondu!). Laisser refroidir sur une grille, démouler et enjoy avec un verre de lait par exemple.

Remarque : on peut mettre des pépites de chocolat mais nous avons trouvé cela moins bon, on peut aussi remplacer le chocolat par des noix concassés comme dans la recette originale de Pascale.

… ou comment découvrir des merveilles dans le potager de Alain Passard!

LG pour la sortie de sa nouvelle gamme de frigos No frost a invité une poignée de bloggeurs à visiter le potager d’Alain Passard, le chef de l’Arpège. Ce potager situé à coté du Mans, à Fillé sur Sarthe, permet à Alain
Passard de cultiver les légumes pour son restaurant.

Parmi les choses intéressantes que nous apprises lors de cette journée il y a l’initiative de LG qui pour chaque frigo acheté de cette gamme (ou presque chaque frigo), s’engage à acquérir la production d’une parcelle de 1m² du potager de Alain Passard soit 1kg de légumes et d’en faire don aux cantines des écoles de Carrières sur Seine. Ils s’engagent pour un total 7 tonnes de légumes naturels soit 35 000 repas. Heureux bambins!

Après un court voyage en train en très bonne compagnie puisque j’étais avec Hélène, Adèle, Elodie, Edouard, Philo, Sophie, Griottes, Nadia, Karen et Clémence nous avons poursuivi une dizaine de minutes en car pour arriver à Fillé sur Sarthe.

Nous avons été accueillis par l’équipe de Alain Passard qui était visiblement déjà au boulot depuis un certains temps à voir les préparatifs.


Dans ce cadre enchanteur, nous avons pu déguster des merveilles de légumes : jus de betterave-navets-pommes et jus de carottes-oranges, un taboulé aux légumes avec un pesto d’herbes vertes,


des petits pois à la fraise,


des fèves aux pétales de roses,


des asperges aux petits poireaux (ma version est plus bas!),


Ensuite coté barbecue nous avons pu manger des couteaux et du homard avec une sauce à l’estragon (je crois???)


et puis enfin coté rôtisserie nous avons pu gouter aux poulardes du Haut Maine avec une sauce aux échalotes à mourir.


Après ça ce fût les desserts, des macarons et une une salade de fraises à l’hibiscus ::


Après ce magnifique repas, la visite du potager, les chevaux qui travaillent la terre (pour ne pas la tasser) ont étés vus de loin et j’ai adoré les coquelicots qui parsemaient le potager!

Nous sommes repartis tous guillerets avec un panier de légumes sous le bras, un livre de recettes ainsi que de la moutarde.

Il y avait des fèves mangés juste cuites quelques minutes, épluchés puis grignotés tels quels avec un peu de fleur de sel, des carottes brossées et grignotés également tels quels.


Pour les asperges j’ai essayé de refaire ce que nous avions mangé cet après midi là :

Ingrédients :

  • une botte d’asperges blanches
  • 2 petits poireaux très jeunes
  • QS de beurre
  • fleur de sel


Nettoyer les asperges, les couper en tronçon puis couper les tronçons dans le sens de la longeur en 2 ou en 4 selon l’épaisseur. Pour les pointes, j’en ai gardé les plus petites entières et les plus grosses coupés en deux. Nettoyer les poireaux et les couper très finement en rondelles. Faire chauffer le beurre, quand il est fondu mais pas brunit mettre les asperges et couvrir aussi tôt. Laisser cuire quelques minutes (entre 5 et 10) à couvert et feu moyen. Ajouter les poireaux et laisser cuire encore 2mn. Saler avec de la fleur de sel et régalez vous!

Remarque : lorsque le cuisiner a préparé ces asperges devant nous il a rajouté au dernier moment du parmesan râpé. Mes loustics n’étant pas fan, je me suis abstenu. Mais les deux versions sont excellentes.

La journée était magnifique, l’organisation du tonnerre et la compagnie hilarante! Merci à Houda et Benjamin pour cette invitation ainsi que LG et bien sur Alain Passard pour son charmant accueil.

Bon avec tout ça il ne me reste plus qu’à changer de frigo! Je crois que j’ai trouvé celui qu’il me faut…

Promis je ne vous fait pas la recette des œufs durs même si je vous ai donné récemment la cuisson des œufs à la coque…Cette fois ci c’est bien d’œufs durs que je veux vous causer. Récemment j’ai rencontré Losgatos qui sévit sur Du bruit dans la Map. Et lorsque je l’ai recroise la semaine dernière elle m’a très très gentiment apporté un petit cadeau.

On fait cuire des œufs durs, on les écale encore chaud et on les met délicatement dans le moule que l’on met dans de l’eau froide. Au bout de quelques minutes on peut sortir les petites merveilles. Cela a ravi mes loustics. Merci beaucoup Losgatos..

Je ne m’en lasse pas de ces ateliers cuisine où non seulement on fait des rencontres, on retrouve des amis mais en plus on apprend pleins de trucs.

Cette fois ci c’était Electrolux qui nous a invité dans l’atelier Art Home dans le Palais de Tokyo pour une « bataille culinaire » bloggeurs geek contre bloggeurs culinaire!!! C’était pas triste.

Pour vous planter le décor imaginez un immense atelier de cuisine sous les toits avec Judith et  Raphaël aux commandes de l’atelier. Une partie exposition avec du matériel de chez Electrolux, j ‘ai adoré le frigo co-loc et le grille pain à motif! La cuisine équipé comme on en rêve, avec des appareils en veux-tu en voilà. Un vrai plaisir de travailler avec du bon matériel.

Ensuite c’était au boulot et je vous promets que nous n’avons pas chômé sous les yeux attentifs de nos coachs. Les canogli  à la glace au nougat était un vrai défi. On a étalé de la pâte à tuiles aux pistaches, roulé les canogli, fait de la nougatine, cassé la nougatine, rempli les canogli de glace.


Stéphanie et Dorian en pleine action

Toujours le mêmes en train de bosser avec Pascale et Birgit.

Les Geeks au complet avec Judith de l’atelier

Nos concurrents et néanmoins amis nous ont concocté des cuisse de pintade farcies avec des aubergines grillée avec une petite sauce et des bricoles autour….

Après ce travail harassant (si si je vous assure) nous avons pu gouter à ces merveilles. Et ce sont les Geeks qui ont gagné la bataille. Ils ont fait un boulot d’enfer.

 

Merci à Marine pour cette très bonne idée et pour son invitation.


Décidément j’aime les cobblers, après les fruits rouges, voici le rhubarbe-fraises. Toujours une demande du petit dernier qui adore la rhubarbe. Et l’association Rhubarbe-fraise m’avait beaucoup plu l’an dernier dans je ne sais plus quelle recette. Alors le voici sous la forme d’un cobbler qui commence à devenir un grand basic à la maison.


Ingrédients :

  • 400gr de rhubarbe
  • 1dl de cassonade
  • 1dl d’eau
  • 200gr de fraises


Pour la pâte :

  • 150gr de beurre
  • 150gr de farine
  • 2 œufs
  • 200gr de sucre (cassonade)


Mettre le four en route à
190°C.

Couper la rhubarbe en morceaux et la mettre dans une casserole avec la cassonade et l’eau. Faire cuire à feu moyen 10mn.

Mettre les fruits au fond d’un plat, mettre les fraises nettoyés par dessus.

Faire fondre le beurre et
laisser refroidir. Mettre les fruits au fond d’un plat et verser les
50gr de sucre et la poudre d’amandes.

Mélanger les œufs, avec
le sucre, la farine et ajouter le beurre fondu. Verser sur les fruits.
Mettre au four pour 35 à 45mn.

A servir avec un glace ou pourquoi pas une petite chantilly!!!


Il restait du sirop au fond de la casserole que je n’ai
pas voulu mettre dans le plat. Il était délicieux dilué avec un tout
petit peu d’eau.

 

PS j’en ai même oublié mon blog anniversaire! 4 ans et 11 jours. Bientôt la maturité?

Il y a quelque temps de cela j’ai eu le grand plaisir d’être invité à une soirée de dégustation de vins. Le but était de choisir parmi 90 vins, les 15 vins qui seraient les Bordeaux de l’été (5 Blancs, 5 rosés et 5 clarets).
La soirée était organisé par le Syndicat Viticole des Bordeaux et Bordeaux Supérieurs et a eu lieu au restaurant le Sens à Paris.


Pour cela nous étions  50 femmes et 1 homme (mais j’y reviendrai plus tard) à déguster par petits groupes plusieurs vins, les noter et puis recommencer. Il ne devait en rester que 15. Ouh la la quel boulot! Mais passionnant, nous avions à notre table une représentante des Caves de Sauveterre qui nous a donné pleins d’explications sur le pourquoi et le comment des vins et de la dégustation. 

Nous avons donc passé la soirée à gouter des vins et les comparer, heureusement que nous avions un crachoir et une grille à remplir assez bien faite qui nous a donne des lignes à suivre. Cela étant dit après un certain temps, je dois dire que j’ai trouvé ça de plus en plus dure à faire la différence. Mais c’est que c’est un métier que de gouter des vins!   (Je ne vise aucun amateur éclairé)

Après comptage et re-comptage des points attribués les gagnants ont été annoncé, la liste complète se trouve ici. Je voudrais quand même préciser que ces vins ont tous étés choisis dans une gamme de prix totalement raisonnable, entre 3 et 8€.

En fait c’est grâce à Anne de Papilles et Pupilles   que j’ai pu assister à cette soirée, il y avait aussi Losgatos et cela ne va pas vous étonner Léonie Canot puisque depuis peu nous faisons tout ensemble.  Merci Anne pour cette super idée. Le seul homme invité de la soirée était Alex qui en fait remplaçait une collègue au pied levé. Pas facile dans cette assemblé toute féminine mais il a bien relevé le défi.

Merci aussi au Syndicat
Viticole des Bordeaux et Bordeaux Supérieurs
pour l’organisation de cette soirée  toute en modération of course!

En bonus je vous mets  le lien vers un blog  Les tribulations vinicoles de Miss Glou Glou que j’ai découvert récemment et elle a fait un post avec vidéo dont le titres est Comment cracher le vin avec élégance! Tout un programme!!  Personnellement j’ai encore à apprendre. Enjoy.

Toujours ma quête de « je me débrouille dans ma minuscule cuisine sans appareils encombrants » ou ce que j’ai appelé « halte au sur équipement cuisinesque » je suis absolument ravie de vous faire part de cette recette de pain trouvé chez Paprikas. Il parait qu’elle a fait le tour de la blogosphère mais je me suis débrouillé pour passer à coté!! Donc un pain qui doit lever une fois (et pas deux comme toutes les autres recettes que j’ai), un pain qui ne se pétrit pas, mais que demander de plus : Quelqu’un pour ranger tout mon binz dans la cuisine après moi peut être…..

Ci dessous la liste des ingrédients utilisés par Paprikas et mes modifs.

Ingrédients :

  • 375 g de farine T45 T55 (c’est à dire celle que l’on trouve partout)
  • 12 g de levure boulangère fraîche ou 1 càc de levure sèche
  • 1 cuillère à café de sel
  • 25 cl d’eau tiède
  • 5 cl de lait tiède
  • 1 cuillère à café de miel (j’ai utilisé du miel liquide)
  • 60 g d’olive verte dénoyautées et coupées en rondelles
  • 1 cuillère à café de thym séché frais, j’ai utilisé quelques branches

Mettre la farine dans un bol, faire un puits et y émietter la levure. Ajouter l’eau tiède (attention pas trop chaude sinon on « tue » la levure, ni trop froide, sinon elle ne lève pas). Mélanger et laisser poser quelques instants le temps de couper les olives. Ajouter les olives, le thym, le miel dilué dans le lait tiède et éventuellement le sel (comme je trouvais que les olives étaient suffisamment salées je me suis abstenu). Mélanger sans trop insister puisqu’on vous dit qu’on a pas besoin de pétrir. La pâte reste collante mais c’est normal. Couvrir d’un linge humide et laisser à l’abri des courants d’air pendant une heure. Personnellement vu mon manque de place je l’ai mis dans le four froid, et je l’ai sorti 10mn avant l’heure pour mettre mon four à chauffer à 200°.
Quand la pâte a levé, la mettre sur une surface farinée et toujours sans pétrir, former un boudin et partager en 10 à 12 petites boules. Poser sur une plaque recouverte de papier sulfurisé et mettre au four. Juste avant de fermer la porte, verser un verre d’eau dans la lèche frite, c’est ce qui donne ce coté doré au pain. Faire cuire pendant 25 à 30mn.


Hier soir je suis allée voir une exposition formidable.  Sous le titre « Cultures des laits du monde » la Milk Factory propose un voyage à travers les différentes cultures du lait

Ce qui m’a attiré là bas était la présence de Isabelle Rozenbaum, que les bloggeurs culinaires connaissent bien pour la plus part puisque elle a fait un atelier photo au dernier salon du blog culinaire. D’autres la connaissent par ses magnifiques livres de photos comme un de ses derniers Inde, intime et gourmande. D’ailleurs Padmavathi
Paradin qui a écrit ce livre avec Isabelle était également là. Ses explications sur la culture du lait en Inde et chez les Hindous étaient fascinantes.


J’aime beaucoup ce que fait Isabelle Rozenbaum mais j’ai du mal à vous décrire ou à vous expliquer plus, si ce n’est qu’elle présente une vidéo et des photos de ses derniers voyages en Inde, au Sénégal et au Maroc. Le plus simple c’est que vous alliez voir….

Pour en savoir plus :
La Milk Factory
HORS LES MURS
GALERIE DEBORAH ZAFMAN
3-5  PASSAGE DES GRAVILLIERS – PARIS 3
      
      

du 12 mai au 26 juin 2010
du mardi au samedi, de 13h à 19h – entrée libre
      

http://www.rozenbaum.com/
http://www.oreille-culinaire.fr/

 


PS Petit bonjour à Carine que j’ai été ravie de retrouver là bas.