J’ai cru comprendre ne pas être la seule à faire cette recette (remarquez, c’est plutôt une astuce qu’une recette) mais je vous la livre pour vos apéros estivaux en complément du saucisson-olives.

 

 

 

Vous allez voir c’est extrêmement compliqué :

 

 

 

Une boite de thon entier au naturel (à l’eau) de 200gr (140gr net égoutté)

Une boite de St moret de 150gr

En option : poudre de curry ou de tand

Mélanger dans un bol à la main le thon et le St Moret. Saupoudrer de curry ou de tandoori. Et c’est tout.

 

Nous trempons dedans des chips tortillas, des bâtonnets de carottes, ou de concombre. On peut en faire des toasts avec du pain grillé. Bref on « dip » ce que l’on veut.

Un crumble à la tomate qui provient d’un livre intitulé Crumbles par Camille Le Foll aux éditions Marabout, je vous livre ma version un peu modifiée.

 

 

Ingrédients : 

  • environ 1 kg de tomates
  • 3 à 4 oignons blancs selon la taille
  • du beurre
  • de la cassonade
  • thym et romarin

pâte :

  • 100 gr de beurre
  • 140 gr de farine
  • 80 gr d’amandes concassées
  • 60 gr de parmesan
  • sel et poivre

 

Préchauffer le four à 200°.

Couper les oignons et les faire revenir doucement dans une poêle avec du beurre, quand ils commencent à prendre de la couleur les saupoudrer de cassonade et laisser cuire 10 minutes à feu doux, pour faire caraméliser le sucre.

D’autre part couper les tomates en morceaux et les laisser s’égoutter dans une passoire une dizaine de minutes.

Verser les oignons dans un plat à four et mettre les tomates par-dessus, mettre le thym et le romarin.

Préparer la pâte : mélanger la farine avec le beurre froid coupé en morceaux, le parmesan râpé et les amandes, le sel et le poivre. On mélanger du bout des doigts ou avec un couteau (quand on est une chochotte comme moi). Verser cette pâte sur le mélange tomates-oignons. Mettre au four 1 heure et servir.

 

Remarques : Comme d’habitude je suis un peu imprécise quant aux quantités. Pour les tomates et les oignons j’augmente selon le nombre d’invités. Par contre la pâte reste fixe. La recette originale dit d’épépiner les tomates, je préfère ne pas le faire. Elle inclut aussi de l’huile d’olive dans la pâte que je ne rajoute pas. Pour la quantité de cassonade, voyez vous-même de manière à ce que les oignons soient enrobés et à votre goût.

 

Je sers ce crumble avec en accompagnement de barbecue avec les pommes de terre déjà citées.

Après les commentaires du Héros de Véro qui les a qualifiés de diaboliques, je me suis essayé au Shortbreads du livre de Pacale Weeks voir le gâteau à l’orange et au pavot.

En effet ils sont très très bon et faciles à faire. Par contre, encore une fois je vous recommande vivement d’acheter le livre parce que je ne vous donnerai pas la recette.

Courgettes farcies avec les courgettes du jardin! Un top en cette saison estivale

Aujourd’hui est une journée jardin, il faut préciser que suite à quelques travaux, le jardin derrière la maison ressemble à un champ de patates. Mais un champ surélevé par rapport à ce qu’il était précédemment de 40 à 50 cm, donc mon arrivée d’eau (pour le jardin) est à 50 cm sous le niveau du jardin. J’ai les mains en compote à force de creuser, des ampoules partout (pauv ptite chérie). Le Bob bosse ce matin, vous pensez bien que sinon je lui aurait refilé le bébé. Mais il faut le faire avant qu’il ne fasse trop chaud, déjà là à 12h il fait 29°. Evidemment, quand j’ai enfin réussi à remettre l’eau en route, je m’aperçois qu’il y a une énorme fuite au niveau d’un tuyau qui lui n’est qu’à 20 cm sous la terre. Bon j’arrête tout, il y a des limites à ce que je suis prête à faire. Le Bob va devoir s’y coller en revenant.

Courgettes farciesJe vais donc commencer à réfléchir au déjeuner : Je pensais faire des courgettes farcies, j’avais mis au congélateur de la farce (env 800gr) acheté chez mon charcutier (non je ne fais pas ma farce, je l’achète toute faite, si quelqu’un a une bonne recette, pas compliqué, je prend) en me disant qu’avec mes formidables courgettes j’allais avoir de quoi faire un de ces jours.

Je suis allée voir mes courgettes que j’ai un peu négligées depuis quelques jours et je suis tombé sur deux monstres de 40 cm de long. Alors je les ai coupés en gros tronçons, évidées et remplies de farce (je ne vous ai pas précisé que j’ai décongelé la farce, mais vous faites comme vous voulez). Il me restait 2 tomates qui s’ennuyaient que j’ai coupés en petits morceaux pour mettre au fond du plat, du sel et du poivre.

¾ d’heure au four, servi avec du riz et voilà le déjeuner du dimanche qui est prêt. Bon appétit.

Bon, je sais, il y a autant de façon de faire un curry de poulet que de chemins qui mènent à Rome. Et surtout il y a autant de mélange différents d’épices que de cheveu sur le crâne de mon Bob (qui n’en a plus trop mais quand même si on les comptait cela chiffrerait certainement).

Bref chacun à ses épices et sa recette.  Pour les épices je trouve que Mr Ducros  dans sa gamme Saveurs brutes a un curry qui est pas mal mais surtout au niveau de la présentation, je m’explique les épices ne sont pas complètement moulus donc c’est assez joli à saupoudrer. Par contre quand il faut faire un poulet au curry, je ne jurais que par les épices Sharwood, le mild ou le strong selon. Mais je n’en ai pas encore trouvé ici à Aix. Donc en attendant pour faire le plat favori de mon Bob et de mes trois loustics il a fallu improviser avec ça :

Curry de poulet

 

(J’ai un mal de chien à faire des photos de prés sans que cela devienne flou, je vais persévérer mais en attendant c’est flou !!! désolée)

C’est de chez Pataks, de la pâte à curry indienne Mild. Ne vous fiez pas au mild. Il est indiqué sur le pot 8 cuillères à soupe c’est-à-dire 120 gr pour 800 gr de poulet, et c’est l’horreur. J’ai essayé je vous le jure ne le faites pas.

Bon voilà la recette que je fais :

  • 800 gr de poulet avec os de preference

  • 1 oignon

  • 1 gousse d’ail

  • 1 cuillère à soupe de pâte Pataks de curry

  • une boite de tomates pelés

  • un verre d’eau

  • une boite de lait de coco (env 150 à 200ml)

  • éventuellement une courgette coupée en dés (cela donne de la texture à la sauce)

  • Sel et poivre

 

Faire revenir le poulet dans de l’huile d’olive pour le faire dorer, puis réserver.

Faire revenir l’oignon avec l’ail dans la sauteuse quelques minutes à feu moyen, pour qu’ils prennent un peu de couleur.

Mettre une cuillère à soupe de la pâte à curry avec les oignons et faire revenir une minute ou deux.

Remettre le poulet, ajouter les tomates, le lait de coco. Et les courgettes si vous le souhaitez. Salez – poivrez.

Faire cuire à feu moyen 60 mn, ou plus longtemps (2h) à feu très doux.

En général je préfère faire ce plat la veille, et le réchauffer, je trouve qu’il a encore plus de goût. Si vous utilisez des blancs de poulets, je vous recommande de rajouter un bouillon cube.

Ensuite pour le servir, du riz Basmati ou Thaï, des bananes coupés en tranches, un mélange concombre yaourt, de la poudre de coco, et du chutney.

Curry de poulet

Que faire quand il reste du poulet rôti (ou n’importe quelle autre viande : bœuf ou porc). Chez nous c’est souvent du porc ou du poulet rôti. Remarquez je fais exprès d’en faire beaucoup, pour pouvoir faire mon frichti aprés.

Nous on appelle ça frichti, hier soir au resto ils ont appelés ça Mia Xi au poulet (je crois que c’était ça). Bref ce sont des nouilles sautés avec tout ce vous voulez.

J’utilise des nouilles achetées chez mon épicier Chinois préféré :

Je vous donne la recette brute de décoffrage, sans préciser de quantités, je le fais toujours au pif selon ce que j’ai.

Je fais revenir des oignons coupés en petits morceaux, de l’ail et du gingembre râpé (ou coupé en morceaux également) dans de l’huile d’olive. Juste pour que cela prenne un peu de couleur. Je les mets de coté. Ensuite je fais revenir selon ce que j’ai en stock des courgettes coupées en dés, des poivrons rouges, des champignons (de paris ou plus exotiques). Je mets de coté aussi.

Faire cuire dans de l’eau bouillante et salé les « nids » de pâtes (je compte un nid par personne les jours de grands appétit). Pour la cuisson suivre les indications du paquet. Surtout ne pas trop les faire cuire et les passer à l’eau froide tout de suite pour pas qu’elles collent. Mettre de coté.

En partant du principe que la viande est coupée en petits morceaux. Sortir les épices : poivre et sel, cinq-epices, soja et poivre du sichuan.

Tout mettre dans une sauteuse ou Wok mélanger et servir chaud.

Voilà à quoi cela ressemble : du gloubiboulga mais je vous assure c’est très bon.

 

Non je ne parle pas de Pascale Weeks mais de Pascale B. une copine de Normandie qui m’a donné cette recette il y a déjà quelques années.

Je l’aime beaucoup pour plusieurs raisons :

D’abord j’adore la rhubarbe La pâte est faite maison avec une recette super facile, qui ne nécessite qu’une casserole (pas de bol ou de rouleau à laver) et pas d’attente au frigo, On peut changer la rhubarbe par ce que l’on veut, des pommes ou même un mélange pommes rhubarbe.

 

Et voilà la tarte : cette fois j’ai ajouté à la rhubarbe quelques framboises pour changer un peu.

 

Fond de tarte :

  • 250 gr de farine
  • 125 gr de beurre
  • 75 ml d’eau
  • 1 pincée de sel

 

Garniture

 

  • 800 gr de rhubarbe fraîche ou congelée
  • 20 cl de crème fraîche liquide
  • 2 œufs
  • 60 gr de farine
  • 200 à 250 gr de sucre selon l’acidité de la rhubarbe
  • 1 cas de vanille liquide

Fond de tarte :

Faire bouillir l’eau avec le sel, mettre le beurre en morceau et laisser fondre avec une légère ébullition. Jeter en seule fois la farine, mettre hors du feu et bien mélanger pour faire une boule.

Etaler la pâte à la main dans un moule à tarte de 28 cm env. Etaler la pâte lorsqu’elle est encore chaude. Mettre au four 10 mn à 200° à blanchir.

Garniture :

Mélanger les œufs, la farine, le sucre et la vanille liquide. Laver et couper la rhubarbe en tronçons de 1 à 2 cm env. On peut utiliser de la rhubarbe congelée, dans ce cas rajouter 10 mn de cuisson à la tarte.

Mettre la rhubarbe sur la pâte et verser la préparation et mettre au four à 200° pendant 45 mn.

 

Voilà c’est très facile à faire et très bon.  A servir tiède avec de la glace à la vanille.

 

Cappuccino Cardamome ou bien café au lait mousseux infusé avec de la cardamome ou même Kardemmuma kaffe pour ma cousine Lotta qui m’a donné cette recette.

Capuccino a la cardamome

Tout d’abord la cardamome (je l’ai vérifié dans le Larousse, ce n’est pas cardamone comme je l’ai cru pendant très longtemps) : on la trouve dans le commerce dans des gousses blanches ou vertes. Ces gousses contiennent des alvéoles qui contiennent des graines. On peut utiliser ces graines concassés ou moulus. J’ai un mal de chien à trouver les graines moulues en France, ils semblerait que certains marchands d’épices en vendent, mais je vient seulement d’en trouver. Jusqu’à maintenant je l’achetais en Suède (ainsi que les clous de girofles moulus). Donc il est vrai que je ne cherchais pas très assidûment.

J’utilise la cardamome dans des recettes suédoises : brioches ou vin chaud. Dans les pays du Moyen-Orient, il semblerait que la cardamome soit utilisée pour parfumer le café…

J’ai déjà essayé de mettre quelques graines de cardamome dans le filtre de la machine à café avec le café moulu. C’est très bon.

Mais pour cette recette je fais différemment, tout d’abord j’utilise cet engin qui se trouve dans toute boutique bien achalandé comme Ikea.

Cappucino Cardamome

  • 50ml de lait
  • 50 ml de café
  • 1 pincée de cardamome
  • du sucre  éventuellement

Faire chauffer le lait avec la cardamome puis le laisser un instant pour que la cardamome « infuse ». Mixer le lait jusqu’à ce qu’il devienne mousseux. Rajouter du café chaud. Sucrer éventuellement.

Capuccino Cardamome

 

Monsieur Bob est persuadé que le barbecue du Dimanche, c’est des vacances pour moi. Evidemment c’est lui qui allume le barbecue, c’est lui qui fait les grillades, c’est lui qui surveille les grillades de son fauteuil avec un verre de rosé à la main (avec modération bien entendu). Et moi je ne fais que les accompagnements. Je suis d’accord, faire trois tomates et deux patates c’est pas difficile mais c’est minuté. Je dois être prête, c’est le barbecue qui donne le feu vert. Bien sûr on ne peut pas arreter le barbecue une fois qu’il a démarré.

 

Donc voici ce qui était prêt quand Monsieur a donné le top départ :


 

Des pommes de terre et des tomates prêtes à mettre au four.

Pour les pommes de terre c’est une recette qui me vient de Anne B.

Laver les pommes de terre, les couper en deux et puis recouvrir d’une fine couche de sel fin. ¾ d’heures au four à 200°, et elles ressortent légèrement gonflé.

Pour les tomates, laver puis couper en deux. Mettre dessus de l’ail pressé, ce que vous avez en magasin comme herbes, moi j’ai mis du basilic. Sel et poivre puis huile d’olive. Au four à 200° aussi longtemps que vous voulez, elles finissent par être difficile à servir mais tellement goûteuses. Ici je l’ai ai laissé également ¾ d’heure. On peut également mettre un peu de sucre en poudre sur chaque tomate pour contrecarrer l’acidité.

 

Et voici le résultat :

 

 

Je sert les pommes de terre avec ça :


 

Sauce aux herbes :

un yaourt brassé, deux cuillères à soupe de crème fraîche, des herbes vertes hachées (aneth, persil, basilic, cerfeuil ou ciboulette), sel et poivre.

Tout mélanger et servir.

 

Pour les herbes je mets ce que j’ai, hier c’était persil + aneth. Les enfants préfèrent à la ciboulette.

Nous servons également cette sauce comme dip pour les bâtons de carotte en attendant que le barbecue soit prêt.

Voilà pour un petit dimanche au soleil. Bonne semaine à tous

Je viens de recevoir en direct de Stockholm un magnifique livre de cuisine de Anna Bergenström. Il s’appelle « Kärlek, Oliver och timjan » sous titré « Mat för välbefinade ». C’est à dire « Amour, Olives et Thym » et « Nourriture pour le bien-être ».

 

 

J’ai plutôt tendance à éviter les trucs étiquetés « sains et naturels » ou « bio et écolo » ou tout un tas d’autres qualificatifs du même genre. J’en ai assez que l’on m’explique à longueur de journée que je ne mange pas bien. Même si en général « ON » a raison.

 

 

 

Donc dans la même lignée j’évite les livres qui me veulent du bien. Il fallait une exception pour confirmer cette règle, et ce serait ce livre. Les recettes sont plutôt méditerranéennes et beaucoup de légumes secs et peu de viande.

Je connais cet auteur depuis la première fois que j’ai quitté le domicile parental avec sous le bras le livre de poche de Anna Bergenstöm « Första kokboken » (Mon premier livre de cuisine) en livre de poche : il coûtait la modique somme de 19,50 Couronne, à l’époque ou le Franc et la Couronne se valait. Depuis ce livre a pris des taches et les pages se détachent. Il reste ma référence pour tout un tas de plats simples.

 

Aux cours des dernières années j’ai reçu certains de ses livres (Merci Maman). Une autre bible étant « Rotation i Köket » (Le robot dans la cuisine). Pour vous situer Anna Bergenstöm, c’est une ancienne journaliste de Dagens Nyheter (grand quotidien du matin) et a une quinzaine de livres de cuisine à son actif, les derniers étant illustré par des photos de sa fille Fanny. J’ai regardé sur Amazon, mais ses livres n’ont pas été traduits en Français ou en Anglais.

Tout pleins de bonnes choses mais en suédois donc je vous traduirai les recettes que j’utiliserai.

La première recette essayée est un Pesto rosso.

Ingrédients pour 250gr de pesto :

  • 75 gr de parmesan
  • 100 gr de tomates séchées
  • 50 à 75 gr de pignons de pin
  • 2 gousses d’ail pressés (je n’en ai mis qu’une)
  • 1 dl d’huile d’olive
  • un peu de poivre noir
  • éventuellement du sel

Si vos tomates sont trop sèches, mettez les dans une casserole recouvertes d’eau, faire bouillir 2 mn puis laisser reposer hors du feu 10 mn environ.

Sortir les tomates de l’eau et les couper en petits morceaux. Mettre ces morceaux dans le robot pour les hacher. Arrêter le robot, ajouter les pignons, le parmesan râpé et les gousses d’ail pressés. Mélanger un peu. Rajouter l’huile d’olive petit à petit. C’est à vous de voir quelle consistance vous voulez donner au pesto, selon l’utilisation que vous allez en faire. Rajouter si vous les souhaitez du poivre et du sel.

Personnellement je n’ai pas rajouté de poivre, ni de sel. J’ai arrêté de mettre de l’huile d’olive quand la consistance ressemblait à une pâte tapenade. J’ai mis mon pesto dans un pot de confiture. Cela doit se garder quelques jours au réfrigérateur.

Je l’ai essayé avec des pâtes fusilli, et j’ai beaucoup aimé. Avec des chips tortilla, cela mériterait un peu plus d’huile. Prochain essai sur des tranches de pains grillés pour l’apéro.

Il est possible que certains d’entre vous s’interrogent sur le bien fondé de la cuisine du sud vu par des Suédois mais essayez et dites moi ce vous en pensez

 

J’ai trouvé au super marché du coin un rayon de plantes aromatiques avec différents basilics. Je n’en connaissais pas autant : du basilic à la cannelle, à l’anis ou au citron. Il y avait des plus iques Pourpre, Thaï, grand vert, Marseillais. Sur l’emballage il y a des explications pour chacun.

 

 

J’ai adoré l’odeur de celui à la cannelle, donc le voici dans mon caddie. L’odeur demande quand même que l’on mette son nez  dessus, elle est un peu subtile.

Leur conseil était « excellent dans les préparations de soupe de fruits frais, (fruits rouges, fraises, framboises, groseilles), sorbet citron et feuille de basilic cannelle hachée au dernier moment. ».

J’ai juste essayé avec quelques fraises coupé et sucrés. C’était délicieux.

 

On pourrait croire que ce blog va devenir un blog uniquement culinaire alors que ce n’était pas mon idée première. Je passe un peu de temps sur les blogs tous les jours et en ce moment je me précipite chez Hélène : mon blog de fille. Et je ne vois pas quoi vous raconter d’autres que mes expériences culinaires, le reste elle le fait tellement bien et si justement à propos. Avez-vous lu ses posts sur les deo, les sacs de Requia parmi tant d’autres. De plus les commentaires de ses nombreux lecteurs en rajoutent juste ce qu’il faut. Par contre je me pose une question, ses lecteurs sont à l’affut ou quoi ? Il se passe moins de 10 mn entre le moment où elle post son message et le premier commentaire. Impressionnant.

Donc je voulais parler de mes cookies chocolat et gingembre : cela fait plusieurs recettes que j’essaie pour les cookies, je crois avoir trouvé mon bonheur ici. Comme d’habitude sur

Marmiton. J’ai partagé la pâte finie en deux bols, au premier j’ai rajouté 150 gr de pépites de chocolat et dans l’autre 100gr de gingembre râpé et 50gr de gingembre confit coupé en petits morceaux. Cela me permet de satisfaire le goût des enfants et celui des parents.

Après consulté des recettes sur Marmiton, posé des questions sur le forum de Marmiton, j’ai regardé les blogs conseillés par l’équipe de Marmiton et je suis tombé sur le blog de Pascale Weeks.

Et je vais tous les jours voir si Pascale a une nouveauté à nous proposer. C’est toujours sympa, coloré et de bon goût. Ce blog ne suffisant pas à remplir ses journées, Pascale a écrit un livre : Cookies, muffins and co. Livre disponible dans toute bonne librairie pour la modique somme de 2€76. Après l’avoir recommandé de vive voix, je le commande directement sur Amazon pour le faire envoyer aux copines.

 

Les recettes sont simples et délicieuses. Nous avons testé la tarte au citron, le gateau à la banane et le gateau aux carottes et au pavot.

Voici la photo de ce dernier Je ne vous donne pas la recette, elle est dans le livre de Pascale.

Gâteau à l’orange et au pavot de Pascale

 

 

 

En plus, il semblerait que Pascale serait en train de commettre un deuxième ouvrage…..

Voici la recette donnée par Muriel qui me vend mes légumes : remplir un pot de 1 l avec des cerises, lavées mais sèches. Ajouter un verre de rhum et un verre de sucre. Mettre le bocal en plein soleil, (l’expression utilisée par Muriel était « en plein cagnard ») pendant vingt jours puis déguster.

Une suggestion de bocal est l’utilisation de bouteille de jus de fruits en verre, cela fait la bonne contenance, et c’est hermétique. Pour ma part j’ai utilisé ce que j’avais :

 

Le sucre a du mal à fondre mais je pense que cela viendra.

L’autre recette c’est avec de l’eau de vie, la recette vient de Marmiton elle est ici .

J’ai juste essayé avec un petit bocal à confiture. Ici le temps d’attente avant dégustation est de minimum trois semaines.

Un régal quand on a bien voulu attendre, à manger avec modération cependant mais en accompagnement du café c’est parfait.

Un Caviar d’aubergines Pour assaisonner des tomates, ou pour manger avec du pain, ou alors comme un dip avec des chips.

Pour cette recette je suis les recommandations de ma maman qui est suédoise, donc je ne peut pas garantir que cette recette est toute a fait conforme, mais moi je l’aime comme ça :

Ingrédients :

  • 2 aubergines de taille moyenne
  • une à deux gousses d’ail (selon les goûts)
  • une tomate
  • un oignon blanc frais
  • huile d’olive (environ 30ml)
  • sel et poivre

 

Allumer le four à 200°. Mettre les aubergines lavées dans un plat allant au four, pendant 30 à 45mn. Le temps dépend de la grosseur des aubergines. Les retourner à mi-parcours. Elles doivent devenir molles.

Lorsque les aubergines sont prêtes, les couper en deux, pour séparer la chaire de la peau. Mélanger au mixer, la chaire des aubergines avec la tomate pelée, l’ail écrasé, l’oignon coupé en morceaux et le sel et le poivre. Ensuite je rajoute l’huile d’olive en filet pendant que le mixer tourne, de manière à obtenir une consistance presque comme de la mayonnaise. Hmmm

Caviar d'aubergines