En fait ma fille m’a demandé de la moussaka, mais ne voulant choquer aucun puriste je préfère appeler cela des lasagnes d’aubergines ou si vous voulez un gratin d’aubergines. Alors j’en ai fait plusieurs versions et ici je vous donne les quantités pour celle d’hier mais c’est parce que j’ai eu de la chance de trouver de la viande d’agneau hachée. Mais c’est également très bon avec seulement de la viande hachée de bœuf ou un mélange bœuf-porc.  De plus, aujourd’hui j’ai ajouté 300gr de courgettes râpées dans la sauce, tout simplement parce que j’en avais sous la main et j’ai bien en mettre un peu partout.

(Et surtout j’ai un loustic en plus à la maison et il ne veut jamais manger des courgettes, comme ça je vais le berner, niark, niark….).

Ingrédients

  • un oignon moyen
  • une gousses d’ail
  • 400gr de viande haché de bœuf
  • 300 gr de viande haché d’agneau
  • 500gr Tomates fraîches
  • 300gr de courgettes
  • 500gr de coulis de tomates
  • sel et poivre
  • Huile d’olive
  • une grosse aubergine
  • Une petite sauce béchamel
  • Du fromage râpé à votre convenance

Faire revenir un oignon coupé en petits morceaux avec l’ail dans de l’huile d’olive, baisser le feu et faire dorer. Ajouter les viandes et faire cuire quelques instants. Ajouter les tomates coupés en morceaux, les courgettes râpés et le coulis de tomates. Saler, poivrer et éventuellement quelques herbes, j’avais du romarin. Laisser blobloter (copyright Dorian?)
environ ½ heure.

Pendant ce temps faire chauffer le four env. 200°. Laver l’aubergine et couper en très fines tranches. Avec un pinceau, étaler un peu d’huile d’olive sur les tranches et les mettre au four 10mn.

Eventuellement les tourner au bout de 5mn.

Voici venu le temps de faire une béchamel, alors pour tout vous avouer je n’ai aucune idée des quantités, je fais chaque fois totalement
au pif. Si j’en veux beaucoup (???) je mets un gros morceaux de beurre à chauffer et si au contraire j’en veut une petite quantité, je mets un petit morceaux de beurre. Logique mais pas pratique pour vous donner des quantités. Quand le beurre est
fondu je rajoute une cuillère à soupe de farine, et si cela ne suffit pas, j’en rajoute suffisamment pour obtenir une boule beurre-farine dans ma casserole. Puis je prends mon super fouet anti-grumeaux et je rajoute du lait (combien????) petit à petit pour obtenir une sauce que je sale, poivre et un peu de noix de muscade au passage.

Ensuite, dans un plat à gratin huilé, j’ai posé au fond des tranches d’aubergines, une rasade de sauce à la viande, une rasade de béchamel, des tranches d’aubergines etc… Je termine par une couche de béchamel et je mets du fromage râpé partout (ou presque, dans un coin il n’y en a pas pour Ptit’Bob, grrrr)

Au four le temps que :

  1. les retardataires arrivent à la maison
  2. que les loustics prenne le bain
  3. que loustiquette parte faire de l’escalade en triple vitesse puisque on a  oublié l’heure
  4. Bref entre ½ heures et ¾ d’heures.

 

Prenez des champignons de paris, ensuite des lardons fumés,
un oignon coupé en petits morceaux. Faites revenir le tout dans un petit peu
d’huile d’olive
. Couper 3 tomates en tout petits morceaux (en essayant de ne
pas y laisser un doigt) et les rajouter. Saler et poivrer. Touiller régulièrement, laisser cuire une dizaine de minutes, rajouter un tout petit peu d’eau si nécessaire. Servir avec
des tagliatelles aux épinards.

 

 

 

PS : Ptit Bob a insisté pour que je vous dise bien que c’est son inspiration et sa cuisine. Donc c’est dit!

 

Nettoyer et couper en morceaux 500gr de champignons de
Paris
. Les faire sauter dans une lichette d’huile d’olive jusqu’à ce qu’ils
aient pris de
la couleur. Réserver. 

                                Pendant ce temps éplucher un oignon et le couper petits
morceaux, faire dorer à feu moyen dans une micro-lichette d’huile.

                Ajouter
700g de viande de veau (du style blanquette) et     laisser dorer quelques minutes.

    Faire
chauffer
400ml d’eau et y mettre deux cuillères à soupe de fond de veau. Remettre
les
champignons avec la viande , et ajouter  l’eau.

        Saler, poivrer et couvrir
environ 20mn à feu moyen!

                 Servir avec des haricots verts et surtout n’ayez pas
honte de montrer ce que vous mangez, hein Bob Junior!


Pas le temps – pas le temps – je cours tout le temps. Et comme il fait chaud c’est salade ou salade ou encore un truc super originale : une salade. En plus je ne varie même pas mes salades. Donc il était temps de leur faire quelque chose un peu différent et comme je n’avais jamais utilisé des feuilles de brick et que j’en avais acheté récemment sans savoir quoi en faire, j’ai voulu essayer la Pastilla. En feuilletant dans les magazines chez mon coiffeur préféré (j’suis plus blonde au fait, même si mes neurones ne sont pas encore au courant), en piquant des idées dans le livre de Marie Laure Tombini Maroccô, je me suis fait une petite pastilla dans mon coin. Comme je n’en ai jamais mangé par ailleurs, je pense qu’elle pas très orthodoxe mais comme tout le monde a aimé.

Ingrédients pour 4 :

  • 4 cuisses de poulet
  • 6 feuilles de brick
  • 1 cuillère à café de cannelle en poudre
  • 1 cuillère à café de cumin en poudre
  • un demi bouquet de coriandre frais
  • 1 cuillère à soupe de sucre glace
  • ½ cuillères à café de piment
  • une petite poignée de pistaches
  • deux oeufs
  • un oignon
  • huile d’olive
  • sel et poivre

Préchauffer le four à 150°

Faire une papillote d’alu pour chaque cuisse. Mettre au four pendant 2 heures.


Quand les cuisses sont un peu refroidies, les détacher des os et émietter la viande.

Faire revenir dans de l’huile d’olive, l’oignon coupé finement. Ajouter les pistaches et le sucre glace ainsi que les épices et la viande. Laisser mijoter quelques instants. Enlever du feu et laisser refroidir. Quand le mélange est tiède ajouter les deux œufs battus.

Chauffer le four à 190°

Plus tôt que de faire les pastilla individuels, j’ai préféré en faire une grande. J’ai utilisé un plat en verre allant au four dont j’ai huilé les bords. J’ai posé quatre feuilles de bricks dedans de manière a ce qu’elles tapissent le fond et les bords. Ensuite j’ai mis le mélange de poulet au centre. J’ai recouvert avec les bords de feuilles qui dépassaient et j’ai rajouté deux feuilles par-dessus qui sont allées également en dessous du paquet ainsi fabriqué. Passer un pinceau imbibé d’huile d’olive sur le dessus des feuilles.

Mettre au four 15 mn et faire griller quelques instants.


Servir avec une salade par exemple.

Toujours cette idée de bouchées faciles à attraper pour un
buffet-déjeuner dehors. Cette fois ci j’ai suivi d’un peu plus prés les indications
de Véro. J’ai bien mis du coulis de tomates et pas du concentré j’ai augmenté
la quantité d’ail mais je n’ai pas pu m’empêcher de mettre une demi-cuillère à
café de piment et 1 dl de lait de coco pour la marinade.

 


 

J’avais tout préparé pour aller faire la fête avec Garance
et les autres bloggeurs, ma petite Bobette avait fait des truffes au chocolat
(pas très approprié avec la chaleur mais bon, c’était ce qu’elle voulait faire !).
Miss Bobette devait venir avec moi, elle mourrait d’envie de voir Jules, le chiende Garance. Le Bob était en partie au boulot, Bob Junior avait organisé un week end d’enfer
avec ses potes (cyber club avec Wow, soirée DVD-piscine puis tennis le
lendemain) et Ptit Bob devait passer la journée chez un autre copain. Je dit
devait, parce que c’était sans compter une saloperie de virus qui l’a mis
totalement à plat. Il était tellement malheureux que nous n’avons pas pu le
laisser.

Résultat des courses, on mange du poulet à tous les repas  et on se régale avec
les truffes (Sauf pauv’ Ptit’ Bob qui est toujours malade !).

Désolée Garance d’avoir loupé ta fête. J’attends avec impatience de voir vos compte rendus à tous.

poulet_aux_epices

A l’origine de cette recette de poulet il y a Véro des Cuisine Métisse, elle le sert comme un plat avec du riz. Claude (l’instit de
Ptit Bob) l’a adapté et servi comme bouchés lors d’un apéro. Donc quand j’ai eu besoin de faire quelque chose
de salé qui pouvait se manger facilement et s’accorder à ce que les autres
invités amènerait, j’ai piqué l’idée de Claude. J’ai un peu adapté la recette,
forcément je n’avais pas tout à fait ce qu’il fallait dans mon placard.

 

Ingrédients :

  • 1,4kg de poulet
  • env. 10 graines de coriandre
  • 3 cuillères à café de cumin en poudre
  • 1 bâton de cannelle
  • 2 cuillères à café de cardamome
  • 1 gros oignon blanc
  • 3 gousses d’ail
  • 1 cm de gingembre frais
  • 1 cuillère à soupe de concentrée de tomates
  • environ 4 cuillères à soupe d’huile d’olive
  • 1 cuillère à café de sel.

Faire griller les épices dans une poêle à sec pendant
quelques minutes.

Dans un mixer hacher l’oignon, l’ail pressé et le gingembre
coupé en petit morceaux. Ajouter le concentré de tomate, le sel et un peu d’huile
d’olive.

Mettre les épices et le mélange dans un bol, ajouter de l’huile
pour faire un mélange onctueux et un peu liquide.

Mettre le poulet coupé en lanières dans la marinade et
laisser reposer 24 h en remuant de temps en temps.

Le lendemain,  préchauffer le four à 200 °

 

Poser les lanières de poulet sur une feuille de papier
sulfurisé sur la lèche frite et enfourner une demi heure. Quand c’est prêt couper en plus petites bouchés si nécessaire.

 

 

 

 

Remarques : vu la quantité de poulet j’ai fait deux
fournées. Et pour des raisons que je ne m’explique pas, une était bien grillé
et pas l’autre donc je l’ai passé 5mn sous le grill.

 

Nous l’avons mangé avec une salade verte et c’était parfait
mais ce doit être très bon aussi avec du riz. Je n’ai pas voulu mettre autant d’ail
que Véro mais la prochaine fois je crois que je suivrais sa recette de plus
prés.

 

PS l’illustration du début c’est le bracelet que j’ai eu
pour la fête des mères Dimanche matin
(à 7h30 ahhhh). C’est Claude qui a fait
faire ça à ses élèves.

poulet_aux_epices

Après notre première journée à Stockholm, comme nous nous étions levés un peu tôt, nous nous sommes dit sur le coup de quatre heures que nous allions rejoindre nos pénates chez mon cousin Fred et sa femme Helena. Bien mal nous en a pris car veille de week-end à Stockholm égal départ très très tôt du bureau. Nous avons mis une heure et demie (alors que 25mn suffisent en temps normal) et nous sommes arrivés sur les genoux. Mais ce cher Fred avait préparé un super dîner, gratin de pommes de terre (qui a dit on ne mange que des patates en Suède ?) et des escalopes de poulet roulés et farcis à pleins de bonnes choses, alors nous nous sommes mis à table et nous nous sommes régalés.


Il avait fait deux versions une sans fromage et une avec, comme j’ai des hypersensibles dés qu’il s’agit de fromage j’ai fait la même chose.

Ingrédients :

  • Des escalopes de poulet (j’en ai pris 750gr ce qui est largement trop pour 5, il m’en est  resté pour le déjeuner du lendemain))
  • 100 gr de fromage de chèvre frais
  • une grosse poignée de tomates séchés
  • plein de basilic (c’est précis ça au moins comme quantité !)
  • une gousse d’ail
  • Huile d’olive
  • Autant de tranches de jambon sec que d’escalopes.

Aplatir les escalopes, ou couper dans l’épaisseur sans aller jusqu’au bout et aplatir. Faire chauffer de l’huile dans une poêle et faire griller quelques minutes les escalopes. Réserver.

Dans un mixer, mélanger les tomates, l’ail et le basilic avec une cuillère à soupe d’huile. Rajouter de l’huile pour avoir une consistance qui permette d’étaler cette pâte.

Sur une plaque allant au four, poser une tranche de jambon, poser par-dessus une escalopes et étaler un peu de pâte par-dessus. Se servir du jambon pour rouler le poulet et fixer le tout avec une brochette en bois (ou une demi brochette dans mon cas).



Quand vous en avez fait suffisamment pour les non-mangeurs de fromage, mettez dans le mixer les 100gr de fromage et mixez. Refaire des roulades avec ce mélange.

Mettre au four un quart d’heure. Et servir avec un gratin.


Autant j’étalais la pâte sans fromage en couche fine, autant j’ai fait des gros tas avec le fromage et je n’ai même pas réussi à finir la pâte.

Quand on passe la journée à la plage mais que le soir on a invité des copains, c’est quand même pratique ce genre de plat que l’on peut juste réchauffer. En fait c’est même meilleur réchauffé. Je suis une grande fan de ce genre de plat qui permet de prendre l’apéro avec tout le monde.

Alors j’avais fait ce Tajine, qui est basé sur une recette de Marmiton. Comme je n’ai pas de plat à tajine je me sers d’un cocotte ronde en fonte qui va au four.

Ingrédients pour 6 personnes :

  • 1,2 kg d’épaule d’agneau coupé en cubes
  • 2 oignons
  • 2 gousses d’ail
  • 15gr d’amandes
  • 25cl de bouillon
  • 4 cuillères à soupe d’huile d’olive
  • 3 cuillères à soupe de miel liquide
  • quelques brins de coriandre frais
  • 1 cuillère à café de gingembre en poudre
  • 1 cuillère à café de cannelle en poudre
  • 1 pincée de pistils de safran
  • sel et poivre

Faire chauffer le four à 180°

Faire revenir l’agneau et les oignons hachés dans la cocotte avec l’huile. Saupoudrer les épices, le sel et le poivre par dessus et remuer.

Ajouter le miel et bien mélanger pour que tous les morceaux soient recouverts de miel.

A coté, faire griller les amandes dans une poêle pour qu’elles prennent un peu de couleur. Les ajouter dans la cocotte, avec les gousses d’ail pelées et hachées, puis le bouillon. Couvrez la cocotte et enfournez pour une 1h50.

Ainsi que je l’ai indiqué au-dessus, ce plat peut se préparer à l’avance et se réchauffer au dernier moment. Servir chaud avec de la graine de coucous.


 

Ouh la la, la semaine est passée très très vite. Ma copine
Luolan est venu nous rendre visite et avec tout ce que l’on a fait, je n’ai pas
eu le temps de m’asseoir pour faire un post.

Nous avons commencé les vacances avec une petite visite du
port de Cassis. Un petit tour de bateau dans les calanques, un pique-nique sur
la plage et comme c’était irrésistible
pour certains un bain (Brrrrr).

Pour revenir vers Aix nous avons décidé de prendre la route
touristique qui passe sur le Cap Canaille (416m de haut, re-brrrrr) La falaise
est déjà très impressionnante vu d’en bas, mais alors la vue sur Cassis quand
est sur la falaise m’a flanqué les jetons.

 


Dans les balades, il y avait aussi l’oppidum au dessus d’Aix, qui nous a permis de faire la photo suivante de la Sainte Victoire, même si le temps était un tout petit peu couvert.

 

Evidemment nous avons également passé la semaine à manger
mais comme je n’ai pas le temps de tout vous mettre, ce sera par petits
morceaux. Nous avons recommencé la saison des barbecues mais un soir nous avons
essayé une préparation pour Curry Thai que Luolan trouve dans son Monop local.

 

Alors vous avez la photo du sachet acheté mais vous n’aurez
pas la photo du curry terminé, il a disparu a toute vitesse et j’ai oublié…
Sachez que Luolan avait acheté deux kits qui contenaient chacun les ingrédients
suivants :

Un sachet de pâte à curry massaman

Un morceau de gingembre

Des racines de coriandre

Une gousse d’ail

Une feuille de laurier

Graines de cardamome (dans les gousses)

Graines de coriandre

Bâtons de cannelle

Deux petites
échalotes

Sauce de poisson

Jus de Tamarin

Anis étoilé

Noix de cajou

Le kit est très complet et contient des choses que je n’avais
jamais vu (racines de coriandre et jus de tamarin???). Il suffit de rajouter de la
viande d’agneau, du lait de coco et de pommes de terre. Tout préparer selon les
instructions et servir avec du riz. Pour tout vous avouer l’emploi des pommes
de terre m’a un peu surpris puisque on mange le plat avec du riz, mais c’était
très bon. Les kits sont annoncés pour deux personnes mais avec deux kits nous
avons mangé à 9 personnes et encore nous n’avons mis que un sachet et ¼ de
l’autre pour la pâte à curry. Et tout le monde
a trouvé que c’était bien hot ! Bref je vous le recommande, c’était très bon.

 

Pour les photos, tout le mérite revient au Chéri de Luolan.

Mes deux grands sont dans un collège de Aix où les profs organisent régulièrement des sorties. Des sorties sur une journée ou des voyages plus longs.

Pour le coup je suis franchement admirative parce que, sans parler de l’organisation du voyage et de gérer 30 à 40 ados sur plusieurs jours,
il y a aussi une sacrée responsabilité. Donc ma Poulette devait partir hier pour Rome pour une semaine, départ en car (gloups) en voyage de nuit. Déjà elle me fait venir au collège avec une heure d’avance pour causer avec les copines (elle ne m’avait pas dit que c’était pour causer, elle m’avait dit que c’était l’heure du rendez-vous) et quand le car arrive il n’y a qu’un chauffeur de prévu. Bon je vous passe les détails législatifs sur le nombre d’heures qu’un chauffeur peut conduire et sur ses heures de repos mais sachez qu’avec un chauffeur ils n’arrivait pas à Rome le lendemain matin. Et de toute façon pour des raisons de sécurité il était hors de question de les laisser partir, et en plus ce n’était pas prévu comme ça. La société de car n’ayant pas d’autre chauffeur, nous n’avons pas laissé partir les enfants. Youpi nous sommes resté 3 heures à nous peler et nous sommes rentrés avec nos enfants. Triple youpi.

Donc la recette d’aujourd’hui a été faite il y a quelques jours déjà mais j’étais bien contente de trouver les restes hier soir en rentrant à 8h.

 

Encore une recette tirée d’un vieux Cuisine et Vins de France. Cela donne un moelleux incomparable au rôti. En plus le croustillant était parfait si ce n’est un tout petit peu trop salé. J’ai utilisé le lait de cuisson du rôti pour faire un gratin de pommes de terre alors que la recette
préconisait de faire une sauce avec des œufs et du porto. J’ai divisé la recette en plusieurs étapes parce que je les ai faites à divers moments de la journée pour que tout soit sur la table en même temps le soir avec un minimum de boulot au dernier moment.

 

Ingrédients :

  •  Un rôti de porc
  • 1 litre de lait (ou plus pour couvrir le rôti)
  • 3 gousses d’ail
  • thym et romarin
  • 1 cuillère à café de coriandre en poudre
  • 1 cuillère à café de cumin en poudre
  • 1 cuillère à café de graines de fenouil
  • 1 cuillère à café de poivre concassé
  • 2 cuillères à soupe de gros sel (réduire la quantité un peu à mon avis)
  • sel fin et poivre du moulin

 

Gratin de pommes de terre

  •  1 kg de pommes de terre
  • sel et poivre
  • 2 cuillères à soupe de crème fraîche
  • 1 gousse d’ail

 

Étape 1 :

Mettre le rôti dans une cocotte avec les gousses d’ails pelés, dégermées et écrasées au couteau et le thym et le romarin. Couvrez de lait, salez et poivrez légèrement. Faire chauffer, quand le lait bout, régler le feu pour que le lait frémisse. Laisser cuire pendant une heure et demie.

Étape 2 :

 

Sortir le rôti de la cocotte. Mettre dans un récipient le sel et les épices. Roulez le rôti dedans et le mettre dans un plat qui va au four avec deux louches du mélange de lait dans lequel il avait cuit précédemment.

Étape 3 :

Préchauffer le four à 210°

Peler et trancher le plus finement possible les pommes de terre. Mettre une couche dans un plat à gratin huilé. Saler poivrer et mettre
un peu d’ail écrasé. Verser une louche de lait et ajouter quelques lichettes de crème fraîche. Continuer de mettre des couches successives de pommes de terre, de sel et de poivre, de crème et de lait. Le lait ne effleurait la dernière couche de pommes de terre. Mettre au four pour une heure.

Étape 4 :

Mettre le rôti au four pour ¾ d’heure a coté du gratin.

 

 

Finalement, elle part ce soir avec ses copines, ses bonbons et deux chauffeurs. Le voyage est réduit d’une journée  mais elle revient à temps pour repartir.

 

L’autre jour je vous ai parlé de mon inquiétude quant au suréquipement cuisinesque mais un des aspects que je n’avais pas abordé est le suréquipement en livres et magazines de cuisine en tout genre.

Bon, on pourrait partir du postulat que l’on n’a jamais assez de livres. On pourrait aussi dire (comme le fait mon Bob) que la limite d’acquisition de nouveaux livres est atteinte quand les bibliothèques sont pleines. Ce à quoi on pourrait rétorquer que ça sert à quoi que Ikea se décarcasse pour faire des bibliothèques pas (trop) chères.


Bref vous voyez je me fait les questions et les réponses. Donc depuis que je fréquente la blogosphère, je trouve pleins d’idées sur le web pour des recettes mais aussi pour aller acheter des livres. Aie, mon rythme d’acquisition de livres de cuisine et de magazines va crescendo. Grâce à Dorian j’ai découvert le magazine Saveurs, j’ai lu le magazine de Cyril Lignac et celui de Robuchon et je suis d’accord avec Anne de Papilles et Pupilles pour les deux, en gros j’aime bien celui de Cyril Lignac et pas du tout celui de Robuchon (il n’y a rien qui me fasse envie et tout à l’air compliqué) même si mon commentaire est un peu réducteur c’est grosso modo ce que je pense, allez voir chez Anne pour une critique plus constructive.

Ensuite les livres, mes derniers achats consistent chronologiquement en  : Bôllyfood de Marie Laure Tombini du blog Autres délices, Agar-Agar de Claire Chaputot du blog Clea Cuisine et Maroccô toujours de Marie Laure Tombini. J’adore les trois.

J’ai toujours aimé la cuisine Indienne et là je vais pouvoir essayer de nouvelles choses. La cuisine Bio et légère par contre, ne rentre pas souvent chez moi (mais j’ai le droit de changer d’avis !). Mais le livre de Cléa c’est plus que ça et si on veut remplacer certains ingrédients bio par d’autres plus courant rien ne vous en empêche. Elle donne des grandes lignes et
des explications sur l’Agar-agar. Personnellement je ne suis pas du tout une fan de la gélatine alimentaire et là elle nous propose une variante avec pleins de recettes alléchantes à la clé.
Et ensuite le dernier Marrocco, dans la même veine que Bôllyfood, des recettes simple mais qui font très envie. Miam.

Donc aujourd’hui un Poulet Korma, un délice à faire, j’ai adoré le préparer avec ces odeurs d’épices.

Ingrédients pour 5 :

  • 4 escalopes de poulet

  • 3 oignons
  • 2 gousses d’ail
  • 40 gr de amandes (je n’avais pas de noix de cajou)
  • 1 cuillère à café de curcuma
  • 1 cuillère à café de gingembre frais
  • 3 gousses de cardamome
  • 1 bâton de cannelle
  • 125 gr de yaourt à la grecque
  • 10 cl de crème fraîche
  • 2 cuillères à soupe de huile neutre (pas d’olive)

Mélanger dans un mixer deux oignons avec l’ail, les amandes, le curcuma et le gingembre avec un peu d’eau (environ 3 cuillères à soupe). Couper le poulet en morceaux, verser le mélange d’épices sur le poulet et mélanger pour que tous les morceaux soient recouverts. Réserver une heure au frigo.

Pelez et émincer le dernier oignon. Mettre l’huile à chauffer dans une sauteuse et faire revenir les oignons avec le bâtonnet de cannelle et le contenu des gousses de cardamome. Ajouter le poulet et faites le dorer. Après 5 à 10mn, ajouter le yaourt et la crème. Laisser mijoter une vingtaine de minutes. Servir avec du riz cuit avec ou sans rice-cooker.



Le seul problème de cette recette tel que je le vois (et ce n’est pas visible sur la photo) c’est la couleur jaune pétante! Je me demande quand même si mon curcuma est tout à fait comme il faut!!!!

PS1 à propos de Bollyfood, quelqu’un pourrait-il me recommander un film pour démarrer ma culture Bollywoodienne qui aujourd’hui est frôle le néant (je dis frôle parce que je sais au moins une chose c’est qu’il existe des film que l’on qualifie bollywoodiens).

PS 2 ma bibliothèque de cuisine est bientôt pleine !!!! Ahhhh

PS 3 Pfff j’ai dépassé la barre des 20000 visiteurs ces jours ci et je ne l’ai même pas vu, (et pourtant c’est n’est pas faute d’aller voir mes stats régulièrement). Donc merci à vous tous de venir lire mes carabistouilles diverses et variés, je m’amuse beaucoup avec ce blog et c’est grâce à vous.

Encore rien de très original, mais agréable avec le froid qui nous est retombé dessus. Je le prépare souvent la veille parce que comme beaucoup de ces plats c’est encore meilleur réchauffé. Pour la cuisson des haricots blancs, j’ai lu sur un blog (sans noter lequel : pan sur les doigts) qu’il ne fallait pas saler les haricots lors de la première cuisson pour pas qu’ils durcissent. Pour les quantités vous ajusterez par rapport au nombre de personnes

Ingrédients pour 6

  • Haricots blancs secs de type lingots (60gr par personne)
  • Saucisse de Toulouse
  • Une petite boite de concentrée de tomates
  • Sel + poivre + thym

Laisser tremper les haricots pendant 12h. Puis les égoutter et les mettre dans une casserole largement recouverts d’eau et laisser cuire doucement pendant 1 heure avec un peu de thym.

Egoutter de nouveau.

Dans une sauteuse faire revenir la saucisse pendant 10mn, ajouter les haricots, le concentré de tomates et 1/3 de litre d’eau. Saler, poivrer, éventuellement encore un peu de thym. Laisser cuire jusqu’à ce que les haricots soit cuits (j’ai oublié de regarder combien de temps).

Des raviolis frits pour une recette très chinoisisante!

Raviolis frits

Les inspirations et les idées viennent de plusieurs horizons mais c’est  Claude M. qui d’après le blog de  Cuisine Métisse, m’a mise sur la voie de ces merveilles croustillantes.

La Pâte Won ton et les cébettes ont étés acheté lors de nôtre virée chez Paris Store, j’ai trouvé le porc haché dans mon super marché habituel, le reste c’est du tout venant !

C’est la première fois que je fais frire quelque chose, je vous dit pas la nouveauté ! Bon c’est clair je suis une stréssé des brûlures (je ne fais jamais de fondue bourguignonne même si j’adore ça). Claude m’avait précisé de faire attention en achetant l’huile de bien vérifier que elle supportait la friture, je ne savais pas…..

Raviolis frits

Pour les ingrédients, dans un paquet de Won Ton il y a environ 30 petit carrés de pâte à base de farine de blé. Ensuite je vous indique les quantités que j’ai utilisé pour faire une farce qui m’a pris 25 feuillets mais c’est à vous de voir selon que vous remplissiez plus ou moins les raviolis.

Ingrédients

  • Carrés Won ton
  • 350 gr de viande de porc haché
  • une dizaine de cébettes
  • 2 carottes
  • une demi pincée de piment
  • une petite cuillère à café de cinq épices
  • du poivre
  • de la sauce soja
  • 1 litre d’huile

Mélanger tous les ingrédients de la farce, (je n’ai pas salé pour cause de soja).

Raviolis frits

Prendre des feuilles de pâte, mettre une cuillère de farce au centre, mouiller avec un doigt, les bords de la feuille avec de l’eau.

Raviolis frits

Prendre les coins en diagonale et les presser ensemble pour fermer le ravioli, bien presser les bords. Réserver jusqu’à ce que touts les raviolis soient prêts.

Faire chauffer l’huile dans un wok, quand elle est chaude mettre une partie des raviolis (je les mettais 6 par 6, max 7 mais cela dépend de la taille de vôtre wok). J’ai baissé le feu un peu et j’ai laissé cuire en retournant une fois pendant 8 mn.

Raviolis frits

Egoutter sur du papier cuisine. Un des raviolis m’a servi de test car le porc doit être bien cuit. Nous les avons mangé avec de la sauce soja, Cuisine Métisse préconise une sauce aigre-douce.

Un délice, un peu grand peut-être pour faire des bouchées apéritif mais définitivement une entrée.

Il en existe pleins de versions différentes selon la farce,  Cuisine Métisse les fait avec des crevettes et du crabe, et on peut aussi les faire cuire à l’eau et les mettre dans une soupe.. Comme il me reste quelques feuillets, je vais peut être essayer….

Bon j’ai un peu de mal avec le titre surtout que franchement
je ne suis pas sure que c’est comme ça que l’on fait un hachis Parmentier, mais c’était
très bon. Par contre ma Bobette a trouvé le titre très bien parce que « c’est
la mort-euhhhhh de manger ton hachis-euhhhh », elle presque 13 ans, ceci
expliquant cela. Mais ce n’est pas grave. Je l’ai trouvé super bon alors je
vais vous faire l’explication des étapes que j’ai suivies :

 

 

J’avais commencé par faire un gigot de sept heures. Comme j’ai
fait ça un soir où j’étais un peu bousculé, il n’y a pas de photos. J’ai suivi
les indications de Bacalao sur Méli Mélo Gastronomique à quelques choses prés.
Quand je le referais je vous donnerais toutes les explications. Sachez, si vous
n’en avez jamais fait, que c’est très simple à faire. Et d’après La Grive, vous
pouvez le faire en deux fois, comme il cuit déjà sept heures il n’est plus à ¼
d’heure prés. Pour accompagner le gigot j’ai fait des haricots verts (je vous
passe les détails, faut pas exagérer quand même
) et surtout (je regrette de pas
avoir fait des photos)
les carottes de Fred. Un délice surprenant même si vous
n’aimez pas les carottes cuites ; essayez, c’est une merveille. Mais je
vais les refaire incessamment sous peu donc je vous en recauserai.

Ingrédients pour beaucoup :

 

  • 1 oignon haché
  • 250 gr de lardons
  • 200 gr de coulis de tomate
  • 1 courgette
  • 2 gros champignons de paris
  • La viande du gigôt

  • 2kg de pommes de terre
  • du lait
  • du beurre
  • sel et poivre

 

Hachez l’oignon, faites le revenir dans une poêle. Ajouter
les lardons après quelques minutes. Puis la courgette coupée en morceau, puis
les champignons. Rajouter les légumes qui ont cuit avec le gigot (carottes et
échalotes) et enfin la viande de gigot coupés en très petits morceaux.
Assaisonner avec du sel et du poivre, du thym. Ajouter le coulis de tomates et
laisser revenir pendant 20mn.

 

Faire une purée de pommes de terre : cuire les patates
à l’eau, éplucher et passer au presse purée en rajoutant du lait chaud et du
beurre. Pour les quantités c’est à vous de voir selon l’épaisseur souhaité de la purée. Mélanger et assaisonner avec du sel et du poivre.

 

 

 

Beurrer un plat à gratin. Mettre le mélange de viande au
fond du plat. Recouvrir de purée et mettre au four pour 20 mn.

 

Miam.


Vous achetez des magazines de déco ou de cuisine vous ?
Moi j’en achète quelques uns, je regarde les recette et je me dis ce serait
sympa puis j’oublie et les magazines s’entassent et puis et puis je veux pas
les jeter mais en même temps je ne les regarde plus. Alors de temps en temps je
prends ma pile et j’arrache toutes les pages qui m’intéressent, et je mets
pleins de recettes de coté. Des trucs faciles et qui plaisent plus ou moins à
tout le monde.

Alors je suis dans la période, mais pourquoi est-ce que j’ai
gardé ça ou alors tiens celle là c’est sympa ?

 

Alors en ce moment j’essaye des recettes, en voilà une qui
vient d’un Cuisine et Vins de France.

 

Ingrédients pour 5

  • 4 blancs de poulet coupé en morceaux
  • 1 grosse boite de pulpe de tomates
  • 1 oignon émincé
  • une petite poignée de tomates séchés
  • 12 olives noires dénoyautés
  • ½ citron confit au sel
  • de l’huile d’olive
  • thym, sel et poivre

Faire revenir l’oignon dans de l’huile, après quelques
minutes ajouter les tomates en boite, les olives coupées en rondelles, les
tomates séchées et le citron détaillé en cubes. Salez, poivrez et mettez le
thym. Ajouter 10 cl d’eau et mélangez
bien. Enfouissez les blancs de poulet dans les légumes, couvre et laisser
mijoter 35 mn.

 

Servir avec de la semoule ou du riz.


 

 

Dans la recette originale il été indiqué un citron entier.
Je n’en ai mis qu’un demi et en plus c’était un petit citron. Un de mes
Bobinoux n’aime pas le citron (Pfff !!!) et en fait je trouve que c’était
parfait comme ça. Le goût du citron n’était pas trop fort et complétait bien les
autres goûts. En plus le poulet cuit dans le jus était très moelleux. Bref
celle là de recette, je garde.


Avez-vous vus tous ces magrets séchés qui fleurissent sur la blogosphère ? Ici et ici, et encore et . Bon j’arrête, il y a en pleins. Du coup je me suis dit que j’allais essayer. Il y a des petites variantes, à vous de voir ce que vous préferez.  Franchement c’est bête comme chou, il suffit de ne pas l’oublier au fond du frigo. Cela donne une viande parfaite avec une salade ou en apéro sur des toasts.

Ingrédients :

  • un magret de canard
  • du gros sel
  • du poivre et du thym

Alors prenez votre magret de canard frais, essuyez le et mettez le dans un récipient avec le fond couvert de gros sel. Verser du gros sel par-dessus pour que le magret soit couvert. Je vous ai fait une ptite photo mais je pense que vous avez compris l’idée générale.


Laisser au frigo pendant 12 heures. (Là encore, les avis varient : entre 12 et 24 heures.)  Sortir le magret et essuyez le de manière a ce qu’il n’ait plus de sel. Prenez un torchon, posez le magret dessus et mettez ce que vous souhaitez comme herbes, j’ai mis du thym et du poivre.  Roulez le magret. Et laissez le pendant trois semaines au fond du frigo, ne l’oubliez pas ce serait dommage.

Voilà, c’est tout il suffit dêtre patient et je comprends certaines blogueuses qui disent en avoir toujours un de prêt dans le frigo. C’est un délice.