Pourquoi des verrines de saumon au Wasabi? J’adore aller mettre les pieds sous la table chez ma copine Vero. On mange bien, on lève pas le petit doigt et en plus son Héros nous sert de très bonnes choses à boire. Mais là j’ai posé la question a ne pas poser: « tu veux que je t’amène quelque chose ». Je me suis pas méfiée, en principe elle dit non. Et là pas de bol, elle me demande d’amener une entrée. Flute de zut! 

Verrines de saumon au WasabiAlors quoi amener? Le critère principale étant la praticité, puisque il fallait que je puisse le trimbaler! Et le gout évidemment. C’est là que je me dis que je suis bizarre : je pense tout de suite à des verrines alors que franchement c’est pas trop mon truc. Mais le fait que je ne me sois pas encore lassé de mon siphon et que à la demande de ma Miss Bobette je venais d’ acheter du wasabi chez Tang! Ca a fait tilt!

WasabiAlors wasabi + siphon, ça c’est fait! Ensuite wasabi avec … du poisson (tip top original)  donc saumon!
Mais pas cru puisque je ne suis pas sûre que tout le monde aime ça! Donc saumon fumé! Puis ….. allez un peu de salade verte.C’est bon avec le saumon! Puis allez il manque un truc? Un peu de croquant sous la dent : des radis! Allez hop emballé c’est vendu! Et on va juste rajouter au dessus quelques graines de sésame au wasabi pour faire joli!

Allez quelques explications quand même.

Pour la crème au wasabi, faire chauffer à feu très doux 25cl de crème avec 2 cuillères a café de wasabi environ 10gr de cette pâte en tube. Saler et mélanger pour bien faire fondre la pâte et l’incorporer dans la crème. Gouter pour voir si c’est à votre goût.

Mettez le mélange dans votre siphon mais surtout il est totalement impératif de le faire passer par un chinois comme toujours sinon vous pourriez boucher votre siphon et ça c’est très casse pieds!

Fermer le siphon, mettre une cartouche. Bien secouer et mettre au frais jusqu’à utilisation. Ensuite j’ai pris ma salade que j’ai coupé en lanières et mis de coté. Pareil avec le saumon, toujours des lanières. 2 radis par personnes de coté aussi. On embarque tout ça chez ma copine qui a le bon gout d’avoir des verrines de type verres à tapas. Et j’ai assemblé sur place. D’abord de la salade au fond, le saumon pardessus, puis les radis coupés en lamelles très fines. Une bonne dose de crème au wasabi puis saupoudrer de graines de sésames et hop c’est fait. En plus tout le monde a eu la gentillesse de dire que c’était bon. Mais la prochaine fois je ne lui pose pas la question et je lui amène des fleurs, c’est tellement confortable de mettre les pieds sous la table chez elle.

Verrines de saumon au Wasabi

Toujours dans la catégorie « non au sur-équipement culinaire » voici mon alternative au rice cooker! Une certaine belle-soeur à moi se posant des questions existentielles sur le ricecooker.

Cuisson sans ricecooker

Vous me direz je n’ai qu’a aller lui expliquer de vive voix à Miss Léonie  mais c’est quand même plus rigolo de vous en faire profiter.

Alors tout d’abord ce n’est pas une méthode qui m’est propre.  Ma mère et pleins d’autres gens l’utilisent. Je n’ai absolument rien inventé mais je m’en sers tout le temps.

Ça fait un très bon riz surtout quand le riz est bon avant la cuisson. J’achète le mien chez Tang par paquet de 5kg (plus grand  c’est trop lourd) et surtout je n’achète jamais du riz en sachet pré-dosé  ni du riz du Tonton-de-l’autre-coté-de-la-mare-aux-canard. C’est mon coté intégriste, si vraiment il me faut du riz blanc long grain j’achète du riz de Camargue, nonmého.

Alors à la place du ricecooker j’utilise ça :

Cuisson sans ricecooker

Une casserole avec un couvercle qui ferme correctement, une planche de bois et enfin un verre qui me sert d’unité de mesure (celui-ci contient 180gr de riz cru).

Ensuite je prend 2 verres de riz pour 3 verres d’eau que je mets dans la casserole avec du sel mais cela reste optionnel.

Cuisson sans ricecooker

Je mets la casserole avec le couvercle sur le feu mais pas au maximum pendant 10mn. Au bout de ce temps l’eau a été absorbé. Remarque dans mon cas c’est 10mn pour cette quantité et avec mes plaques. A vous d’ajuster selon les quantités et votre cuisinière. Cette quantité nous a suffit pour 5 en accompagnement d’un plat de viande et avec des épinards.

Quand le temps est écoulé je mets ma casserole sur une planche de bois et là je le laisse reposer au moins 10mn mais en fait le riz peut rester chaud pendant presque 1h. Ce qui est vraiment très pratique quand on veut le préparer à l’avance. Comme ce soir sur 5 personnes, nous étions que 2 au moment de passer à table. Vive les ados qui ont des activités le soir et le mari qui rentrent tard.

Cuisson sans ricecooker

Blague à part, franchement j’ai longtemps  rêvé d’un ricecooker. J’en ai vu des beaux, des pratiques, des petits, des roses et des décorés mais pas de place, c’est pas de place. Et c’est vrai que quand c’est aussi facile que ça on peut s’en passer, c’est vrai qu’il faut pas l’oublier sur le feu mais c’est le seul inconvénient de cette méthode. Bon app!

Toujours des recettes d’été, de celles dont j’use et j’abuse en ce moment. Après les apéros, voici les plats et les accompagnements.

Nous avons commencé bille en tête, à peine sorti les affaires de la voiture, à chercher le barbecue. Les viandes que nous faisons griller restent simples et d’ailleurs il n’y a pas grand chose à en dire ni vraiment de recettes. Que ce soit les cotes de boeuf, les magrets de canard, les saucisses ou encore le thon ou les sardines. On peut les manger nature ou éventuellement les faire mariner avant mais nous avons chois la version nature. Quant au porc et au poulet, la même marinade revient deux fois sur ce blog, une fois pour des brochettes de porc et une fois pour des spare ribs. J’ai utilisé provence la même marinade pour des hauts de cuisses de poulet (en enlevant la peau du poulet) et c’était un régal.


La dernière marinade que j’ai fait pour des blancs de poulet était à base de citron, huile d’olive, herbes de provence, sel et poivre. Aprés quelques heures de marinade, j’ai enfilé les morceaux de poulet en alternance avec des quarts d’oignons et des bouts de poivrons rouges…..


Pour accompagner tout ça, le plus simple reste les pommes de terre au four servis avec une sauce  blanche à la ciboulette et les éternels tomates au four. On s’en lasse pas.
Ensuite il y a les brochettes de légumes au barbecue, grosso modo, mettez ce que vous avez et hop!
Un de mes grands classique pour aller avec le barbecue est le crumble de tomates. Je l’adore, il se prépare en avance (si on veut) pour le mettre au four dés que Grand Manitou, pardon, je veux dire mon cher et tendre lance le barbecue. Parce que forcément c’est le barbecue ici qui donne le timing!

Il reste aussi comme recettes d’été l’estoufade de Céline, l’escalivade et la ratatouille au four de Pascale.

Et vous c’est quoi vos recettes d’été préférés?

garbanzos tomates cebettesMais pourquoi j’achètes des garbanzos que quand je suis dans le sud? Et surtout, pourquoi est ce que j’appelle ça des garbanzos, ici on appelle ça des pois chiches. Mais quand je viens dans la région, les super marchés ont tous leur rayon produits spécial Espagne, avec des moules à l’escabèche, des poulpes à je-ne-sais-plus-quoi, du pimiento fumé, de la horchata, etc… Cela me rappelle les vacances Espagne quand j’étais petite et du coup je me fais une petite salade d’été toute simple.


Ingrédients pour 4 personnes :

  • un pot de 400 gr de garbanzos (ou pois chiches)
  • 2 tomates biens murs
  • 3 cébettes


Pour la vinaigrette :

  • 1 cuillère à café de moutarde
  • 1 cuillère à soupe de vinaigre
  • 4 cuillères à soupe de huile d’olive
  • Sel et poivre


Mélanger dans un saladier, les garbanzos égouttés, les tomates coupés en dés, ajouter les cébettes taillés finement. Pour la vinaigrette, mélanger la moutarde et le vinaigre et ajouter doucement l’huile. Verser la vinaigrette pardessus la salade et enjoy.

garbanzos tomates cebettes

Depuis quelques jours je puise dans mes recettes spéciale été pour nourrir ma petite famille et les copains. Ces recettes ont pour la plupart un lien avec la Provence, essentiellement parce que ce sont des recettes que j’ai fait quand j’habitais dans la région d’Aix en Provence. Passant mes vacances ici,  je refais avec plaisir ces recettes.

Certaines feront l’objet de nouveaux posts mais en plus de la liste des recettes disponible, je me suis dit que j’allais vous faire un post récapitulatif de recettes d’été.

Alors avant de passer aux choses sérieuses, il y a toutes les bricoles de l’apéro. Tout d’abord l’ailletade de Claude, elle était l’instit de mon fils avant de devenir ma grande amie, plusieurs recettes sur ce blog viennent d’elle. Elle reste toujours aussi timide quand il s’agit de commenter sur les blogs mais je sais qu’ell en lis plusieurs… Sonn ailletade peut faire peur quand on voit la quantité d’ail, mais essayez le, vous ne le regretterez pas.

Le Banon à l’ail piqué dans un article de Elle consacré à Christine Cheylan de Chateau Virant.

Le caviar d’aubergine, J’en ai déjà fait au moins trois fois depuis que nous sommes là, j’adore ce mélange sur une tranche de pain. Je le fais en général en même temps que les poivrons au four dont j’ai reparlé ici il y a quelques jours…

Ensuite il y a les dips à base de St Moret, pareil sur du pain ou avec des chips ou même des gressins. Le premier qui reste le plus simple c’est le Thon-St Moret. Un régal à assaisonner juste avec une poudre de curry ou de tandori. Et ensuite le dip Tomates séchés avec du St Moret.

Bon j’espère que cela vous permettra de tenir jusqu’au plat principal!

C’est les vacances, pendant 15 jours pour ma petite famille, nous avons posé nos valises dans une jolie maison à quelques centaines de mètres de celle que nous avons quitté il y a deux ans maintenant. C’est amusant comme les habitudes reviennent vite. Les chemins pour aller d’un endroit à l’autre, les petites routes, la Sainte Victoire vu d’un seul coup au détour d’un virage.Et les fichus fossés en bord de route, une des choses que je n’aime pas dans cette région. Surtout quand les routes sont étroites, j’ai tout le temps l’impression que je vais me flanquer dedans!.

De mon coté j’ai repris le chemin de la cuisine (vous verriez la taille de cette cuisine, je revis!!!) et  j’ai refait toutes ces choses qui me paraissent aller si bien avec une terrasse, une bande de copains, des longues soirées d’étés. Nous avons également retrouvé des amis, et les enfants les leurs. C’est comme si on s’était vu hier. Mon Bob est redevenu le roi du Barbecue comme avant!


Et comme un des mots clés qui attire le plus de monde sur ce blog est celle des poivrons aux fours, je vous redonne l’explication.

Prendre autant de poivrons qu’on a l’énergie d’éplucher, les laver et les mettre entiers dans un plat  et puis au four à 200° pendant 30 à 45mn. A mi-course, les retourner. Le but est que les poivrons soient cuits mais pas trop grillés. Les sortir du four, et c’est là que les différentes techniques d’épluchage divergent :

  1. se bruler les doigts en essayant d’enlever les peaux des poivrons,
  2. mettre les poivrons à refroidir dans un sac en plastique et le fermer, il parait que la peau s’enlève très très facilement après,
  3. ou alors laisser refroidir carrément les poivrons et enlever la peau tranquillement. (c’est ma méthode préféré)

Enlever toutes les graines et ensuite couper les poivrons en lanières. Les mettre dans un bol, verser de l’huile d’olive et un peu de sel.


Il existe des variantes avec de l’ail et/ou du vinaigre mais je préfère la version huile et sel.

Si vous voulez vous en servir pour faire une recette, il y celle ci de Pascale et celle ci qui va quand même falloir que j’essaye avec des poivrons épluchés un de ces jours….


Alors ce sont les vacances, pendant quelques jours pas d’enfants à la maison mais vu les allers retours qu’ils font, ça va pas durer. En attendant voici ce que j’ai fait à mes chérubins un jour où je devais aller je ne sais où et abandonner ma progéniture.

Il me restait de la bolognaise  de la veille, je voulais faire quelque chose relativement rapidement pour le déjeuner pour qu’il n’y plus qu’à le réchauffer. En plus de patates, il trainait quelques carottes et une courgette dans le frigo.  J’ai fait un parmentier avec une purée de pommes de terre, carottes, des courgettes. On met la bolognaise et c’est parti!


Ingrédients pour 4 :

  • Quantité suffisante de bolognaise
  • 500gr de pommes de terre
  • 3 carottes
  • 1 courgette
  • Sel et poivre
  • 50gr de beurre
  • 300ml de lait (+ ou – selon la consistance voulue)
  • 100gr de fromage râpée

Éplucher les pommes de terre, les mettre dans l’eau froide salée et faire cuire environ 20 à 30mn selon la grosseur. Pendant ce temps, éplucher les carottes, les couper en morceaux et rajouter avec les pommes de terre (elles prennent moins de temps à cuire si on les coupe en morceau plus petits) et 10mn avant la fin de la cuisson des pommes de terre, ajouter la courgette lavé et coupé en tranches. Quand tout est cuit, égoutter et presser avec un bon vieil presse purée. Faire chauffer le lait. Mettre le beurre dans la purée et quand le lait est chaud verser tout en remuant jusqu’à la bonne consistance.
Faire chauffer le four à 190° Beurrer un plat qui va au four, mettre la bolognaise au fond et la purée par dessus et éventuellement du râpé!


Pour les photos, vous n’aurez que celles que j’ai prises avant de mettre au four puisque j’ai lâchement abandonné mes enfants à leur triste sort avec le plat dans le four et j’étais très contente qu’il n’en est rien resté.

J’avais déjà mis un plat à base de bolo récemment,  c’était ici,
des aubergines à la bolognaise
. Et j’ai trouvé cette recette de Marjolaine qui fait une version parmentier de courgettes. Et vous vous avez des variantes de parmentier?

… ou comment découvrir des merveilles dans le potager de Alain Passard!

LG pour la sortie de sa nouvelle gamme de frigos No frost a invité une poignée de bloggeurs à visiter le potager d’Alain Passard, le chef de l’Arpège. Ce potager situé à coté du Mans, à Fillé sur Sarthe, permet à Alain
Passard de cultiver les légumes pour son restaurant.

Parmi les choses intéressantes que nous apprises lors de cette journée il y a l’initiative de LG qui pour chaque frigo acheté de cette gamme (ou presque chaque frigo), s’engage à acquérir la production d’une parcelle de 1m² du potager de Alain Passard soit 1kg de légumes et d’en faire don aux cantines des écoles de Carrières sur Seine. Ils s’engagent pour un total 7 tonnes de légumes naturels soit 35 000 repas. Heureux bambins!

Après un court voyage en train en très bonne compagnie puisque j’étais avec Hélène, Adèle, Elodie, Edouard, Philo, Sophie, Griottes, Nadia, Karen et Clémence nous avons poursuivi une dizaine de minutes en car pour arriver à Fillé sur Sarthe.

Nous avons été accueillis par l’équipe de Alain Passard qui était visiblement déjà au boulot depuis un certains temps à voir les préparatifs.


Dans ce cadre enchanteur, nous avons pu déguster des merveilles de légumes : jus de betterave-navets-pommes et jus de carottes-oranges, un taboulé aux légumes avec un pesto d’herbes vertes,


des petits pois à la fraise,


des fèves aux pétales de roses,


des asperges aux petits poireaux (ma version est plus bas!),


Ensuite coté barbecue nous avons pu manger des couteaux et du homard avec une sauce à l’estragon (je crois???)


et puis enfin coté rôtisserie nous avons pu gouter aux poulardes du Haut Maine avec une sauce aux échalotes à mourir.


Après ça ce fût les desserts, des macarons et une une salade de fraises à l’hibiscus ::


Après ce magnifique repas, la visite du potager, les chevaux qui travaillent la terre (pour ne pas la tasser) ont étés vus de loin et j’ai adoré les coquelicots qui parsemaient le potager!

Nous sommes repartis tous guillerets avec un panier de légumes sous le bras, un livre de recettes ainsi que de la moutarde.

Il y avait des fèves mangés juste cuites quelques minutes, épluchés puis grignotés tels quels avec un peu de fleur de sel, des carottes brossées et grignotés également tels quels.


Pour les asperges j’ai essayé de refaire ce que nous avions mangé cet après midi là :

Ingrédients :

  • une botte d’asperges blanches
  • 2 petits poireaux très jeunes
  • QS de beurre
  • fleur de sel


Nettoyer les asperges, les couper en tronçon puis couper les tronçons dans le sens de la longeur en 2 ou en 4 selon l’épaisseur. Pour les pointes, j’en ai gardé les plus petites entières et les plus grosses coupés en deux. Nettoyer les poireaux et les couper très finement en rondelles. Faire chauffer le beurre, quand il est fondu mais pas brunit mettre les asperges et couvrir aussi tôt. Laisser cuire quelques minutes (entre 5 et 10) à couvert et feu moyen. Ajouter les poireaux et laisser cuire encore 2mn. Saler avec de la fleur de sel et régalez vous!

Remarque : lorsque le cuisiner a préparé ces asperges devant nous il a rajouté au dernier moment du parmesan râpé. Mes loustics n’étant pas fan, je me suis abstenu. Mais les deux versions sont excellentes.

La journée était magnifique, l’organisation du tonnerre et la compagnie hilarante! Merci à Houda et Benjamin pour cette invitation ainsi que LG et bien sur Alain Passard pour son charmant accueil.

Bon avec tout ça il ne me reste plus qu’à changer de frigo! Je crois que j’ai trouvé celui qu’il me faut…

Toujours ma quête de « je me débrouille dans ma minuscule cuisine sans appareils encombrants » ou ce que j’ai appelé « halte au sur équipement cuisinesque » je suis absolument ravie de vous faire part de cette recette de pain trouvé chez Paprikas. Il parait qu’elle a fait le tour de la blogosphère mais je me suis débrouillé pour passer à coté!! Donc un pain qui doit lever une fois (et pas deux comme toutes les autres recettes que j’ai), un pain qui ne se pétrit pas, mais que demander de plus : Quelqu’un pour ranger tout mon binz dans la cuisine après moi peut être…..

Ci dessous la liste des ingrédients utilisés par Paprikas et mes modifs.

Ingrédients :

  • 375 g de farine T45 T55 (c’est à dire celle que l’on trouve partout)
  • 12 g de levure boulangère fraîche ou 1 càc de levure sèche
  • 1 cuillère à café de sel
  • 25 cl d’eau tiède
  • 5 cl de lait tiède
  • 1 cuillère à café de miel (j’ai utilisé du miel liquide)
  • 60 g d’olive verte dénoyautées et coupées en rondelles
  • 1 cuillère à café de thym séché frais, j’ai utilisé quelques branches

Mettre la farine dans un bol, faire un puits et y émietter la levure. Ajouter l’eau tiède (attention pas trop chaude sinon on « tue » la levure, ni trop froide, sinon elle ne lève pas). Mélanger et laisser poser quelques instants le temps de couper les olives. Ajouter les olives, le thym, le miel dilué dans le lait tiède et éventuellement le sel (comme je trouvais que les olives étaient suffisamment salées je me suis abstenu). Mélanger sans trop insister puisqu’on vous dit qu’on a pas besoin de pétrir. La pâte reste collante mais c’est normal. Couvrir d’un linge humide et laisser à l’abri des courants d’air pendant une heure. Personnellement vu mon manque de place je l’ai mis dans le four froid, et je l’ai sorti 10mn avant l’heure pour mettre mon four à chauffer à 200°.
Quand la pâte a levé, la mettre sur une surface farinée et toujours sans pétrir, former un boudin et partager en 10 à 12 petites boules. Poser sur une plaque recouverte de papier sulfurisé et mettre au four. Juste avant de fermer la porte, verser un verre d’eau dans la lèche frite, c’est ce qui donne ce coté doré au pain. Faire cuire pendant 25 à 30mn.


… ou gratin d’aubergines à la bolognaise ou fausse moussaka de feignante.. On peut appeler ça comme on veut mais il y a des aubergines et de la bolognaise pour le grand déplaisir de mon fils ainé qui n’aime pas que j’utilise de la précieuse bolognaise pour autre chose que des pâtes. Ce doit être l’age mais il en mangerait tous les jours. Du coup j’ai gardé un peu de sauce de coté pour son déjeuner. Vous auriez vu son regard. Il ne savait pas si il devait continuer à se plaindre ou se réjouir. Alors je vous rassure, c’est bien un grand dadais, il a continu de se plaindre.

Ingrédients pour 5 personnes :

  • 1 dose suffisante de bolognaise

 

  • 1 aubergine de taille moyenne

 

  • Sel et poivre

 

  • Huile

 

  • 2 boules de mozzarella

 

Faire chauffer le four à 190°

 

Faire revenir les aubergines coupées en dés dans une lichette d’huile d’olive. Les faire revenir tout en remuant pendant 10mn. Saler et poivrer.

 

Dans un plat à gratin mélanger les aubergines et la bolognaise. Couper les tranches de mozzarella et les poser dessus. Mettre au four pour 30mn.

 

Si vous avez des affamés comme moi, servez le gratin avec du riz.


PS finalement mon grand dadais était très content d’avoir sa portion de bolo le lendemain midi!


J’ai fait cette recette il y a quelques semaines pour participer à la Knorr Marmite Battle mais le temps a passé et j’ai totalement oublié de m’inscrire et de la publier. Alors voici un oubli réparé. J’irais bien à Londres avec Anne, Dorian, Cathy et Mercotte!

Ingrédients pour 5 à 6 personnes :

  • 1 lapin entier et découpé
  • 2 échalotes
  • huile et 20gr de beurre
  • 1 marmite de bouillon de poule
  • Sel et poivre
  • quelques branches de thym
  • 2 cuillères à soupe de moutarde
  • 20cl de crème fraiche

Faire revenir les échalotes à feu doux dans une sauteuse avec le beurre et l’huile. Lorsqu’ils sont translucides et pas grillés, les réserver. Faire dorer les morceaux de lapins de tous les cotés dans la même sauteuse, toujours avec un peu d’huile à feu plus fort. Ajouter les échalotes avec le lapin. Diluer une marmite de bouillon de poule dans un 1/2 l d’eau chaude et l’ajouter à dans la sauteuse.  Saler, poivrer et ajouter les branches de thym. Laisser cuire couvert, environ 30mn à feu moyen. Mélanger dans un bol à part la crème fraiche et la moutarde.

Quant le lapin est cuit, ajouter le mélange crème-moutarde. Laisser chauffer 5mn sans bouillir et servir avec des tagliatelles par exemple.

Si vous le souhaitez vous pouvez voter pour moi ici.

Vous connaissez les sirops à boire? Mais saviez vous que l’on peut aussi se servir de sirops dans la cuisine? Forcément vous le saviez! Les Moulins de Valdonne ont sorti une nouvelle gamme de sirops pour cet usage. Cette gamme, les sirops à idées, comporte 10 nouveaux parfums. Il y ceux destiné principalement aux cocktails : Framboise-Rose, Violette, Bubble Gum, Châtaigne Vanillée et Coco. Ceux faits pour réveiller les boissons chaudes Caramel, Vanille et Noisette et enfin ceux qui donnent un coup de pouce aux plats, Gingembre et Miel épicé.

 

 

A l’occasion d’un atelier cuisine (réalisé par Gilles Lamy) et d’un atelier de cocktail, nous étions plusieurs bloggeurs (Léonie Canot, Birgit, Hervé et Yvan, Myrtille, Pascale, Clémence….) à nous retrouver autour de ces sirops pour les tester dans des recettes. Un régal, autant les recettes de cuisine que les recettes de cocktail. Un filet de boeuf mariné avec le sirop de gingembre, des macarons avec le sirop coco, des boissons caféiné avec du sirop de caramel, des boissons un peu plus alcoolisés avec du sirop de bubble gum, du champagne à la rose-Framboise. Bref que des délices….

 

De mon coté j’avais déjà essayé mes petites bouchées de poulet avec le sirop de Miel épicé, ensuite nous avons testé le sirop de gingembre. Pour savoir comment faire c’est ici et les différentes variantes sont . Il suffit de couper des filet de poulet en morceaux de petite taille. Les faire revenir dans une poele chaude avec un peu d’huile. Ajouter une ou deux gousses d’ail et ensuite quand le poulet est cuit, saler et poivrer puis verser 1 à 2 cuillères à soupe du sirop choisi. Bien mélanger et servir.

Le gout du gingembre reste très présent comme pour le miel épicé. Dans les deux cas cela va parfaitement avec ce genre de plat, on peu ajouter une goutte de soja mais cela n’est pas vraiment nécessaire.

Ensuite pour les sirops à cocktail, on a essayé un mélange pamplemousse-violette avec des violettes cristallisées. Un des trucs appris lors de cette soirée était l’utilisation d’une cuillère spéciale pour superposer les ingrédients sans les mélanger. Dans la catégorie « Halte au sur-équipement culinaire« , j’ai voulu essayer avec une cuillère normale. On dira que je piquerais pas la place de Tom Cruise mais franchement si on pose bien le bout de la cuillère sur le sirop (vraiment affleurer le dessus du sirop dans le verre) et que l’on verse doucement le jus de pamplemousse le long de la cuillère, ça marche!!!!


 

Il y a pleins d’idées de recettes sur le site du Moulin de Valdonne ici.

Merci à Aline pour cette invitation.

Il y a du concours dans l’air… Cette fois ci c’est Ebly qui propose que l’on fasse une recette avec l’un de leurs deux nouveaux produits : Ebly à poêler Persillade (persil et ail) ou Ebly à poêler Provençal (tomates séchées avec des herbes de Provence).

A la maison nous sommes tous amateurs de nouilles ou riz sauté avec tout ce qui nous tombe sous la main, alors forcement j’ai voulu essayer avec l’Ebly nouvelle version.

Ingrédients pour 5 personnes :

  • 1 boite d’Ebly à poêler Provençal
  • 4 filets de poulet
  • 1 oignon
  • 1 poivron rouge
  • 200gr de pois gourmands
  • 2 gousses d’ail
  • huile d’olive en QS
  • sel et poivre

Faire revenir le poulet coupé en cubes dans une poêle avec une lichette d’huile d’olive pour les faire bien dorer. Presser les deux gousses d’ail et l’ajouter au poulet. Saler et poivrer. Quand le poulet est bien doré et cuit, réserver.

En même temps faire bouillir de l’eau salée pour faire cuire les pois gourmands pendant 5mn (ça suffit pour qu’ils soient encore croquants). Les passer sous l’eau froide et réserver.

Couper l’oignon épluché et le faire revenir dans de l’huile. Quand les oignons comment à dorer, ajouter le poivron coupé en morceaux ou lanières assez fines et faire sauter le tout quelques instants.

Préparer l’Ebly selon le monde d’emploi, 2 cuillères à soupe d’eau et 2 cuillères à soupe d’huile d’olive dans une poêle froide, ajouter l’Ebly et faire cuire revenir quelques instants à feu vif. Ajouter 600 ml d’eau (pour les deux sachets du paquet) hors du feu, puis portez à ébullition. Aux premiers bouillons, réduire le feu et laisser frémir jusqu’à absorption. (il est indiqué de ne pas  ajouter de sel).

Quand toute l’eau est absorbée, ajouter le poulet, le mélange oignons-poivron et les pois gourmands. Bien mélanger tous les ingrédients et servir.

Verdict : Nous avons tous aimé, le gout un peu « noisetté » du blé convient particulièrement bien avec des légumes sautés. Les enfants ayant l’habitude de rajouter du soja à leur riz sauté n’en ont pas voulu ici. Il y avait suffisamment de parfums différents pour qu’il ne soit pas nécessaire de rajouter soja ou sel en plus.

La prochaine fois on essaye la version Ebly Persillade! Des suggestions?

PS le premier prix du concours est une matinée avec William Ledeuil
dans son restaurant Ze Kitchen Gallery. Ouh la la.

Ce n’est plus la saison du foie gras me dirais vous! Mais je pense qu’il n’y a pas de saison pour le foie gras. Pourquoi se limiter à une seule période de l’année pour en manger. Donc je reprends la recette faire à Noël et voilà un petit foie gras hors saison.

Il y a fort longtemps j’habitais dans la vie rose aka Toulouse juste en face de la magnifique Basilique St Sernin qui malheureusement sonnait tous les 1/4 d’heures. L’horreur.
Pendant cette période qui correspondait à mes dernières années de lycée, je n’étais pas très intéressée par la cuisine mais surtout par ce que ma mère nous mettait sur la table. Et ce fut une période riche…. en foie gras. Ma mère à testé tout un tas de recettes que ses ancêtres Viking n’aurait pas renié. Ce fut des confits de canard, des cous d’oie farcies, des grattons et mille autres choses (bon d’accord j’exagère un peu, peut être pas 1000) que l’on peut faire avec un canard ou une oie grasse. A l’époque je me faisais même cuire mes steaks dans de la graisse de canard. Quand j’y pense ça me fait bizarre aujourd’hui mais à l’époque je trouvais ça très bon.

Évidemment, nous avons également eu droit au foie gras sous toutes ses formes et surtout en terrine. J’ose à peine avouer que nous en avions un peu marre à la fin. Heureusement je ne suis pas resté plus de 2 ans là bas.

Mes souvenirs sont un peu flous mais le foie gras c’était tout un rituel. Il fallait peser au gramme près le mélange, sel et poivre  sucre. J’ai du rêver mais je crois qu’elle faisait peser son truc à la poste parce qu’ils avaient de balances plus précises. Ensuite, l’autre détail était que une fois cuit, le foie gras en terrine devait refroidir très doucement. Donc il était religieusement enveloppé dans des grosses couvertures à la sortie du four et trônait dans le couloir pendant plusieurs heures (jours???). Ce n’est pas possible, j’ai du rêver. L’approvisionnement était aussi toute une aventure. Les amies se repassait des adresses de volailler, en jurant que celui ci avait les foies de la meilleure qualité

Franchement, la méthode que Fred donne sur Marmiton dans son dossier foie gras est nettement moins prise de tête. Et franchement très bon.

Pour l’approvisionnement du foie gras, je vais directement l’acheter dénervé chez Picard. Pourquoi? D’abord parce que dénervé, c’est plus simple, que le prix n’est pas totalement délirant mais surtout parce que suite à des questions sur Facebook c’est lui qui a obtenu le plus de suffrages!

Ingrédients :

  • 1 foie gras
  • 2 cuillères à café de sel
  • 1 cuillère à café de poivre
  • 1/2 cuillère à café de sucre

Si votre foie gras est congelé, faites le décongeler au frigo pendant 12 heures.

Posez le sur une feuille de papier alu et « dépliez » le. Faites un mélange avec le sel, poivre et sucre. Saupoudrez votre foie avec ce mélange. Mettez le foie dans une terrine et verez le surplus du mélange resté sur le papier alu sur le foie gras. Couvrez la terrine et mettez au frigo pour 12h.

Le lendemain. Faites chauffer le four à 100°. Comme on va faire cuire le foie au four mais dans un bain-marie, faites bouillir de l’eau, versez dans un plat qui va au four, mettez la terrine dans le plat et le tout au four. Laissez cuire 40mn. Sortez le plat et laisser refroidir le plat (avec la terrine dedans) pendant 2h.

A cette étape de la recette, Fred dit de sortir la terrine du plat, de l’incliner pour enlever le surplus de gras fondu que l’on réserve dans un bol. Sauf que pour moi, les deux dernières fois il n’y avait pas de surplus de gras donc pas de bol réservé. Je suis directement passé à l’étape suivante qui est de mettre la terrine au frigo avec un poids dessus pour bien tasser le foie gras dans la terrine. Pour trouver un poids adapté à ma terrine, j’ai pris un sac de congélation que j’ai rempli de riz. Le poids du riz fait très bien l’affaire. (Et à la fin je récupère mon riz of course!!!)

Le lendemain, filtrer la graisse que vous avez mis de coté en la chauffant légèrement puis versez là sur le foie gras. Remettre au frigo et attendre 4 jours pour déguster!!!


Récap du nombre de jours :

Jour 1 : Faire décongeler le foie

Jour 2  : Assaisonner le foie

Jour 3 : Faire cuire le foie

Jour 7 : Manger le foie.

Donc il faut s’y  prendre avec un peu d’avance…..

crédit photo pour la basilique : http://tourdeurope2008.blogspot.com/2008_03_01_archive.html

L’envie de faire cette soupe Harira me vient d’un petit séjour à Marrakech avec des amis a clôturé l’année 2009.

Sur la place Jamâa El Fna vers 17h, des gens amènent des structures roulantes sur la place et installent des tables avec des bancs autour de la carriole (je ne sais pas comment l’appeler autrement). Des rabatteurs vous proposent des menus plus alléchants les uns que les autres et vous rappellent le numéro de leur restaurant. La plus part servent les mêmes plats mais certains sont spécialisés dans la tête de veaux (ce qui n’est pas vraiment ma tasse de thé). Donc soupe Harira servie avec des dattes et des gâteaux pleins de miel dont je ne me souviens pas du nom!

 

Marrakech

 

La place vu de la terrasse d’un café.

Les restaurants-carrioles s’installent et commencent à préparer leurs feux.

 

Lever de la lune sur la Place Jamâa El Fna

Nous avons passé nos quelques jours à manger, des tajines et des coucous meilleurs les uns que les autres. C’est là que j’ai enfin compris que la (ou le) Tajine ne se sert pas avec de la semoule mais que les légumes cuits dans la Tajine sont l’accompagnement. Cela étant dit je continue quand même de servir la Tajine avec de la semoule et tant pis pour l’authenticité. Je ne vous raconte pas notre quête de la patisserie parfaite. Elle fut longue et enrichissante, surtout riche. Sinon nous nous sommes régalés avec les jus d’orange et de pamplemousse servi au verre sur la place toujours par des vendeurs ambulants.

Forcément les montagnes olives et de citrons confits me parlent, mais plus que tout ce sont les pots en verre si joliment remplies qui m’ont fait très très envie.

Les dattes, les abricots….

Bon, je vais pas que vous raconter la bouffe quand même. On pourrait parler shopping par exemple. Alors là le souk, c’est l’horreur pour quelqu’un comme moi qui aime les breloques en argent, les petits pots en argent et verre, les épices plus jolies dans leur présentation que vraiment odorantes. Les sacs de graines (très appréciés par les oiseaux) et toutes les jolies choses fabriqués à partir de soie d’eucalyptus ou de cactus selon les vendeurs (finalement vu le nombre de cartons qui traînaient avec indiqué rayonne de Chine on doute un chouia). Bref on s’est bien amusé et on failli se perdre quelque fois.

Il y aurait encore beaucoup de choses à vous dire et vous montrer sur Marrakech, les couleurs, les bougainvillées, les cigognes, les jardins de Majorelle, la Menara, la ville nouvelle El Guezli, la neige sur l’Atlas, la lumière si belle en hiver, la gentillesse des gens, les longs murs sans fenêtres derrière les quels se cachent (peut être) des palais mais ce sera peut être pour une autre fois.

Nous avons passé nos nuits dans un Riad, le Pachavana. Admirable endroit tenue par la non moins admirable Michèle. Un très bel endroit et à 5mn des souks et 10mn à pied de la place Jamâa El Fna

Revenons donc à cette soupe Harira. De retour à la maison je cherche dans le livre de Marie-Laure Tombini  Marocco et je pique sa recette (avec quelques petites modifs bien entendu, je n’ai pas voulu mettre de lentilles).

Ingrédients pour 5 personnes :

  • 160gr d’épaule d’agneau
  • 1 oignon
  • 150 gr de pois chiches
  • 50gr de lentilles (pas mis)
    400gr de tomates pelées et concassées
  • 50gr de riz déjà cuit
  • 1/2 cuillère à soupe de cumin en poudre
  • 1/2 cuillère à soupe de coriandre en poudre
  • 2 cuillères à soupe de coriandre fraiche (je n’en avais pas!!)
  • 2 cuillères à soupe d’huile
  • sel et poivre

Coupez la viande en petits cubes, peler et émincer l’oignon. Faire revenir l’oignon et la viande dans une casserole avec l’huile. Saler et poivrer. Ajoutez tous les autres ingrédients sauf la coriandre fraiche. Verser 40 cl d’eau, porter à ébullition puis baisser. Laisser cuire 30mn. Parsemer de coriandre fraîche si vous y avez pensé!!.

Soupe Harrira

Devinette : mais que guettent ces chats? (Luolan, forcément tu n’as pas le droit de répondre).Réponse bientôt!

 

Une petite soupe de champignons aux marrons pour se réchauffer en ces périodes bien froides.

Récemment je suis allé voir la nouvelle collection de Luminarc pour la vaisselle et les verres. Une collection fraîche (ça se dit pour la vaisselle???) très gaie et printanière qui annonce le printemps et donne envie de faire dés déjeuners dans le jardin (quel jardin, snif!!!). Luminarc est associé à un blog appelé les Irrésistables sur quel sévit régulièrement Dorian et Aurelia. (Je vous recommande d’ailleurs les recettes Scandinaves de Dorian. Il a pris des classiques et les as adaptés à sa manière. Un régal.)

Bref pour en revenir à cette présentation de la vaisselle, il y a avait également des dégustations de plats. Un foie-gras aux coings confits et une soupe aux marrons et champignons qui m’a bien plu. Je n’ai pas eu la recette mais sachant les ingrédients principaux et comme ils m’ont indiqué avoir ajouté du quatre épices, je me suis lancée.

Ingrédients pour 5 :

  • 2 échalotes
  • 500gr de champignons de paris
  • une boite de marrons 450gr
  • 30gr de beurre
  • 1 lichette d’huile
  • 500ml de bouillon
  • Sel poivre
  • 1 cuillère à café de Quatre épices
  • 1dl de crème fraiche liquide ou épaisse

Faire fondre le beurre dans l’huile dans une casserole. Faire revenir les échalotes coupés en petit morceaux pendant 5mn, histoire de les faire fondre et légèrement doré. Ajouter les champignons lavées et tranchés finement. Faire revenir environ 10mn. Ajouter le bouillon, et les marrons, saler, quelques tours de moulin à poivre et le Quatre épices. Faire cuire encore 10mn. Passer dans un blender ou mixer avec un mixer plongeant.A ce moment j’ajoute autant d’eau à la soupe pour avoir la consistance désirée. Ajouter la crème avant de servir.

Le mélange Champi-marrons est un délice. Tout le monde a aimé et les enfants me la redemandent même. C’est pour dire le succès.

Soupe de champignons aux marrons

PS : Merci à Véro qui m’a brodé ce magnifique torchon.