Toujours dans la catégorie « non au sur-équipement culinaire » voici mon alternative au rice cooker! Une certaine belle-soeur à moi se posant des questions existentielles sur le ricecooker.

Cuisson sans ricecooker

Vous me direz je n’ai qu’a aller lui expliquer de vive voix à Miss Léonie  mais c’est quand même plus rigolo de vous en faire profiter.

Alors tout d’abord ce n’est pas une méthode qui m’est propre.  Ma mère et pleins d’autres gens l’utilisent. Je n’ai absolument rien inventé mais je m’en sers tout le temps.

Ça fait un très bon riz surtout quand le riz est bon avant la cuisson. J’achète le mien chez Tang par paquet de 5kg (plus grand  c’est trop lourd) et surtout je n’achète jamais du riz en sachet pré-dosé  ni du riz du Tonton-de-l’autre-coté-de-la-mare-aux-canard. C’est mon coté intégriste, si vraiment il me faut du riz blanc long grain j’achète du riz de Camargue, nonmého.

Alors à la place du ricecooker j’utilise ça :

Cuisson sans ricecooker

Une casserole avec un couvercle qui ferme correctement, une planche de bois et enfin un verre qui me sert d’unité de mesure (celui-ci contient 180gr de riz cru).

Ensuite je prend 2 verres de riz pour 3 verres d’eau que je mets dans la casserole avec du sel mais cela reste optionnel.

Cuisson sans ricecooker

Je mets la casserole avec le couvercle sur le feu mais pas au maximum pendant 10mn. Au bout de ce temps l’eau a été absorbé. Remarque dans mon cas c’est 10mn pour cette quantité et avec mes plaques. A vous d’ajuster selon les quantités et votre cuisinière. Cette quantité nous a suffit pour 5 en accompagnement d’un plat de viande et avec des épinards.

Quand le temps est écoulé je mets ma casserole sur une planche de bois et là je le laisse reposer au moins 10mn mais en fait le riz peut rester chaud pendant presque 1h. Ce qui est vraiment très pratique quand on veut le préparer à l’avance. Comme ce soir sur 5 personnes, nous étions que 2 au moment de passer à table. Vive les ados qui ont des activités le soir et le mari qui rentrent tard.

Cuisson sans ricecooker

Blague à part, franchement j’ai longtemps  rêvé d’un ricecooker. J’en ai vu des beaux, des pratiques, des petits, des roses et des décorés mais pas de place, c’est pas de place. Et c’est vrai que quand c’est aussi facile que ça on peut s’en passer, c’est vrai qu’il faut pas l’oublier sur le feu mais c’est le seul inconvénient de cette méthode. Bon app!

Toujours ma quête de « je me débrouille dans ma minuscule cuisine sans appareils encombrants » ou ce que j’ai appelé « halte au sur équipement cuisinesque » je suis absolument ravie de vous faire part de cette recette de pain trouvé chez Paprikas. Il parait qu’elle a fait le tour de la blogosphère mais je me suis débrouillé pour passer à coté!! Donc un pain qui doit lever une fois (et pas deux comme toutes les autres recettes que j’ai), un pain qui ne se pétrit pas, mais que demander de plus : Quelqu’un pour ranger tout mon binz dans la cuisine après moi peut être…..

Ci dessous la liste des ingrédients utilisés par Paprikas et mes modifs.

Ingrédients :

  • 375 g de farine T45 T55 (c’est à dire celle que l’on trouve partout)
  • 12 g de levure boulangère fraîche ou 1 càc de levure sèche
  • 1 cuillère à café de sel
  • 25 cl d’eau tiède
  • 5 cl de lait tiède
  • 1 cuillère à café de miel (j’ai utilisé du miel liquide)
  • 60 g d’olive verte dénoyautées et coupées en rondelles
  • 1 cuillère à café de thym séché frais, j’ai utilisé quelques branches

Mettre la farine dans un bol, faire un puits et y émietter la levure. Ajouter l’eau tiède (attention pas trop chaude sinon on « tue » la levure, ni trop froide, sinon elle ne lève pas). Mélanger et laisser poser quelques instants le temps de couper les olives. Ajouter les olives, le thym, le miel dilué dans le lait tiède et éventuellement le sel (comme je trouvais que les olives étaient suffisamment salées je me suis abstenu). Mélanger sans trop insister puisqu’on vous dit qu’on a pas besoin de pétrir. La pâte reste collante mais c’est normal. Couvrir d’un linge humide et laisser à l’abri des courants d’air pendant une heure. Personnellement vu mon manque de place je l’ai mis dans le four froid, et je l’ai sorti 10mn avant l’heure pour mettre mon four à chauffer à 200°.
Quand la pâte a levé, la mettre sur une surface farinée et toujours sans pétrir, former un boudin et partager en 10 à 12 petites boules. Poser sur une plaque recouverte de papier sulfurisé et mettre au four. Juste avant de fermer la porte, verser un verre d’eau dans la lèche frite, c’est ce qui donne ce coté doré au pain. Faire cuire pendant 25 à 30mn.


Quand on est une Maman extrêmement occupée et qui ne peut pas rentrer s’occuper de ses petits, on prépare le dîner la veille et avec toutes les recommandations d’usage on leur laisse un petit gratin à mettre au four.

Vous me direz faire un gratin de chou fleur n’a franchement rien d’extraordinaire, c’est bête comme chou (CQFD) et tout le monde sait faire. Et je vous répondrais que c’est totalement exacte mais que j’avais envie de vous montrer comment on fait une sauce Béchamel et donc il me fallait une excuse!

Un gratin de chou fleur pour 4 personnes:

  • un chou fleur de taille moyenne
  • 150gr de lardons
  • du fromage râpé
  • de la BECHAMEL (voir plus bas)

Faire cuire votre chou fleur pendant 10mn dans de l’eau salée, égouttez, mettez au fond d’un plat à gratin. Mettre des lardons par dessus. Poivrer.

Gratin de chou fleur

Béchamel :

  • 50gr de beurre
  • 60gr de farine
  • Du lait (autant que vous voulez de sauce, env. 1/2 litre)
  • de la noix de muscade
  • sel et poivre

Pour commencer, prendre une casserole qui supporte les ustensiles en métal. Mettre le beurre à fondre, attention il ne doit pas roussir.

Béchamel

Enlever la casserole du feu. Ajouter la farine en pluie et mélanger de manière à faire absorber le beurre par la farine. Cela peut presque former une boule.

Béchamel

Remettre sur le feu et ajouter petit à petit le lait. Tout d’abord il va être absorbé par le mélange et refaire un mélange pas très ragoutant!

BéchamelBéchamel

Mais il faut persévérer tout en alternant mélanger, rajouter du lait, attendre que cela chauffe et mélanger. On se retrouve avec quelque chose comme ça :

Béchamel

Et il est tout à fait possible qu’il y ait des grumeaux, mais il ne faut pas s’arrêter à ça! Ou alors on utilise un fouet comme le mien ou alors un super tip top comme le proposent Les ménagères sur leur blog.

Béchamel

Et on fouette et on fouette, et on continue de rajouter du lait au fur et à mesure que le mélange épaissit sur le feu doux.

Entre temps on sale, on poivre et on mets une lichette de noix de Muscade râpée.

Béchamel

La question la plus embarrassante est : Quand est-ce qu’on s’arrête de mettre du lait? » Et ma seule réponse est : Quand vous voulez! Je sais que cela n’aide pas beaucoup mais de toute façon ce la dépend de la quantité de sauce que vous voulez au final. A un moment ou à un autre le mélange cessera de s’épaissir donc on peut arrêter. Mais en général je m’arrête quand j’en ai suffisamment pour mon besoin. En général un demi litre de lait suffit.

Ce qui me fait une transition idéal pour vous reparler de mon gratin.

Donc on verse la sauce sur le chou et les lardons. On mets du râpée par dessus et on met au four pour une demi-heure à 190° ou alors au frigo pour que les petits chérubins puissent le faire cuire le lendemain de la même manière (mais un peu plus longtemps puisque du coup il sort du frigo et la sauce n’est pas chaude).

Gratin

Et forcément vous ne verrez pas le gratin prêt j’étais au cinéma avec Mr Dupontel quand les enfants l’on mangé! On peut pas tout faire.


Je n’ai pas totalement disparue. Je ne suis pas en train de faire des cartons mais de vider la maison pour pouvoir rentrer toute ma famille dans un appartement plus petit que notre maison. Plus petit n’est pas mon principal souci, il suffit de jeter-donner-vendre les tonnes de magazines qui ont déjà déménagé 3 fois.  Les jouets des enfants qui ne servent plus et qui ne serviront pas aux enfants de passage vu que nous ne pourrons plus accueillir les familles nombreuse chez nous. Les 15 paires de lunettes accumulés depuis des années, en se disant cela pourra servir un jour! Je suis sure que cela doit se recycler quelque part mais où?

Par contre tout ce qui est dehors  dans notre jardin et qui sera forcément inutile quand je vais passer à l’étape » pot sur le rebord de la fenêtre avec du basilic et du thym », ça c’est du boulot.

Bref c’est le remue ménage à la maison. Et alors qu’est qu’on mange? Rien de bien extraordinaire, je me cantonne à mes basics et c’est pour ça que je ne vous en cause pas. Si ce n’est que dans la recherche de currys différents, lors de ma dernière visite à la Kapital je suis tombé sur ces sachets d’épices en pâte tout prêts chez Tang (dans 2 mois je serais à 20mn en métro de chez Tang, Youpi, bon ce n’est pas un exploit en soi mais c’est quand mieux  qu’a trois heures de TGV et puis de toute façon je positive mon déménagement comme je veux).

J’avais déjà essayé le vert (très fort et que je trouve à Aix mais en pot donc un peu moins pratique) et j’ai essayé le violet.  Un gout fort de citronelle  mais plutôt agréable. Le gros avantage du curry c’est que je peux en faire autant que je veux et même très souvent, les enfants disent toujours oui!


A d’autres moments je fais des variations sur les lasagnes d’aubergines qui toujours autant de succès avec ma fille, moins avec les garçons.  Nous avons eu un Dimanche ensoleillé et du coup j’ai ressorti mes vieux trucs : pommes de terre au four avec la sauce adéquate, crumble de tomates, brochettes de porc à « la chinoise ». Donc vraiment rien de nouveau coté cuisine.
Encore que, mes enfants m’ont fait récemment des petits gâteaux au chocolat vraiment très bons  et en utilisant des petits moules mous offerts récemment (Merci Luolan) et pas encore testé par mes soins. Voici la photo des moules, les gâteaux ayant été dévorés.


Et puis lors d’un des rares rayons de soleil de ces derniers jours j’ai pris des photos autour de chez moi et voici quelques coquelicots. Ils sont magnifiques dans les prés et le vent sur les blés donne des effets de vagues. J’ai admiré chez Birgit et Garance leurs concoctions au coquelicots mais là j’ai atteint ma limite!


L’an dernier, j’avais déjà essayé de faire sécher au soleil mes tomates. Ensuite je les ai juste stockés dans un bocal à l’abri de lalumière et je m’en suis servi pendant de nombreux mois. En lisant un post de Suik-suik (il y fort longtemps), je me suis promise de tester sa méthode alors voilà c’est fait. Elles sont dans de l’huile d’olive avec deux gousses d’ail et un peu de thym. Il faudra que je m’en refasse pour moi, celles-ci c’est un cadeau.


A propos de trucs très sudistes, j’ai trouvé dans un petit vallon de mon patelin un champ de lavande. Je pensais qu’il fallait aller plus loin vers le Luberon ou les Alpes pour en voir, et en fait j’en avais un caché sous mon nez !



Et enfin cette année ma production de légumes s’est un peu étendue. J’ai essayé avec succès les oignons. Cette année le poivrons ont changé de couleur, même si je ne m’attendais pas à de l’orange. Les différentes variétés de tomates sont rigolotes, même si effectivement les Roma c’est plutôt pour la cuisson, les cœurs de bœufs sont formidablement goûteuses et les tomates cerise s’éclatent.
J’ai suivi le conseil de mon voisin qui m’avait recommandé de prendre des plants greffés et c’est vrai que pour les aubergines c’est parfait.



Mes cinq abricots ont été mangés depuis longtemps mais j’avais quand même eu le temps de prendre les trois premiers en photos. Sauf que une fois avalés je me suis aperçue qque la photo est floue. Bou hou hou!


J’ai même un melon, mais je ne sais pas quand il faudra le ramasser. Par contre, autant l’an dernier je ne savais plus quoi faire de mes courgettes autant cette année elles ont du mal à pousser ! Les framboises ont donné une petite récolte cette année grâce à un arrosage intense mais par contre j’ai fait une croix sur la rhubarbe qui veut bien me faire des feuilles mais pas de tiges ou alors toute petite.

Pour écluser les tomates du jardin, une autre solution c’est le coulis de tomates. Malgré la simplicité de cette recette, je suis allée voir sur Internet ce qu’il en était, Gloria de La cuillère en bois nous montre la fabrication en directe et une manière intéressante de concentrer la coulis. N’ayant pas de moulin à légumes j’ai préférée peler et épépiner les tomates avant de les faire cuire, donc je n’ai pas suivi à la lettre les conseils de Gloria mais voilà :

  • 3kg de tomates
  • 400 gr d’oignons
  • Huile d’olive
  • Sel et poivre
  • Herbes du genre Thym et/ou romarin ou basilic

Mettre à chauffer l’huile dans une sauteuse, mettre les oignons coupés en petits morceaux à revenir sur feu moyen.

Pendant ce temps éplucher les tomates, enlever les pépins et les couper en morceaux. Quand les oignons ont pris un peu de couleur, rajouter les tomates et les herbes choisis. Saler et poivrer et laisser cuire à feux doux pendant une heure.

J’ai ensuite passé la mixture au bâton mixeur, de manière à avoir un mélange homogène.

Pour épaissir mon coulis, je suis revenu à la recette de Gloria (qui l’explique très bien en photos). Poser un torchon sur le bol contenant le mélange et recueillir l’eau qui passe à travers avec une louche posé sur le torchon. Répéter l’opération jusqu’à la consistance désirée.

Coulis de tomates      Coulis de tomates

Ensuite je me suis attaquée à la mise en pots. J’ai acheté chez Casa des bocaux en verre avec des couvercles qui se vissent. J’ai suivi en cela les conseils de Vincent le canneux. C’est un fan de la conserve en pots en verre, et il a pleins de bons conseils.

Coulis de tomates

Mais pourquoi pas congeler la sauce, me direz vous. Mais parce que j’ai un congel qui est déjà plein et que cela fait longtemps que je voulais essayer la conservation en bocaux stérilisés.

Donc des bocaux en verre avec un couvercle qui se visse (et se change à chaque utilisation) Au modeste prix de 2€75 le bocal de ½ litre cela commence à faire chère ma petite lubie de conserves. (J’aurais aussi vite fait d’aller acheter du coulis tout prêt mais il est vraie que je n’aurais pas l’immense satisfaction de pouvoir dire : « C’est moi qui l’ai fait ». )

J’ai nettoyé les bocaux, puis je les ai plongés dans l’eau bouillante et je ne vous raconte pas la galère pour aller récupérer des pots dans l’eau bouillante. Ensuite j’ai rempli les bocaux avec le coulis, jusqu’à 1 cm du bord. J’ai vissé les couvercles sans forcer puis j’ai remis les pots dans l’eau bouillante (aie aie) : il faut pas les lâcher sinon ils risquent de se casser donc comment faire. J’ai mis un torchon au fond et ensuite j’ai lâché mes pots. 35 minutes dans l’eau. Et maintenant je fais comment pour récupérer mes pots !!! Ahhhhhh. Bon je laisse tomber. Ils refroidiront dans l’eau.

Coulis de tomates

Les couvercles se sont bien creusés. Je pense que c’est bon.

Conclusions :

  • Primo : pour stériliser j’avais une énorme marmite donc là pas de problèmes mais il fait vraiment que je trouve une solution pour rattraper mes pots sans m’ebouillanter.

  • Deuxio : Je n’ai pas tenu compte du temps de stérilisation dans mon temps de cuisson du coulis donc à priori j’ai du coulis trop cuit maintenant.

Bref, ce n’est pas encore au point. Entre la préparation (éplucher trois kg de tomates), la cuisson puis la stérilisation, j’ai passé quelques heures. En plus j’ai payé mes pots une fortune. Bon je n’ai pas payé mes tomates, mais j’ai fait un coulis de luxe. Je sens qu’il va falloir trouver  autre chose de moins « bouffeur de temps » à stériliser.

L’an dernier une amie m’a offert un pot de chutney de tomate vertes en me précisant que c’était délicieux avec les fromages de chèvres et le foie gras (en toute simplicité bien entendu). Effectivement. Tellement bon d’ailleurs que j’en ai fait cette année.

 

Les tomates vertes sont (en principe) cueillies en fin de saison quand on arrache les plants de tomates qui ne vont plus mûrir pour cause d’absence de soleil.

Moi je n’ai pas pu attendre parce que je voulais faire un essai avant de me retrouver avec X kg de tomates et pas de recette éprouvée. Donc j’en ai profité pour alléger certaines de mes plantes.

J’ai fouillé sur Marmiton et j’ai trouvé plusieurs recettes, j’ai également trouvé chez Lady Marmelade  une confiture et un chutney avec de l’estragon. J’ai fait un mélange et voilà ce que j’ai fait :

 

 Ingrédients :

  • 700 gr de tomates vertes
  • 500 gr de sucre (j’ai utilisé de la cassonade)
  • 1 citron pressé
  • 2 cuillères à soupe de vinaigre de cidre

Couper les tomates en morceaux, mélanger avec le sucre et le jus de citron. Laisser macérer pendant 24h environ. Mettre à cuire à feu doux, (comme je trouvais que cela faisait trop confiture, j’ai rajouté le vinaigre de cidre). A un moment j’ai arrêté la cuisson et j’ai utilisé mon mixeur bâton parce que les morceaux restaient trop gros. Ensuite reprise de la cuisson jusqu’à ce que le test de la cuillère de mélange se fige sur une assiette. Mettre dans des pots stérilisés (ou du moins passés à l’eau très très chaude). Mettre les pots à l’envers.

 


Petite remarque après l’avoir goûté : je pense que je mettrais un peu moins de sucre la prochaine fois mais sinon c’est très bon.

 

Toujours dans un souci de conservation de mes tomates, j’ai essayé les tomates séchées. L’avantage du sud de la France en période de canicule c’est que le four n’est pas nécessaire.

J’ai coupé en quartiers autant de tomates que je pouvais mettre sur mon assiette. Je les ai saupoudré de sel et de thym.

 

Par contre il faut quelque chose pour protéger les tomates des mouches. J’utilise des paniers recouvert d’une mousselline.

 

Ensuite il faut les laisser à peu prés trois jours en plein cagnard. Au bout d’une semaine j’ai retrouvé ça :

 

Voilà cela réchauffera les plats d’hiver, ou je m’en servirai pour faire du pesto rosso. Je les conserverai dans un bocal en attendant.

Le retour de la tomate masquée !!!

Recette trouvée sur le oueb international ici

Encore une fois j’ai réduit les quantités pour voir si cela aurait du succès :

  • 800 gr de courgettes

  • 500 gr de tomates

  • 150 gr d’oignons

  • 2 gousses d’ail

  • environ 1 cm de gingembre (après épluchage, j’avais 20gr)

  • 500 gr de cassonnade

  • 1 cuillère à café de poivre noir en grains

  • 1 cuillère à soupe de sel

  • 1 cuillère à café de 4 épices

  • 1 pincée de piment (j’utilise encore un piment indéfinissable qui est assez fort)

  • 300ml de vinaigre de cidre

Laver et couper les courgettes en fines rondelles, peler les tomates puis les hacher grossièrement. Peler et émincer le gingembre et l’oignon, presser l’ail.

Mettre tous les ingrédients dans une marmite. Ajouter le sucre, les épices et le vinaigre. Faire cuire au moins une heure trente. Le mélange doit s’épaissir. Remplir des pots stérilisés et les retourner.

A consommer comme tout chutney qui se respecte avec des viandes froides.

 

Je vais peut être arrêter de prendre tout mes pots de confiture en photos, on ne voit pas la différence entre les chutneys et les confitures!!!!

 

 

Encore des tomates. Mais qui a dit que je ne savais pas quoi faire de mes tomates ? C’est vrai qu’elles se bousculent un peu. Alors pour varier les plaisirs et pour voir, j’ai essayé de faire un chutney à la tomate. Je garde un trés bon souvenir du chutney à la tomate de Marks and Spencer qui accommodait bien les restes de viande froide. Donc me voilà à la recherche d’une recette. Vous ne serez pas étonnés de savoir que je l’ai trouvé chez Marmiton, ici même.

Comme je ne voulais pas faire des quantités industrielles, voici ce que j’ai fait pour essayer :

Pour un pot de 750gr environ :

  • 750 gr de tomates
  • 125 gr d’oignons
  • 125 ml de vinaigre de cidre (au lieu du vinaigre de vin blanc)
  • ½ cuillère à café de piment
  • ½ cuillère à café de gingembre en poudre
  • 50 gr de cassonnade
  • sel

Pour peler les tomates j’ai utilisé mon outil miracle. Couper les tomates en morceaux, et le mettre dans une casserole. Peler l’oignon et le mettre à blanchir 5 mn dans l’eau bouillante avant de le hacher. Rajouter aux tomates.

Ajouter dans la casserole le vinaigre, le sucre, les épices et le sel.

Mélangez le tout, et faites cuire à feu doux une heure en remuant. La préparation doit épaissir. Mettez en pots.

D’après la recette originale il faut attendre un mois avant de consommer, d’après un des commentaires ce n’est pas nécessaire. Nous avons attendu une semaine pour le goûter avec du poulet rôti froid.  J’ai peut-être forcé un peu la dose du piment, mais c’est à vous de voir. Super, j’ai trouvé un moyen pour conserver mes tomates.