On (ma belle soeur par exemple, mais comme elle est en vacances j’en profite!) va encore me dire que j’ai un train de retard. Ben oui, c’est sorti en 2005 et je découvre aujourd’hui. Mais tant pis j’aime beaucoup quand même.
Mais bon sang de bon soir comment suis-je tombé sur cette recette de Tarzile qui date du mois de mars de l’an dernier. En cliquant d’un lien à l’autre je suis arrivé sur cette merveille de simplicité et de saveurs.
Mais je ne sais pas comment.
Alors je l’ai fait une première fois à la lettre avec un succès certain mais je n’ai pas pu m’empêcher de modifier un tout petit peu les quantités de sucre et de sirop la deuxième fois. Les enfants avaient trouvé ça un peu sucré, c’est un comble non ?
Alors pour l’originale c’est ici et pour ma version à peine modifiée
c’est dessous.
Ingrédients :
- Une pâte brisé maison ou toute faite
- 2 oeufs battus
- 30 gr de farine
- 30 gr de beurre fondu
- 150gr de cassonade
- 200ml de sirop d’érable
Préchauffez le four à 225
Dans un grand bol, battez les œufs et ajouter la farine et le beurre fondu. Mélangez puis ajoutez le sirop et le sucre. Mélangez de nouveau. Verser sur la pâte à tarte.
Mettre au four pour 8mn.
Puis baisser la température du four à 140° et laisser cuire encore 25mn.
Un régal avec un boule de glace à la vanille et même sans.
Edith de Mes tables de fêtes m’a tagué, je suis sensé vous dire 7 choses que vous ne savez pas de moi. Vu que cela fait un an que je vous raconte ma vie sous prétexte de vous donner des recettes de cuisine… Allez on y va en vrac :
Number 1 : Yves Montand m’a fait la bise une fois
Number 2 : Roger Gicquel aussi mais cela m’a pas fait le même effet.
Number 3 : J’aimerais bien remettre ça avec Georges ou Brad ou Viggo ou…..
Number 4 : Quand j’étais petite j’ai voulu donner de la glace à la vanille avec de la sauce au chocolat à ma petite sœur mais c’était du cirage à chaussures !
Number 5 : J’adore les bonbons : les dragibus (de préference les noirs et les rouges), les fraises Tagada et les rouleaux de réglisses.
Number 6 : Je déteste les gens qui se garent mal (mais je crois que je l’ai déjà dit)
Number 7 : J’ai été conseillère municipale et j’aimerais bien le redevenir !
Maintenant je suis sensé passer la main à sept autres personnes mais j’ai l’impression que pleins de gens y ont déjà répondu depuis le temps qu’il circule alors avis aux amateurs.
Que faire quand on a fait une grande ratatouille, des moules
en silicones, des œufs ? Des bouchées à la ratatouille peut-être ?
Pour les quantités, celles que je vous donne sont très approximatives,
il vous faudra adapter. Dans mon cas pour trois plaques de moules en silicones
(des petits moules style tartelettes ou mini muffin), prendre trois œufs, les
battre en omelette, saler et poivrer. Ajouter la ratatouille (environ 500gr) et
mélanger de manière à ce que le mélange d’œufs s’intègre bien. Verser dans les
moules et mettre dans un four chaud (200°) pendant au moins 20mn. Vérifier si
c’est cuit en enfonçant des piques d’apéro.
Ils ont un mois et demi. Ils cavalent partout, sautent partout et nous régalent de leurs acrobaties. Ils ont tous trouvé une famille pour les accueillir.
Ils ont toujours besoin de leurs Maman.
Et elle les protège toujours férocement : les autres chats qui essayent de passer dans le jardin sont trés vite chassés.
Encore une recette piquée chez Mamina. Un délice, moelleux au possible et pleins de bonnes choses. Je l’ai préparé à l’occasion d’un de
ces buffets où tout le monde apporte quelque chose et il a fallu que je le refasse rapidement, ma famille n’avait pas pu y goûter.
La recette originale est ici, mais je n’ai pas tout suivi à la lettre (j’ai eu la flemme de monter les blancs en neige).
Ingrédients :
- 160 gr de chocolat à cuire
- 130 gr de beurre demi sel (ou ajouter une grosse pincée de
sel)
- 90gr de sucre semoule
- 20 gr de farine
- 3 œufs
- 150gr de framboises (surgelées ou fraîches)
Préchauffer le four à 190°.
Casser le chocolat en morceaux et le faire fondre avec le beurre au micro ondes par exemple.
Casser les œufs dans un bol et les mélanger. Ajouter le sucre, la farine et le mélange beurre chocolat.
Beurrer un moule si il n’est pas en silicone, verser une partie du mélange. Poser des framboises dessus, verser de nouveau du mélange, poser des framboises et terminer de verser le mélange.
Mettre au four pour 40mn et vérifier avec la lame d’un couteau si le gâteau est cuit
C’était le nom d’une émision de radio en Anglais sur la radio Suédoise pour les touristes forcément. C’était très intéressant pour les « autochtones » fraichement débarqués.
Donc quand je trimballe deux petites suédoises dans le Luberon c’est un titre qui me vient automatiquement.
Alors d’abord l’incontourbable Lourmarin parce que c’est le village le plus proche de chez nous. Ensuite nous avons poussé jusqu’à Bonnieux et son joli village perché qui domine la vallée du Luberon.
Ce sont les portes qui ont accroché mon oeil cette fois ci.
En allant vers Bonnieux, une Borie.
Lacoste vue de Bonnieux
Un jolie fontaine pour terminer cette balade.
Pas le temps – pas le temps – je cours tout le temps. Et comme il fait chaud c’est salade ou salade ou encore un truc super originale : une salade. En plus je ne varie même pas mes salades. Donc il était temps de leur faire quelque chose un peu différent et comme je n’avais jamais utilisé des feuilles de brick et que j’en avais acheté récemment sans savoir quoi en faire, j’ai voulu essayer la Pastilla. En feuilletant dans les magazines chez mon coiffeur préféré (j’suis plus blonde au fait, même si mes neurones ne sont pas encore au courant), en piquant des idées dans le livre de Marie Laure Tombini Maroccô, je me suis fait une petite pastilla dans mon coin. Comme je n’en ai jamais mangé par ailleurs, je pense qu’elle pas très orthodoxe mais comme tout le monde a aimé.
Ingrédients pour 4 :
- 4 cuisses de poulet
- 6 feuilles de brick
- 1 cuillère à café de cannelle en poudre
- 1 cuillère à café de cumin en poudre
- un demi bouquet de coriandre frais
- 1 cuillère à soupe de sucre glace
- ½ cuillères à café de piment
- une petite poignée de pistaches
- deux oeufs
- un oignon
- huile d’olive
- sel et poivre
Préchauffer le four à 150°
Faire une papillote d’alu pour chaque cuisse. Mettre au four pendant 2 heures.
Quand les cuisses sont un peu refroidies, les détacher des os et émietter la viande.
Faire revenir dans de l’huile d’olive, l’oignon coupé finement. Ajouter les pistaches et le sucre glace ainsi que les épices et la viande. Laisser mijoter quelques instants. Enlever du feu et laisser refroidir. Quand le mélange est tiède ajouter les deux œufs battus.
Chauffer le four à 190°
Plus tôt que de faire les pastilla individuels, j’ai préféré en faire une grande. J’ai utilisé un plat en verre allant au four dont j’ai huilé les bords. J’ai posé quatre feuilles de bricks dedans de manière a ce qu’elles tapissent le fond et les bords. Ensuite j’ai mis le mélange de poulet au centre. J’ai recouvert avec les bords de feuilles qui dépassaient et j’ai rajouté deux feuilles par-dessus qui sont allées également en dessous du paquet ainsi fabriqué. Passer un pinceau imbibé d’huile d’olive sur le dessus des feuilles.
Mettre au four 15 mn et faire griller quelques instants.
Servir avec une salade par exemple.
C’est totalement dingue cette fin d’année. Non, je n’ai
toujours pas retrouvé de boulot mais entre les réunions de parents d’élèves,
les allers retours avec mes louslous pour divers trucs de fin d’année. Les valises a préparer pour Miss Bobette
qui part demain pour 6 semaines, entre le séjour à Paris chez Luolan et Léonie
Canot, ensuite séjour linguistique en Angleterre puis retour par Paris pour
aller s’incruster chez Gini à St Michel Chef Chef avec sa copine M. pour trois
semaines. C’est dure la vie de poulette.
Donc il y a quelques jours j’ai assisté au Cantéjades, c’est à dire une chorale provençale organisé par Claude,
l’instit de Ptit Bob. Ce fut une trés grande réussite, avec une organisation du tonnerre. 300 enfants allant de 4 ans à 11
ans. 4 écoles différentes de 4 villes différentes. Tout ce petit monde
réuni sous les platanes de la Bastide du Jas de Bouffan.
Cézanne y a habité
avec sa famille. Un lieu extraordinaire, avec un très beau parc. Des
Chinoiseries pour préparer une exposition dont le vernissage avait lieu le
lendemain. De l’eau sous forme de fontaine ou de bassin.
Et un bel ange sous les frondaisons.
Deux répétitions pour les enfants qui ne s’était jamais
réunis avant dans l’après midi. Des parents recrutés pour aider à gérer toute
la marmaille. Les parents venant aprés les répétitions pour un pique nique. Un
orchestre formidable (à nourrir), les techniciens du son et les policiers
municipaux aussi avaient faim. J’en ai profité pour faire goûter les tueries de
Mamina. Et enfin à 20h30 le concert. C’est vraiment super. Forcément je ne comprends rien à ce que les enfants chantent mais ce n’est pas grave.
Pendant que nous mangions, les copines en ont profité pour me donner un cours de Provençal-Marseillais, et je peux donc vous dire que grosso modo, le Jas de Bouffan veut dire la bergerie des vents. J’ai appris pleins d’autres trucs mais ce sera pour une autre fois.
Et ce soir, on remet ça, c’est la kermesse avec le barbecue de fin d’année. Je sais pas d’ou elle tire sa pêche notre Claude mais elle en a!
Cela fait quelque temps que je fréquente le blog de Mamina, elle fait des choses absolument extraordinaires et en général je ne fais que regarder.
L’autre jour ayant testé la fève Tonka, Mamina m’a recommandé ce qu’elle appelait sa « Tuerie ». Pour le peu que je connaisse Mamina je n’avais pas l’impression qu’elle se vantait d’habitude. Alors je suis retourné voir sa recette que j’avais juste balayé d’un revers de main, certains ingrédients ne me plaisant pas des masses.
Bon alors, le chocolat blanc, ce n’est vraiment pas mon truc. Pour moi ce n’est même pas du chocolat. Et je n’arrivais pas du tout à voir ce que cela pouvait donner avec des abricots secs et de la fève Tonka. Mais puisque Mamina insiste, on va essayer. Ce doit être la fève Tonka qui fait le truc.
La recette originale est ici, et la version recopiée est mot à mot ci-dessous.
Ingrédients :
- 150 g de beurre fondu refroidi
- 60 g de sucre en poudre
- 200 g de chocolat blanc râpé ou en pistoles
- 3 œufs moyens
- 50 g de farine
- 1 fève tonka
- Une quinzaine d’abricots secs moelleux coupés en morceaux de la taille d’une noisette
Préchauffer le four à 170°.
Mélanger le sucre et les œufs pendant 2 ou 3 minutes. Ajouter le beurre et le chocolat blanc fondu au bain- marie (ou au micro-ondes, en donnant de petites impulsions successives pour qu’il fonde de façon homogène). Mélanger et incorporer la farine en remuant jusqu’à ce que le mélange soit bien lisse.
Râper finement une fève tonka au dessus de l’appareil et incorporer les morceaux d’abricots, bien mélanger, mettre dans les moules et cuire environ 25 à 30mn pour le gros gâteau et 10 à 12 minutes pour les petits.
Si le dessus du gâteau se colore trop, le couvrir avec un aluminium à mi cuisson.
Alors c’est effectivement très très bon. Un délice. Moelleux à souhait. Et impossible de deviner les ingrédients. D’ailleurs j’ai amené le résultat de mes recherches à une petite fête organisé par Claude (l’institutrice de mon Ptit’ Bob, je vous en parlerai plus tard) et je les ai proposé aux parents accompagnateurs. Bien entendu personne n’a deviné les ingrédients, a part les abricots secs. Et j’ai eu un succès fou avec mes petits muffins.
Juste un petit Dip coloré pour accompagner mon classique Thon St Moret. J’ai l’impression d’avoir trouvé cela toute seule mais la lecture des blogs influence fortement donc si quelqu’un reconnaît cette recette je ne l’ai pas chipé intentionnellement.
J’ai repris mon St Moret habituel et j’ai juste ajouté des poivrons. Par contre j’ai eu la flemme de les préparer moi-même alors j’ai pris des poivrons du supermarché
Ingrédients :
- Un pot de poivrons rouges sans peau de (200gr égouttés)
- Une boite de St Moret
- Une demi cuillère à café de piment d’Espelette
- Une gousse d’ail
- Sel et poivre
Après avoir bien égoutté les poivrons, les mixer dans un bol. Ajouter la gousse d’ail pressé, les piments. Saler et poivrer à votre goût.
Servir avec des chips, des carottes en bâtonnets ou autres ….
Alors pour ma deuxième Finlandaiserie, après les Moomin il y a depuis que je suis toute petite Marimekko.
Quand j’étais petite, c’était un peu comme Petit Bateau en France. Toute la famille avait ces chemises de nuit rayé (même mon père) ou alors des combinaisons shorts T-shirt comme pyjama. Ma petite Maman m’a même offert une des chemises de nuit récemment. (Sexy en diable non ?).
Pour les infos courantes, je pompe chez Wikipédia : Marimekko est une grande entreprise finlandaise de design dans le
secteur de l’habillement et des textiles. Elle conçoit, fabrique et commercialise, en Finlande comme à l’étranger, des vêtements, de la décoration
d’intérieur sur textile, des sacs et d’autres accessoires. La notoriété de la marque s’est fait grâce à son style : un ensemble de motifs simples et de
couleurs très puissantes.
Marimekko fut fondée en 1951 par Armi et Viljo Ratia. La marque s’est fait connaître dans le domaine de l’habillement dès les années 1960. Kirsti
Paakkanen est sa propriétaire et directrice générale depuis 1991.
Alors pour les motifs, a part les rayures de mon enfance, il y a un style bien particulier. Le Marimekko se reconnaît de loin.
En voilà quelques exemples :
Dans les motifs de cette année mes préférés restent ces deux là.
Sur le bateau, j’ai croisé une fille qui avait la veste, le pantalon et le sac dans ce motifs poires. Un peu too much!
Dans celui ci de motif, il y avait la totale, le tapis de souris, les sacs et pochettes, les tasses et même le biberon (dans lequel ma nièce, Star-Popo-en-chef, boit son lait quotidien maintenant).
J’ai failli craquer mais je me suis retenu, puis Miss Bobette a flashé pour ce sac sur le bateau.
En principe c’est elle qui doit se le payer mais j’attends encore mes sous ! Sinon je lui piquerais son sac. Niark niark.
A part les tissus qui sont reconnaissables, certains modèles de pochettes-portemonnaies ou de sac sont également assez tipicos!
Il existe des boutiques un peu partout. La boutique de Stockholm, sur Norrmalmstorg est magnifique, ils ont les tissus, les sacs et les vetements. A Paris, je vous recommande la boutique de Kerstin Adolphson, au 157 du bd St Germain (pas loin de chez Lipp). Ils n’ont pas tout mais ils ont aussi de très beaux sabots Suédois et des pulls Norvégiens. Et à Aix, dans la boutique Exalto, 4 rue de Vauvenargues (à coté de la mairie), ils ont le même sac que Miss Bobette (mais pas au même prix Arrgh).
Marimekko n’est pas le seul designer Finlandais connu, dans mes préferés il y a aussi Alvaar Alto, les vases édités par Ittala.
La table Saarinen de chez Knoll (je crois que c’est Finlandais ???)
Et pour pas faire de jaloux quelques exemples chez les Danois : les montres de Georg Jensen :
En Suède, ce n’est pas vraiment du design, c’est presque des antiquités : la série Blå Eld de Rörstrand
En Norvège, à part les pulls de chez Dale ????? (Hi Hilde)
Voilà c’était le post du week end, les photos sont toutes tirés des differents site dont j’ai mis les liens.
D’un coté je me disais que ce serait bien que Tigane gagne parce que de toute façon Julien n’aura aucun mal à faire un album mais finalement je suis très contente qu’il ai gagné. J’attendais un déluge de commentaires sur cet évenement et je n’ai rien vu hier sur les blogs. Quid? Serait-ce un non-évenement?
J’ai adoré leur duo en l’honneur de Marianne :
Finale à Baltard Tigane et Julien /4
envoyé par azmichael
La version de Claude François par Julien a peut être un peu surpris, mais ma chanson préféré reste Les betises :
NOUVELLE STAR Julien Les betises
envoyé par danielekar
Ça y est ! J’ai cédé aux chants des sirènes. J’ai testé a fève Tonka. C’est l’exemple même de la chose que je n’aurais jamais faite si je n’étais pas en train de lire régulièrement des blogs. C’est le truc dont tout le monde parle (et en plus depuis longtemps, donc je suis sérieusement en retard).
Mais qu’est que c’est que la fève Tonka. C’est ça :
Et si vous voulez en savoir plus je vais juste vous envoyer voir l’article que Anne de chez Papilles et Pupilles a écrit sur ce sujet. Il est très complet.
Valerie de Cuisine et voyage a voulu aussi en savoir plus. Si par hasard, juste pour voir vous voulez savoir ce que Wikipédia en dit c’est ici.
Alors que faire avec cette fève. Visiblement les crèmes ont la cote. Mais je ne suis pas une fan. Je voulais en plus essayer mes nouveaux moule en silicone, donc je suis tombé sur cette recette ce qui m’a permis par la même occasion de découvrir ce blog.
Je vous recopie presque la recette tel que MingouMango l’a donné. La difference étant que ma balance n’étant pas à 5gr prés j’ai un peu arrondi. De plus je ne sais pas où trouver des chunks ici alors j’utilise de simples pépites.
Ingrédients :
- 150 g de farine
- 70 g de sucre blond de canne
- 8 cuillères à soupe de lait tiédi
- 1 œuf
- 1/2 sachet de levure chimique (pff j’ai toujours du mal avec le demi!)
- 70 g de beurre
- 100 g de pépites de chocolat
- 1/3 de fève tonka râpée (pas plus)
- 1 pincée de sel
Préchauffer le four à 200°
Faire fondre le beurre, tiedir le lait. Mélanger le beurre avec l’oeuf et le lait. Râper la fève Tonka.
Dans un saladier, mélanger la farine, la levure, le sucre et le sel. Ajouter le mélange oeuf-beurre-lait. Ajouter les pépites et la fève râpé.
Remplir les moules en silicones et mettre au four entre 15 et 18 minutes. Pour moi 16 c’était parfait.
Résultat des courses, un délice avec un petit gout d’amande. Cela étant dit je me demande si j’ai mis assez de fève.
Voici une liste de queques recettes trouvés sur les blogs mais il y en a pleins d’autres.
Chez Mamina : Panna cotta au chocolat blanc et à la fève Tonka (je ne mets pas toutes ses recettes, il y en a des tonnes)
Chez Tarzile : Sorbet au chocolat aromatisé à la fève Tonka
Chez Sucré-salé : Tarte tout chocolat à la fève Tonka
Chez La popote de Véro : Macarons pamplemousse et ganache fève Tonka
Chez Fabienne, Eggs & Mouillettes : Abricots amandes et fève Tonka
Chez suiksuik : Petits gâteaux à la fève Tonka
Chez La marmite de Cathy : Petites crèmes bananes, crème de coco et fève Tonka
Alors voilà des photos de Velours, Garfield et Poupinette.
Je suis désolée de vous annoncer que personne n’a gagné. Et pourtant le prix était un adorable chaton. Cela étant dit je vous les donne même si vous n’avez pas gagné. Qui n’en veut?
L’autre jour en causant avec la Grive, nous devisions de son
dernier post qui raconte une histoire de Grives. Après notre causerie, je me
suis dit que j’allais vous poser la question du pourquoi de votre pseudo. Ce n’est pas un questionnaire de blogueuses (ou blogueurs). Vous n’êtes pas
obligés de répondre. Si vous avez envie, faites le ici ou chez vous, mais dites
le moi et je ferais un lien. Il est même fort problable vous l’ayez déjà expliqué dans votre blog
Pourquoi nos pseudo ? Le mien, je sais pourquoi.
Forcément. Je l’ai même expliqué il y a fort longtemps quand j’ai démarré ce
blog. Au lieu de Anna, j’ai pris le petit nom que me donnait ma Maman (quand
elle ne m’appelle pas Janika pour faire une pierre deux coups et m’appeler en même temps que ma sœur !) et du coup voilà je m’appelle Annika Panika.
Il me semblait que je serais moins visible. Je pensais que mon prénom se repèrerait à des kilomètres et j’étais persuadé que nous étions rares à le porter. Et bien c’est faux, il y a une jeune génération très présente sur les blogs qui a ce prénom. (Par contre des vieilles de 43 ans il y en a moins.) Voilà, vous savez tout sur mon pseudo. Et vous ? Vous avez envie de vous lancer, les Léonie Canot, Luolan, La Grive, Mamzelle Maupin, Shalima, Nunuvénère, Mamina,
Kscades, Garance et les autres. Vous avez envie de nous expliquer l’origine de vos pseudos ?
PS : les fleurs utilisé pour illustrer ce post sont des cistes, celles du dessus viennent de mon jardin. J’en plante dés que j’ai un coin de libre. Elles perdent leurs pétales tous les soirs et tous les matins de nouvelles fleurissent. Celle du dessous se trouve en ville dans une plate bande, mais elle me plait beaucoup aussi.
