C’est sure que quand on déjeune dehors au soleil les week end de Janvier, la neige ne parait  pas trés proche. Et puis, et puis finalement le froid est là -3°. Bon je ne vous ferais pas l’affront d’appeller cela du grand froid, mais quand même avec un petit coup de mistral par dessus, le ressenti n’est pas terrible. La neige est tombé hier soir et elle est encore là ce matin.

Il n’y en a pas assez pour faire des snölyktor, mais cela viendra peut être.

Quand la mère de Stéphanie veut quelque chose de sa fille (du genre venir aux répétitions du mariage de son autre fille) elle brandit comme menace de ne plus jamais lui faire son gâteau préféré : le pineapple upside down cake.

 

J’ai trouvé cette recette sur le net, un lien qui ne fonctionne plus….

Ingrédients :

  • 50 gr de beurre
  • 100gr de sucre brun (j’ai utilisé de la vergeoise blonde)
  • 100gr de farine
  • 100 gr de sucre
  • 1 cuillère à soupe de levure chimique (env 15gr)
  • une pincée de sel
  • 50 gr de beurre ramolli
  • 1 dl de lait
  • 1 œuf
  • une boite d’ananas en tranches
  • des cerises maraschino (=confites je crois, mais j’ai utilisé
    une cerise à l’eau de vie)

 

Mettre le four à chauffer à 200°

Egoutter les tranches d’ananas en gardant le jus.

Mettre le beurre dans le moule à gâteau et à fondre dans le four qui chauffe. Quand il est fondu, saupoudrer avec le sucre brun. Disposer les tranches d’ananas au fiond du moule et des demi-tranches sur les bords. En principe il faudrait remplir chque trou d’ananas avec une cerise. Je n’en ai mis qu’une seule parce que j’ai utilisé des cerises à l’eau de vie non dénoyautées.

 

 

Dans un bol mélanger la farine avec le sucre, la levure, le sel, le beurre ramolli, le lait, l’œuf et deux cuillères à soupe de jus d’ananas.

Verser ce mélange dans le moule.

 

 

Mettre au four pour 30 à 35mn.

Sortir du four et laisser refroidir quelques minutes avant de démouler le gâteau. Servir tiède avec de la crème fouetté ou de la glace à la vanille ou nature.

 

Alors voilà à quoi cela ressemble et c’est vraiment très bon, l’ananas est juste un peu caramélisé.

 

 

 

Une nouvelle catégorie à l’instigation de Léonie Canot :

Merci à Annika de me laisser une petite place sur son blog ! Je voulais vous recommander une pièce que je suis allée voir hier : Un et Un, Feydeau ! par la Troupe du Phénix, qui se joue au Théâtre du Renard (du côté de l’Hôtel de Ville/Beaubourg), à Paris.

OK, je m’adresse donc en priorité aux Parisiens/Parisiennes, mais ceux « du Sud » ont peut-être déjà vu la pièce qui était jouée à Avignon l’été dernier et les autres en auront certainement l’occasion quand la troupe partira en tournée !

Super représentation, avec 7 acteurs qui font revivre l’univers de Feydeau (mari, femme, amant, maîtresse…) d’une manière assez improbable: à la sauce ’70’s ! Costumes, chansons, chorégraphies, rien ne manque ! Je vous jure, Abba n’est jamais loin ! Et ma fille de 9 ans a adoré ! Courrez-y vite, vous passerez vraiment un bon
moment !

Signé Léonie Canot

Pour en savoir plus : http://www.regardencoulisse.com/spectacles/spec.php?num=1538


Eh non ce n’est pas la recette des boulettes de viande à la suèdoise mais une vidéo des Muppets. J’avais oublié que le cuisinier était Suédois chez les Muppets jusqu’a ce que je tombe sur cette vidéo chez Range ta Chambre :


Muppets – Swedish Chef – Meatballs
envoyé par viviane2

Attention aux spaghetti :

Swedish Chef – Spaghetti
envoyé par beautifulcynic

La mousse au chocolat :

Muppets – Swedish Chef
envoyé par beautifulcynic

Pour Léonie : non il ne parle pas Suèdois mais c’est bien du Gloumische

Après avoir écrit que Stéphanie Plum mangeait des trucs qui me paraissaient improbables je me suis dit que j’allais essayer de faire quelques uns des plats dont elle se régale chez sa mère. J’ai pensé au Pineapple upside down cake (qui est dans le four en ce moment, donc la recette suivra) et au meatloaf. Alors pour tout vous avouer ce n’est pas la première fois que j’essaie de faire un meatloaf (ou pain de viande), l’idée m’a toujours paru pratique d’avoir ce pain de viande à manger chaud ou froid avec ou sans sauce.

Mais mon premier essai fût assez catastrophique : sec et pas assez assaisonné. Par contre là je crois que suis sur la bonne voie, il faudra peut être ajuster le tir mais c’est pas mal. Comme d’hab les enfants ont trouvé cela bof, mais je ne désespère pas, avec un peu d’habitude ils vont finir par aimer ça.

 

Alors la recette qui m’a inspiré est sur le net mais un lien qui n »existe plus. J’ai changé pas mal de choses et surtout j’ai divisé la recette par deux (à peu prés) et cela remplit déjà un moule à cake. Donc cela suffit.

 

Ingrédients pour un moule à cake :

  • 600gr de viande haché
  • 1 poivron rouge émincé grossièrement
  • ½ boite de tomates pelées (que j’ai remplacé par 200 gr de coulis maison)
  • 1 petit oignon émincé
  • 3  tranches de bacon
  • 75 gr de chapelure
  • 30gr de parmesan râpé
  • 1  gousse d’ail pressé
  • ½ cuillères à café de basilic
  • 2 cuillères à soupe de persil
  • 1 cuillère à café de fond de veau
  • 2 œufs
  • 1 cuillère à café de poivre noir moulu
  • 3 petites tomates (cerises !) coupés en morceaux
  • 1 cuillère à soupe de sauce soja
  • 1 cuillère à soupe d’huile d’olive
  • du ketchup selon envie
  • Poudre d’oignon ou d’échalote

 

Préchauffer le four à 200°

 

Dans un grand bol mélanger la viande, les légumes coupés, les œufs, les herbes, la chapelure, le coulis de tomates,l’huile d’olive (si le mélange parait trop sec) et le soja. Garder le bacon et le ketchup pour la fin.

 

Mettre la viande dans un moule à gâteaux (beurré ou huilé si c’est nécessaire). Mettre du ketchup par-dessus en couche fine, mettre les tranches de bacon par-dessus, saler, poivrer et éventuellement mettre de la poudre d’oignons ou d’échalotes. Mettre au four pendant 1h30. De temps en temps rajouter du ketchup si vous pensez que la viande sèche trop.

 

D’après la recette originale le ketchup peut être remplacé par une autre sauce de type barbecue si vous préférez.

 

Alors le résultat est moelleux à souhait, je pense que l’apport de légumes frais en morceaux était juste ce qu’il fallait. A servir avec de la purée de pommes de terre et des légumes verts sans oublier le gravy si on veut faire comme la Maman de Stéphanie. Les enfants l’ont mangé avec du riz blanc et nous avec une salade verte.

Et puis franchement n’étant pas douée pour la photo, aucune de mes photos est appétissante. Donc pas de photo. Désolée.

 

       

Ma révélation littéraire de l’année 2006. Suite à un commentaire de
Anne de Papille et Pupilles chez Hélène, je me suis lancée dans la lecture des aventures de Stéphanie Plum par Linda Evanovich. Et j’ai
adoré, j’ai dévoré, j’ai ris et j’en ris encore.

 

Vous avez déjà lus des livres qui vous font oublier où vous
êtes et rire à voix haute, et bien moi c’est Stephanie qui me fait cet effet là
(quoique j’ai des souvenirs de lecture de Garfield dans le métro à Paris où les
gens me regardaient curieusement, maintenant que j’y pense)
.


 

L’auteur,
Janet Evanovich, nous fait rentrer dans le monde de Stéphanie Plum, qui est une ancienne
vendeuse de lingerie fine reconvertie en «chasseuse de prime » ou bounty
hunter dans le New Jersey. Il lui arrive tout un tas d’aventures plus déjantés
les une que les autres. Elle a un
problème de voitures qui brûlent ou explosent avec une régularité
affolante, un
e vie sentimentale agité entre son flic préféré Joe Morelli (qui a
une Grand-mère qui jette des sorts) et son chasseur de primes préféré Ranger
(aussi mystérieux que sexy), une famille délirante (une
grand-mère (encore)
fofolle qui a comme passe-temps d’aller voir les morts exposés dans les salons
funéraires) et un chien qui s’appelle Bob (lui il mange tout ce qui lui tombe dans la gueule, y compris les stings en dentelle de Stéphanie, pour ensuite les évacuer d’un coté ou de l’autre quand cela lui prend). Dans les gens qui l’entourent il y a aussi Lula, une ancienne prostitué qui a des gouts vestimantaires douteux et une drag queen rockeuse reconvertie en organisatrice de marriage. Stephanie passe son temps à manger des trucs qui paraissent trés improbables (mais ce doit être mon manque de culture culinaire americaine qui me fait dire ça).


 

 

Ce ne sont pas des vrais polars dans le sens whodunnit avec
des interrogatoires et des meurtres mais il y a toujours  des
problèmes (ou des morts) à résoudre. Le style est rapide, franc et hilarant. Ils sont faciles à lire et je regrette toujours d’arriver à la fin.

  

 

 

Au jour
d’aujourd’hui il y a 12 livres dans la série : One for the money, Two for the
Doug
h, Three to get deadly etc…
Je suis en train de lire Eleven on top
et j’attends la sortie en poche (juin 2007) du numéro 12 Twelve sharp. La
première edition du numéro 13 Lean Mean Thirteen est annoncé pour juin 2007.

 

Janet
Evanovich en a écrit un spécial pour Noël qui s’appelle Visions of Sugar Plum
dans la même veine.

 

 

Les titres en Français sont moins facile à suivre qu’en
Anglais : La Prime, A la une à la deux à la mort, Deux fois n’est pas
coutume
, Quatre ou double, Cinq à sexe etc… A partir du numéro quatre ils ont
repris l’idée originale de mettre le numéro dans le titre.

 

J’ai réussi à accrocher mon Bob, qui rigole tant
qu’il peut dans son coin. C’est tellement agaçant que je vais voir par-dessus
son épaule où il en est. 

 

Je ne sais pas si je vous ai donné envie de le lire, mais si vous ne connaissez pas je vous le recommande.

 

 

Pfff j’ai passé la barre des 10000 visiteurs (10.609) pour être précise sans
m’en apercevoir. Parce que ce blog ci n’a commencé qu’en Août 2006 alors que
l’autre Annika-Pannika avait commencé en Mai. Alors si on ajoute les
1.676 de mai à Août puis les 8.933 cela fait bien 10609 visiteurs. Bon je ne
compte pas tout ceux qui continuent à aller sur le vieux, en principe ils sont
renvoyés ici.

Bref avec ces petits comptes d’apothicaire, je voudrais juste vous remercier
tous pour vos messages et vos gentilesses.

 

Vous connaissez Kamini, moi j’aime beaucoup, pour fêter mes 10000 une p’tite zik :

PS : J’ai cru comprendre que certaines copines de ma vie d’avant, là bas chez les Normands viennent en douce me voir, mais sans laisser de traces. Bon alors qu’on soit bien d’accord, je n’oblige personne à laisser un com (quoique!) mais faire un  petit coucou pour dire bonjour me ferait très plaisir.

Bon, c’est pas pour dire, mais écrire un blog avec la
cuisine comme excuse principale, pardon je voulais dire comme thème principal, me
fait faire des trucs dont je n’aurais pas rêvé il y a quelques temps.

 

Sur les cinq personnes qui composent cette famille, je ne
compte pas mes chats  qui n’ont pas le droit à la parole
quand il s’agit de bouffe, même si sur d’autres sujets on leur demande leur
avis : « tu n’as pas trop chaud ma Paprika sous ma couette et toi
Miss Tache je ne te dérange pas trop quand je bouge la nuit ? ».

 

Je reviens au sujet qui me préoccupe et qui fait rarement l’unanimité
dans cette famille : ma cuisine. Entre celle qui ne mange pas de tomates ni de fromage, sauf
la raclette, ne me demandez pas pourquoi, mais je pense que c’est pour faire caguer
(vous avez vu comment je me suis mise au Provençal) sa mère. Elle ne mange pas non plus de quenelles mais ça c’est pour embêter sa deuxième mère.

Le petit dernier
n’aime ni tomates cuites, ni fromage (et surtout pas en gratin), ni riz. Le
grand, il aime tout mais comme il a 14 ans il râle quoique l’on fasse. Et tout
le monde est d’accord sur une chose : « Ahh non Maman, pas encore une
de tes soupes, pourquoi tu nous fais pas une soupe en brique ». Grrr.

Le
seul qui n’est pas (trop) casse-pieds, c’est mon Bob, (c’est peut être pour ça
que je l’ai épousé, avec moi ça fait une moyenne) et il mange tout ce que je
lui fait. Bon d’accord le panais il n’a pas aimé, mais pour le reste il aime les
mêmes choses que moi.

 

Pour en revenir à la galette, j’ai voulu essayer d’en faire
une. Mais pourquoi donc faire une galette quand on en trouve des toutes faites,
très bonnes d’ailleurs, dans le commerce. Parce que, celle je j’ai faite, je
n’en ai jamais vu dans le commerce. J’ai trouvé cette idée l’an dernier sur un
blog de cuisine (impossible de me souvenir du quel !). Et cette année malgré tous les gâteaux et les galettes des rois que j’ai vu
(bon d’accord je n’ai pas regardé tous les blogs) je ne l’ai pas vu.
J’ai voulu essayer de faire une galette avec de la crème de calissons.


(C’est un truc à se rouler par terre, et on peut le manger à la petite cuillère. Miam)

J’ai fait ça le soir où Garance est venu dîner avec son
Chéri, parce que j’étais sûre que les enfants n’en voudrait pas et pour deux
cela faisait beaucoup trop et comme ça je vous fait part de mes test
culinaires. A défaut de mes enfants j’ai au moins quelques personnes qui
profitent au moins visuellement des mes trucs. Donc me voici revenu à mon point
de départ qui était que ce blog à thème me permet
de faire des tests et de vous en faire profiter. C’est pas beau tout ça.

 

Ingrédients :

 

  • Deux plaques de pâte feuilletée de chez Monsieur Picard
    (voir note sur les tartes fines)
  • Un pot de crème de calissons
  • Un jaune d’œuf
  • Un peu d’eau

Mettre le four à chauffer à 200°

Etaler une des pâtes sur un plan de travail fariné, découper
un rond (j’ai utilisé un saladier). Mettre ce rond sur du papier sulfurisé.

 

Mettre dessus jusqu ‘a deux cm du bord la crème de
calissons. Eventuellement mettre un sujet (une fève chez les nordistes*).
Mettre par-dessus le deuxième rond, Sceller les deux en appuyant sur les bords
ou en les roulant ensemble. Faire les dessins que l’on veut sur le dessus.
Mélanger le jaune d’œuf avec quelques gouttes d’eau, (juste pour le rendre un
peu plus liquide) et passer le jaune d’œuf avec un pinceau sur toute la galette.
Mettre au four environ 40mn, tout en surveillant de très prés pour que cela ne brûle
pas.

 

 

Le résultat était très satisfaisant, surtout vu le travail
fourni. Mais je l’ai trouvé quand même très sucré, je pense qu’il faudrait
mélanger la crème de calissons à quelque chose d’autre pour adoucir la teneur
en sucre. J’y réfléchi (vous pouvez vous aussi) et je vous tiens au courant l’année
prochaine.

 

 

* Bon un peu de culture régionale. Dans le nord de notre
beau pays on mange essentiellement des Galettes des rois à la Frangipane, même
si ces dernières années se sont multipliées les galettes à la compote de pommes
ou pommes framboise ou poires chocolat. Dans ces galettes on trouve un petit
objet décoré en porcelaine appelé la fève et qui permet de déclarer Roi ou
Reine celui qui s’est cassé la dent dessus.

 

Dans le Sud, mais alors très au Sud puisque à Cavaillon ils
n’avaient pas l’air d’être au courant), donc je disais à Aix et à Marseille, on
mange aussi la galette à la Frangipane, mais la tradition locale lui préfère le
Gâteau des Rois, qui est lui une brioche à la fleur d’oranger avec des fruits
confits dedans et surtout dessus. Et que trouve t-on dans ce gâteau ? Eh bien,
un sujet : petit objet décoré en porcelaine qui casse les quenottes et une fève, mais
une vraie fève, celle du légume.


 

Il existe plusieurs traditions qui co-habitent : une
dit que celui qui trouve le sujet paye le prochain gâteau et celui qui trouve
la fève amène la prochaine bouteille (mais c’est ma bande de copains bois-sans-soif
qui me l’a rapporté alors je ne garantis pas la véracité de cette version. D’autres
gardent la fève dans leur porte monnaie pour avoir la prospérité toute l’année
et certains se coiffent d’un couronne en papier quand ils se sont débarrassé d’un
chicot.

 

Bon si j’ai oublié des détails ou si, que le très grand m’en
préserve, j’ai fait un erreur, j’espère que les régionaux de mes visiteurs
pourront corriger.

 

photo fèves : http://www.legume-sec.com/Monde%20LS/3_Les_f%C3%A8ves.htm

Et c’est qui la reine des pommes ou la tartignole en chef si vous préferez, celle qui ne trouve rien de mieux  à faire
que d’attendre les soldes pour acheter de magnifiques bottes et finalement
achète la seule paire non soldé.

J’avais même reussi à trainer mon Bob, le premier Samedi des soldes en
ville (un exploit).  Aprés un café sur le cours Mirabeau, direction les magasins. Chez
San Marina, plusieurs paires de bottes me font de l’oeil, des noires avec un
talon pas trop haut. Mon Bob en déniche une paire tout au fond du magasin.
Magnifique. Et évidemment elles ne sont pas
soldés. Arghhhh c’était pas la peine d’attendre. Mais j’adore ces bottes.





Alors comme le sujet c’est les pommes, voici les tartes fines aux pommes que
j’ai fait pour ma Bobette qui me les réclame à cors et à cris.



Ingrédients :

  • Une pâte feuilletée (voir note plus bas)

  • une pomme

  • du sucre cassonade

  • de la cannelle

  • Un jaune d’œuf additionné d’un peu d’eau.


Mettre le four à chauffer à 200°.

Etaler la pâte, et avec l’aide d’un bol faire des cercles. Eplucher une
pomme et couper des fines lamelles dans les quartiers. Poser les lamelles sur
les ronds de pâtes en laissant un espace autour. Saupoudrer un peu de sucre et
de cannelle par-dessus. Mélanger le jaune d’œuf avec un peu d’eau et étaler sur
la pâte avec un pinceau. Mettre au four 10 mn en surveillant.


Pour la pâte feuilleté, les recettes sont légions sur les blogs. J’ai bien aimé les explications d’Anaik et surtout elle dit que si on a pas le temps, Monsieur Picard en fait une tout a fait délicieuse pour de l’industrielle. Dont acte.
En fait la pâte m’a en fait servi à faire une galette des rois et j’ai utilisé les chutes pour faire les tartes fines. voilà pourquoi il n’y a pas plus d’indications sur les quantités.


Quelque temps près avoir fait ma soupe aux panais, j’ai retrouvé un de ces légumes qui s’était caché sur mon plan de travail pour ne passer à la moulinette. Comme j’avais prévu un poulet rôti pour le déjeuner j’ai pensé le faire cuire avec quelques légumes.

 

J’ai d’abord fait griller le poulet sur toutes ses faces pendant 20mn. J’ai salé et poivré la bête, mis un peu d’eau au fond du plat et je l’ai fait cuire encore 20mn à 200°. Pendant ce temps là j’ai épluché et coupé en dés 3 carottes de taille moyenne, un quart de céleri, une dizaine de pommes de terre moyennes, un panais, un gros navet.


J’ai rajouté les légumes au plat et j’ai remis au four pour ¾ d’heure après avoir salé et poivrer les légumes. Pendant la cuisson j’ai surveillé le niveau d’eau et j’ai arrosé le poulet et mélangé les légumes.

 

Evidemment, mon Bob est resté sur sa première idée : si le panais avait été oublié c’est qu’il y avait une raison et il n’est pas nécessaire que je le sorte des oubliettes mais encore un fois moi j’ai aimé et ce mélange de légumes a quelque chose qui sort de l’ordinaire et accompagne très bien le poulet.

 

Grace à Léonie, j’ai appris que  la comédie musicale Mamma Mia va être tourné avec Meryl Steep.Si vous voulez en savoir plus c’est ici.
Bon encore faut-il que Abba vous intérresse. C’est pas gagné je sais.

 

En plus Léonie m’a envoyé cette version de la chanson de Philippe Katernine Louxor déjà entendu en aout sur ce même blog.


 


Gini, lors de son passage ici a été rebaptisé l’Attila du sécateur, mais il reste encore des roses aprés sa taille sauvage! Elles sont plus petites que pendant l’été et plus roses mais elles sont jolies comme tout.
Il va falloir finir de tailler ce rosier dans quelques jours et j’en ai profité pour utiliser mes trois petits vases. 

Une soupe au Panais, qui rentre dans la catégorie des légumes oubliés. Quoique on doit pouvoir dire légumes retrouvés maintenant.

Je dois vous avouer que ce ne fut pas considéré comme un grand succès par la moitié de la famille, Bob et p’tit Bob ont décrété que c’était un échec : Bob a déclaré que si ce légume avait été oublié ce n’était pas pour rien.  Alors que Mlle Bobette et moi-même étions contente du résultat obtenus. 

Comme pour toutes ces soupes, un passage au mixer plongeant de quelques minutes suffit. Evidemment le mien a choisi de me lâcher pile poil à ce moment là. Damned!

Ingrédients pour 4 personnes :

  • 750 gr de panais

  • 150 ml de crème liquide

  • sel et poivre

Éplucher les Panais, les couper en morceaux. Mettre les morceaux dans une casserole recouverts d’eau. Saler et faire cuire jusqu’à ce qu’un couteau transperce les légumes (environ 20mn).

Mixer les légumes et remettre à feu doux en rajoutant la crème et poivrer.

Un délice, un gout très doux entre la carotte et la châtaigne mais moins sucré que la carotte. Je vous le recommande!

 

Bon ce post va traiter d’un sujet qui me réjouit, mais à un
point que vous ne pouvez pas imaginer.

Peut être que Fred va apprécier ?


Prendre un vol pour Stockholm au départ de Marseille va être
possible à un prix abordable et ce, dés le mois de Mars. Yes, Youpi,
super-duper, géniale, great, enfin super quoi.

Et on dit merci qui ? Et
non, raté ce n’est pas Ryan Air (qui s’est installé à MP2 Marignane en Novembre
et qui fait des vols pour Oslo, pff, non mais franchement qui va aller à Oslo
(sorry Hilde)). C’est une boite Suédoise de Goteborg : FlyMe.

Bon cela
étant dit je ne les connais ni d’Eve ni d’Adam mais j’ai quand pris 5 billets.
Super tralalilalère. Et nous partons en Mai, bon je vous en dirai un peu plus
mais plus tard, mais au total nous partons à 17 personnes.

En attendant juste
pour leur faire un peu de pub, pour les même date avec Air France et une
escale à Paris c’est 1200€ (finalement ce n’est pas trop trop cher pour 5 en
vols régulier), par Nice avec Sterling Airlines (pff des Danois) c’est environ
1100€, avec Ryan Air c’est 376€ (mais il faut aller à Beauvais, ce qui est très
pratique quand on habite Rouen, nettement moins quand on habite Aix) et avec
FlyMe c’est 522€. Y’a pas photo.

Bon évidemment il y a un inconvénient majeur,
c’est que le vol arrive le matin à 00h15 et évidemment à cette heure là il n’y
ni bus, ni train et deux loueurs de voitures sur trois sont fermés. De quoi je
me plains, il reste un loueur ouvert : ouf. Sinon il fallait appeler la
famille à la rescousse !

 

Bon si je dis des idioties sur les Danois ou les Norvégiens
c’est de bonne guerre, ils font aussi les mêmes remarques sur les Suédois. Et
dans la catégorie, les vannes de niveau CM1 : vous savez quelle est la
seule chose de bien chez les Norvégiens et les Danois : leurs voisins
Suédois
. (Passez votre souris pour sélectionner le texte après le deux points
et vous verrez apparaître la réponse) HA HA, hilarant non ? (Sorry again Hilde !)

Si vous voulez en savoir plus sur les différences linguistiques entre le Suédois, Danois et le Norvégien, Fred a fait un post sur ce sujet aujourd’hui.

Photo Marseille : http://www.ags.uni-sb.de/~calculemus2002/meeting.html

Photo Stockholm : http://www.stockholm-hotell.info/bilder.php

bateau viking : http://www.colour-experience.org/colouriser/colour_vikings/colour_vikings1.htm

De retour des festivités de Noël, des copains de Normandie sont venus nous aider à passer le cap de la nouvelle année. Au programme, visite d’Aix avec un peu de shopping : forcément dés qu’il y deux filles ensemble, faut faire un peu de shopping, mais curieusement dés que l’on se retrouve avec Gini, à Paris ou à Aix, c’est chez Monop que nous trouvons notre bonheur.

Ensuite un petit tour à Cassis et ses calanques en bateau, la ville est très sympa avec ses cafés sur le port. Les calanques sont magnifiques et la mer est houleuse et froide. Brrr



Le port de Cassis et ses jolies maisons

Toujours le port vue du bateau avec un gros nuage qui pourrait faire craindre le pire mais il n’en a rien été.



Vue du fond de l’eau qui laisse à penser qu’une oursinade a eu lieu….


Rue de Cassis



Retour par Marseille et la route qui passe au-dessus (derrière?) les calanques dans un paysage presque lunaire. Traversée de Marseille avec la Cité Radieuse, le Stade Vélodrome (si nous les filles on aime le shopping, les garçons ça aime le foot! (c’est pas beau les clichés)), la plage du Prado, la Corniche, le Vieux Port, le nouveau port et ouf on a traversé Marseille de part en part.


Déjeuner du 31 au soleil en terrasse : ça les a scotché nos Normands (vous avez vu comme je fais bien la blasée) ; le rosé et les glaçons étaient de sortie. Les enfants ont eu droit à une glace sous le soleil…


Coté bouffe nous avons été sage, une successions de soupes et de salades les jours précédents nous ont permis d’attaquer l’année avec un foie gras mi-cuit maison (dont je vous raconterai quand même l’élaboration un de ces jours), des tellines, des bulots, des huîtres et quelques confiseries pour finir. Gini m’a montré sa fabuleuse recette de pommes au four aux Chamallows.

Bon, ensuite quand on connaît pas la région il faut quand même aller voir la Sainte Victoire ou du moins  essayer de s’en approcher  par le barrage de Bimont, parce que ce jour là le Mistral soufflait et nous avons abandonné l’idée de grimper tout en haut. Et là on a vu ce que c’est d’avoir froid, mais au moins nous étions tranquilles, il n’y avait pas foule.

Barrage de Bimont

La montagne Sainte Victoire

Ensuite nos copains sont retournés sous leurs froides contrées. De mon coté je suis occupé à planter mon micro, j’ai amené la marmaille au cinéma voir Eragon (j’adore quand John Malkovich joue les méchants, il le fait tellement bien), j’ai fait des essais culinaires (ratés d’après certaines mauvaises langues) et j’ai récupéré mon Bob Junior après son séjour en Normandie. Ouf la famille est au complet.



Une chanson que j’adore entendre à la radio en ce moment, un résumé rythmé et sympa d’une vie.