Ils ouvrent les yeux. Mais ils donnent l’impression de ne pas voir encore. Ils commencent à se déplacer avec les pattes tremblotantes. Ils sont magnifiques.

Le petit Vorace est toujours aussi mignon et d’ailleurs il a trouvé de nouveaux maitres. En voilà un de casé.

Après le taboulé avec de la semoule de Luolan, voici un taboulé Libanais au Boulghour. Moi j’aime les deux. Ils sont très différents. Mes enfants préfèrent celui de Luolan.

Après avoir regardé dans mes livres de cuisine et sur Marmiton, voici ce que j’ai fait :

  • 6 tomates

  • 2 oignons blancs

  • 1 botte de persil frisé

  • 1 botte de persil plat

  • 1 botte de menthe

  • 1 grosse poignée de boulghour

  • 1 citron

  • 4 cuillères à soupe d’huile d’olive

  • du sel

Mettre le boulghour dans un bol d’eau et le laisser gonfler une dixaine de minutes, puis l’essorer avec les mains et le mettre dans un saladier.

Trier les bouquets de persil et de menthe. Enlever les plus grosses tiges en gardant les feuilles. Pour laver et égoutter les feuilles j’utilise mon essoreuse à salade.

Mettre des feuilles dans un verre et les couper en petits morceaux avec des ciseaux, verser dans le saladier, recommencer jusqu’à ce qu’il n’y ai plus de feuilles.

Eplucher les tomates, et les couper en petits morceaux, pareil avec les oignons. Les mettre dans le saladier.

Presser le citron, verser dans le saladier, rajouter l’huile d’olive et le sel.

Comme le boulghour est encore un peu croquant, je le mets quelques heures au réfrigérateur avant de le manger.

Pour imprimer : Le_taboul__Libanais

 

Je continue de copier mes posts, c’est du boulot. Par contre puisque j’arrive à utiliser les catégories, toutes les recettes rentrées sur le blog sont accessibles dans la Liste des recettes dans la colonne de gauche.

Avez-vous vu du changement ? J’ai changé de blog.

 

Pour des raisons informatico-truc-mucho, j’ai changé l’adresse de mon blog. La nouvelle adresse est http://annikapanika.canalblog.com/ . Je n’ai changé qu’une lettre en créant un nouveau blog. En principe cela devrait être transparent pour tout le monde. En effet en mettant l’ancien nom vous devriez tomber directement sur le nouveau. Par contre, si vous avez par le plus grand des hasards, enregistré l’ancien nom, ce serait sympa de le changer par le nouveau.

 

Je suis en train de recopier tous les post de l’ancien avec les commentaires. J’ai presque fini. Mais au moins maintenant il est possible de naviguer dans ce blog avec l’aide des catégories situées à votre gauche.

 

Tout cela a été rendu possible grâce à l’aide de Zaza et ses réponses sur son blog , mais je n’aurais jamais rencontré Zaza sans Virgi1307 et son forum pour les utilisateurs de Canalblog.

MAJ : Ainsi que me l’a fait trés justement remarquer Chrome, je ne serais pas allé chez Zaza sans lui alors merci Chrome et une trés grosse bise (virtuelle bien entendu!!).

En espérant que celles qui voulaient se trémousser seront contentes.

C’est le morceau que toute la famille chante les adultes et enfants compris. Ils me prennent même un peu la tête pour tout dire, donc autant écouter l’original :

(Philippe Katerine Louxor, j’adore)

Saurez vous deviner de quoi il s’agit ?

Bon c’est facile, mais savez vous ce qu’il représente?

Un peu plus prés :

D’aprés certaines sources bien informées (du genre presse people) il semblerait que ce soit Zazie qui écrit le nouvel album de Christophe. En attendant et puisque Radioblog nous le permet voici la chanson des deux amants.

Je ne suis pas critique de livres, mais il faut que je vous parle de ce livre que l’on vient de m’offrir (et d’ailleurs merci beaucoup à On).

C’est le récit d’une journée de mariage découpée en tranches et racontée par 8 personnes différentes. Cela va d’une enfant d’honneur aux mariés, en passant par le prêtre et des invités.

A chaque chapitre, c’est l’occasion d’un retour en arrière sur les raisons de sa présence à la fête, et chaque histoire est un concentré de la vie de la personne avec le mariage comme point d’amarre. Les personnages ne sont pas tous aussi fouillés les uns que les autres et tous les récits ne sont pas égaux en qualité.

Certains portraits m’ont fait rire et d’autres pleurer. Il est amusant de voir les personnages racontés par eux-mêmes et vus par les autres, les défauts apparaissent et disparaissent, ce qui paraît essentiel à l’un ne l’est pas pour ceux qui l’entourent… J’ai été touchée en particulier par le récit de Pauline une petite fille qui est l’aînée de sa famille et qui se doit d’être « responsable ». Ce mot revient tout le long de son récit de manière obsessionnelle.

Bref, si vous voulez passer un bon moment, je vous recommande chaleureusement ce livre.

Blandine Le Callet  Une pièce montée   Editions Stock

C’est une recette qui vient du sud-ouest, le pays basque pour être plus précise. J’ai eu l’occasion d’y goûter il y a quelques années, et c’était fort bon. Mais comme cela ne prononce pas du tout comme cela s’écrit, j’ai eu du mal à retrouver la recette. De passage chez Véro, il y quelques jours, dans ses livres de cuisine il y avait « La cuisine Basque ». Du coup j’ai retrouvé le nom de la recette. J’ai cherché sur Marmiton. Et avec tous ces tuyaux voilà un savant mélange qui demande un peu de préparation mais qui permet d’avoir un plat complet : viande et légumes et qui a l’avantage de se préparer à l’avance et d’être encore meilleur réchauffé. Bref j’adore ce genre de plat.

Pour 4 personnes

  • 700 gr de veau (du genre blanquette)

  • 1 poivron vert

  • 1 poivron rouge

  • 1 oignon

  • 1 gousse d’ail

  • ½ l d’eau

  • 1 bouillon cube

  • huile d’olives

  • sel et poivre

  • 1 cuillère à café de piment d’espelette

  • Pommes de terre environ une dizaine (dépend de l’appétit des convives)

Éplucher l’oignon et l’ail, les faire revenir dans une sauteuse avec l’huile d’olive. Baisser le feu. Ouvrir les poivrons, enlever les filaments blancs et les graines, couper en petits morceaux et rajouter au mélange oignons-ail. Laisser revenir le temps de couper la viande en tout petit morceaux (dans certains recettes elle est même hachée). Ajouter la viande aux légumes. Faire revenir une dizaine de minutes. Ajouter l’eau avec le bouillon cube, le sel, le poivre et le piment. Peler les pommes de terre et les couper en cubes. Rajouter dans la sauteuse. Faire cuire environ ¾ d’heure. Surveiller le niveau d’eau dans la sauteuse de temps en temps et rajouter si nécessaire.

Pour imprimer : Axoa_au_piment

Voilà ce que je voulais vous montrer, le petit ventre rond de Vorace. Il me fait craquer.

Ils sont adorables, les rouquins sont un peu plus grands que les gris. Des deux gris, celui de gauche est un mâle et nous l’appelons Vorace. L’autre gris n’a pas de nom et c’est une fille. Les deux rouquins sont des garçons.

Une chose qui m’intrigue : Paprika avait deux prétendants, un noir et un roux. Or vous voyez le résultat. Il me semble que je peux en conclure que les quatres chatons n’ont pas les mêmes papas.

Le plus étonnant c’est qu’ils dorment souvent deux par deux. Mais quelques fois ils dorment en tas. Nous allons essayer de prendre encore des photos, surtout quand ils dorment sur le dos, ils sont affreusement mignons. Un petit ventre rose arrondi. Monsieur Bob rigole tout seul quand il les regarde (et qu’il croit qu’on l’entend pas).

Dans la catégorie balades, ou cuisine ou personnages à rencontrer. Hier j’ai fait tout ça en visitant le Château Virant. Pour celles et ceux qui ont lu le Elle de la semaine dernière (daté du 31 juillet 2006) vous aurez certainement vu une page consacrée à Christine Cheylan et à l’huile d’olive de Château Virant.

Château Virant Olivier

Remarquez, j’ai un doute, ce n’est peut-être que dans l’édition Provence. Qu’à cela ne tienne, je m’en vais vous raconter ce qui se passe au Château Virant et ce que fait Christine Cheylan.

A l’origine Château Virant produit un coteau d’Aix en rouge, rosé et blanc. Fort agréables par ailleurs. Il y a quelques années, Christine Cheylan, la fille des propriétaires a voulu diversifier les activités familiales et a crée son moulin à huile. En dix ans, la production a pris son essor, et les huiles des médailles. 

Son principe est de fabriquer son huile à partir de fruits frais tout de suite après la récolte (fruité vert) et non à partir de fruits fermentés (fruité noir) comme cela se faisait traditionnellement. Ces huiles sont vendues dans des épiceries fines en France, et chez Oliviers and Co. Elles sont exportées dans 18 pays.

Chateau Virant

Et comme cela ne suffit pas, Christine Cheylan continue de créer de nouveau produits à base d’olives : (des sucettes basilic – olive (les enfants ont adoré) et pâtes de fruits aux olives (les parents ont adoré)) en collaboration avec Denis Fetisson, chef à l’Hôtel Daniel.

Château Virant Fontaine

Le nom du château vient du rocher au dessus de la propriété, qui sert de spot pour tous les clubs d’escalade de la région. (Même Miss Bobette a grimpé sur ce rocher !).

(La propriété avec ses oliviers vue du rocher Virant)

L’accueil de Christine Cheylan a été formidable. Elle nous a fait visiter sa propriété, et donné pleins d’explications sur la fabrication des huiles d’olives. Je vous passe les détails, allez voir vous-même.

Montagne Sainte Victoire vu du rocher Virant

Vue de la sainte Victoire, toujours du rocher.

Un site a été crée pour présenter le Château Virant avec une boutique en ligne pour trouver les vins et les huiles d’olive de la propriété. Vous saurez tout sur les vins et les possibilités de visites.

Dans l’article de Elle, Christine Cheylan parle d’une recette qu’elle fait à partir d’un fromage local le Banon.

Prendre un Banon (fromage de chèvre frais), le mélanger avec une vinaigrette préparée avec deux cuillères à soupe d’huile d’olive, une cuillère à café de vinaigre de vin rouge, une pincée de sel et de poivre et une gousse d’ail (pressé).

Banon à l'ail

Christine Cheylan recommande de le tartiner sur du pain grillé. Nous, le pain n’a pas vu l’ombre d’un grille-pain mais c’était fort bon.

Paprika nous a fait quatre magnifiques petits cette nuits. Deux rouquins et deux gris (un rayé).

Ils sont adorables. Je vous mets une photo, mais sans flash et pas trop prés pour ne pas les embêter. Donc évidemment on ne voit pas grand-chose.

 

Un des gris a l’air assez entreprenant et passe son temps à grimper sur les autres à priori nous le baptiserons Vorace. Un des rouquins (Curry ???) file déjà des beignes à Vorace. L’autre rouquin lui a tout compris : il est couché sous les autres et mange tout le temps, ils lui marchent dessus mais il est tranquille.

Avez-vous des idées pour les noms, petit Bob a proposé Tandoori, Curry, Sel et Poivre. Bobette a proposé Pâte d’amandes et Vorace (ils sont obsédés par la bouffe mes petits).

 

Si dans deux mois vous êtes dans la région d’Aix et que vous voulez un chaton, vous êtes les bienvenus.

Si si il y a un rapport, hier une partie de mon jardin ressemblait à ça :

Aujourd’hui elle ressemble à ça :

Net progrès. C’est grâce aux rouleaux de pelouse, en deux temps, trois mouvements (avec quelques petits efforts du Bob) nous avons une magnifique pelouse. 

Alors il arrive le couteau à pain !! C’est un long contentieux entre Bob et moi. Lui prétend que le couteau à pain ne sert à rien : où bien on achète du pain tranché par le boulanger ou alors on rompt la baguette. Donc pas besoin du couteau à pain. CQFD. Il est d’une logique implacable mon chéri. N’étant pas tout à fait d’accord mais pour la paix dans le ménage, j’ai acquiescé pendant de longues années.

(Vous me direz que tant que nos problèmes de couples se résument à des histoires de couteaux à pain, nous ne devrions pas trop nous plaindre et vous auriez raison.)

Cela étant dit un jour en visite dans mon magasin Suédois préféré, je suis tombé sur un magnifique couteau à pain qui me faisait de l’oeil et je l’ai acheté. Depuis le Bob se fiche de moi et refuse de s’en servir. Personnellement je trouve son utilisation très pratique.

Hier, tout à coup il avait besoin de MON couteau. Cet outil lui était essentiel pour couper les rouleaux de pelouse. Il lui fallait un couteau avec des dents, j’ai bien essayé de résister mais il lui fallait le couteau à pain. J’ai cédé dans un élan de bonté.


Mais je ne suis pas sur de vouloir utiliser mon couteau dans la cuisine maintenant :

Et vous vous utilisez quoi pour couper votre pelouse ?

Toujours dans un souci de conservation de mes tomates, j’ai essayé les tomates séchées. L’avantage du sud de la France en période de canicule c’est que le four n’est pas nécessaire.

J’ai coupé en quartiers autant de tomates que je pouvais mettre sur mon assiette. Je les ai saupoudré de sel et de thym.

 

Par contre il faut quelque chose pour protéger les tomates des mouches. J’utilise des paniers recouvert d’une mousselline.

 

Ensuite il faut les laisser à peu prés trois jours en plein cagnard. Au bout d’une semaine j’ai retrouvé ça :

 

Voilà cela réchauffera les plats d’hiver, ou je m’en servirai pour faire du pesto rosso. Je les conserverai dans un bocal en attendant.

Le retour de la tomate masquée !!!

Recette trouvée sur le oueb international ici

Encore une fois j’ai réduit les quantités pour voir si cela aurait du succès :

  • 800 gr de courgettes

  • 500 gr de tomates

  • 150 gr d’oignons

  • 2 gousses d’ail

  • environ 1 cm de gingembre (après épluchage, j’avais 20gr)

  • 500 gr de cassonnade

  • 1 cuillère à café de poivre noir en grains

  • 1 cuillère à soupe de sel

  • 1 cuillère à café de 4 épices

  • 1 pincée de piment (j’utilise encore un piment indéfinissable qui est assez fort)

  • 300ml de vinaigre de cidre

Laver et couper les courgettes en fines rondelles, peler les tomates puis les hacher grossièrement. Peler et émincer le gingembre et l’oignon, presser l’ail.

Mettre tous les ingrédients dans une marmite. Ajouter le sucre, les épices et le vinaigre. Faire cuire au moins une heure trente. Le mélange doit s’épaissir. Remplir des pots stérilisés et les retourner.

A consommer comme tout chutney qui se respecte avec des viandes froides.

 

Je vais peut être arrêter de prendre tout mes pots de confiture en photos, on ne voit pas la différence entre les chutneys et les confitures!!!!