Toujours dans la même veine réconfortante que le tapioca et le riz au lait, voici mon dernier dans la série : le dessert à la semoule. C’est un peu ma Madeleine à moi, en Angleterre, à la cantine c’était mon dessert préféré : semolina pudding. Au fil des ans je le fais différemment, là j’ai fait un essai avec de la semoule fine, une variante sans œufs et sans caramel mais avec du Golden syrup. Slurp

 

Pour des raisons que je ne comprends pas, je suis la seule à manger ces super desserts dont je vous parle depuis deux semaines, donc j’ai en fait divisé toutes les quantités ci-dessous par deux, parce que c’est bien le réconfort mais faut pas abuser non plus sinon ce sont les kilos qui vont s’installer à la place.

 
Ingrédients

  • 1/2 l de lait
  • 1/2 gousse de vanille
  • 1/2 dl de sucre
  • 75 gr de semoule fine
  • 3 cuillères à café de Golden syrup

 

Faire bouillir le lait avec le sucre et la gousse de vanille fendue et gratté. Verser la semoule. Si vous prenez de la semoule fine comme moi, faite attention cela cuit super vite.


Prendre des ramequins et mettre une cuillère à café de Golden Syrup dedans et verser quelques cuillères de semoule cuite par-dessus. Laisser refroidir.

 
C’est un délice. Le Golden Syrup a un goût, miam. Cela étant dit, je vais peut être essayer avec du sirop d’érable…..

 

 

(vous voyez le Golden syrup qui remonte sur les bords!)

Et vous,  vous mangez quoi pour vous réconforter ?

Ce mercredi Ptit’Bob a voulu faire des gâteaux pour son frère et sa sœur. En début d’aprés midi Ptit’Bob était presque mourant  : « j’ai mal à la tête, j’ai chaud (38°), je tousse ». Dés que j’ai accepté qu’il n’aille pas à son activité j’ai assisté  à sa re-naissance : « et si on faisait des gâteaux ».

Nous avons décidé de faire un Gâteau Banane Chocolat déjà décrit dans ce blog, mais cette fois-ci cuit individuellement dans des petits moules en papiers. Nous avons frisé la catastrophe lorsque la pâte en gonflant a voulu s’enfuir des moules. Nous avons paré à cette fuite en doublant les enveloppes. Le temps de cuisson pour ces gâteaux est de 30mn.

Ensuite nous nous sommes lancés dans des Congolais. J’avais toujours entendu dire que c’était les gâteaux les plus faciles à faire faire aux enfants et en effet je confirme.

J’ai pris la recette sur Marmiton et vous pouvez aller voir l’original ici. Cela étant dit je n’ai rien modifié et je vous donne la recette tel quel.

Ingrédients :

  • 1 blanc d’oeuf (à température ambiante. S’il sort du frigo, laisser reposer au moins 1 heure
  • 60 g de sucre en poudre
  • 60 g de poudre de noix de coco
  • 1/2 cuillères à café de beurre

 

Faire chauffer le beurre, quand il est fondu et chaud, ajouter le blanc d’oeuf et remuer vivement toujours en remuant ajouter le sucre, le mélange doit être bien mousseux mais pas en neige.

Ajouter alors la noix de coco, bien amalgamer le tout.

Faire des petits tas sur une plaque beurrée et farinée (avec vos doigts formez des petits cônes).

Cuire à four chaud (175°C) pendant 20 minutes (les congolais doivent être légèrement dorés).

Pour les décoller, passer une lame d’un couteau sous les congolais (vous pouvez également intercaler une feuille de papier sulfurisé: vous pourrez alors les décoller plus facilement).

 

 

Les « muffins » aurait mérité d’être un peu plus doré mais commes ils étaient cuits, nous avons arrété là! Les congolais étaient trés bon, je pense que l’on peut doubler, voir tripler, les quantités sans souci.

PS je me moque de mon Loulou, mais en fait il a quand même un bronchite!


Congolais

Dans la même veine que le dessert aux perles du japon également appélé Tapioca, il y a le riz au lait. C’est un de mes déssert « réconfortant ». J’ai suivi une recette trouvée dans le Saveurs de ce mois ci. C’est un grand classique mais pourquoi pas partager la recette quand même. Fred de Frais nous l’a bien montré avec son crumble.  De toute façon j’aime bien les trucs simples et classiques.


Ingrédients :

  • 1 l de lait
  • 120gr de riz rond
  • 1 gousse de vanille
  • 100 gr de sucre


Faire bouillir le lait avec la gousse de vanille (préalablement fendue et grattée) et le sucre.

Baisser le feu. Verser le riz dedans et remuer pendant au moins 10 mn pour que le riz n’accroche pas. Laisser cuire doucement encore 50mn. Répartissez le riz dans des bols ou des ramequins.


Vous pouvez le manger tiède ou froid, avec des fruits (du genre myrtilles) ou pas. Personnellement j’ai adoré, la seule critique que je ferais à cette recette c’est à propos de la quantité de sucre ; mangé tiède il parait très sucré mais froid c’est très bon.

Et pour Véro un petit Bryan Ferry :

Déjà que je n’ai aucune idée pour baptiser cette tarte mais en plus je ne peux pas vraiment dire que ce soit vraiment une Toscapaj de vrai de vrai puisque j’ai rajouté des fruits. Donc c’est un mélange d’un recette trouvé dans un livre Suédois : Annas mat de Anna Bergenstöm, d’une recette trouvé sur Internet en Swedish dans le texte et pour la pâte à tarte j’ai
repris celle que j’utilise tout le temps et qui est donné ici.


Ingrédients :

Pour la pâte :

  • 75ml d’eau
  • 125 gr de beurre
  • 250gr de farine
  • une pincée de sel

Pour le mélange :

  • 100gr de noisettes entières
  • 100gr d’amandes entières 
  • 1dl de myrtilles (ici surgelés de Monsieur Picard, ramassé à la main en Suède !!)
  • 1dl de framboises
  • 1 dl de sucre en poudre
  • 1 cuillère à soupe de sirap clair (introuvable en France) ou du golden syrup
  • 50 gr de beurre
  • 1 cuillère à soupe de farine
  • 1 cuillère à soupe de lait

Pâte à tarte :

Faire bouillir l’eau avec le sel, mettre le beurre en morceau et laisser fondre avec une légère ébullition. Jeter en seule fois la farine, mettre hors du feu et bien mélanger pour faire une boule.

 

 

Etaler la pâte à la main dans un moule à tarte de 28 cm env. Etaler la pâte lorsqu’elle est encore chaude. Mettre au four 10 mn à 200° à blanchir.

Laisser la pâte à tarte refroidir quelques minutes, et mettre les fruits sur la pâte.

Dans une poêle, faites griller les amandes et les noisettes pour pouvoir enlever l’enveloppe.

 

Dans une casserole, mettre le syrup, le sucre, le beurre, la farine et le lait. Faire chauffer doucement tout en remuant pour que cela fonde sans bouillir. Enlever la casserole du feu et rajouter les amandes et les noisettes.

Verser ce mélange sur la pâte et remettre au four pendant 15mn. (je me suis posé la question de doubler la quantité de mélange à mettre car la tarte avait l’air vide mais j’ai résisté)

 

Cette tarte sera encore meilleure si on attend un jour pour la manger d’après l’auteur. C’est ce que nous avons fait et c’était très bien avec de la glace à la vanille.


Alors j’invite des copains à dîner et une de mes invités s’exclame : « Oh super tu nous feras un truc Suédois ».  Moi qui voulais faire une daube! Surtout que j’ai pleins d’idées de gateaux ou de trucs sucrés suédois  mais pas beaucoup pour un diner.

Le rôti de renne ou d’élan est exclu pour des raisons bassement logistiques. Le brochet au four ne me parait pas non plus une bonne idée pour la même raison, la dernière fois que j’en ai pêché un c’était en 1987 et je sais même pas si on peut en acheter ici.

Les boulettes de viande avec de la purée de pommes de terre et de la confiture d’airelles étant plutôt réservés aux menus des cantines scolaires ou de certains magasins de meuble, je les exclus également.

Les écrevisses, ce n’est plus la saison. Quelque chose me fait dire que la soupe aux pois cassés suivi de crêpes, ce n’est pas une bonne idée. Le löjrom, en entrée, avec des tonnes de crème fraîche et des oignons hachés finement, ahh j’en rêve la nuit. Mais là j’ai deux soucis, je n’ai toujours pas compris à quel poisson ces œufs là appartenait et cela implique donc un souci d’approvisionnement.

Bon, ce sera un petit saumon mariné à l’aneth (tant pis ce sera un plat principal et pas une entrée) avec des pommes de terre (très Swedish) et de la sauce à la moutarde sucré (très trés trés Swedish) et je vais abreuver mes invités de vodka et de aquavit glacé. Ca c’est Suèdois.

J’ai pris les indications de Anna Bergenstöm dans son livre Annas mat.

 

Ingrédients : (Les quantités ci-dessous sont données pour 1 kg de poisson. Pour 6 personnes j’ai compté 1,7 kg sans l’arrête et il est resté.)

  • Deux filets de saumon de préférence coupés dans le milieu du poisson, avec la peau. 
  • 4 cuillères à soupe de sucre
  • 4 cuillères à soupe de sel
  • 2 cuillères à café de poivre blanc moulu ou concassé.
  • Deux bouquets d’aneth frais

Demander à votre poissonnier de couper deux filets dans le saumon, d’enlever l’arrête centrale mais surtout de laisser la peau. De votre coté il ne vous restera plus qu’à enlever les arrêtes restante avec votre pince à épiler préféré (celle qui sert aux pwals (copyright Laflote) aux pattes).

Mélanger le sucre avec le sel et le poivre. Poser les filets coté peau, mettre ce mélange sur les deux filets.


Mettre l’aneth sur un des filets.


Et poser le deuxième filet sur le premier tête bêche (si je peux m’exprimer ainsi), c’est dire le coté fin d’un filet contre le coté épais de l’autre.


Mettre les deux filets avec l’aneth dans un sac plastique. Fermer le sac. Et le mettre au frigo pendant au moins 24h. Anna recommande 48h, donc je fais comme elle dit. Tourner le paquet de temps en temps.


 

Donc au bout de 48h, sortir les filets racler le mélange restant, jeter le jus formé et maintenant vos filets peuvent se garder encore 3 à 4 jours au frigo.


Ce qui ne parait pas du tout évident sur ma photo, c’est la couleur, elle est plus foncée qu’au départ. J’ai pris cette photo au péril de mon dîner : deux chats alléchés par l’odeur ne me laissait pas faire tranquille.

Donc maintenant mon Saumon est prêt et je le remets au frais jusqu’au dîner.

Le saumon peut se servir de manière différentes, en entrée avec de la sauce à Gravad lax (moutarde suédoise « monté en mayonnaise » avec une huile neutre), en toasts sur du knäckebröd (ou pain Wasa) ou alors en plat principal avec des pommes de terre (cuites à l’eau avec de l’aneth). Voilà pour La spécialité Suédoise.


(Et dire que j’ai du mal à avaler des sushis.)


Après avoir mangé toutes mes pâtes de coings (je m’étais basé sur une recette de Anne de Papilles et Pupilles), je me suis retrouvé en manque. J’ai voulu faire des pâtes de fruits mais avec des pommes qui n’attendaient que ça. La blogosphère fourmille de recettes, mais j’ai trouvé mon bonheur chez Marmiton et plus précisément ici.

La recette avait tout pour me plaire, d’abord c’était bien des pâtes de fruits aux pommes et ensuite il y avait mon mélange d’épices préféré (gingembre, cannelle, cardamome, clous de girofle) avec en plus du poivre. J’ai n’ai pas tenu compte du curcuma.

Mais comme souvent les résultats ne sont pas à la hauteur de
mes souhaits, gustativement c’est parfait mais alors du coté esthétique c’est
pas ça du tout et je ne comprends pas pourquoi. Si vous avez des idées vous êtes les bienvenus.Donc avec ma recette adapté vous aurez un truc très bon, pleins de goûts qui se bousculent mais pas présentable pour deux sous et avec la recette de Alexandra sur Marmiton je pense que vous aurez à peu prés la même chose pour le goût et certainement autre chose pour la vue. Grrrr

Ingrédients :


  • Des pommes (650gr après cuisson et égouttage)
  • Du sucre en poudre (300gr)
  • Cardamome en poudre
  • Gingembre
  • Cannelle
  • Clous de girofle
  • Poivre noir

Eplucher et couper les pommes en morceaux. Les mettre dans une casserole, en les recouvrant d’eau. Mettre une cuillère à café de cannelle, de gingembre, de cardamome, et une pincée de clous de girofle en poudre (ou 1 clous) et deux tours de moulin à poivre.

Quand les fruits sont bien mous (environ 20mn) les laisser s’égoutter pendant 10mn. Vous pouvez garder le jus mais moi je ne savais pas quoi en faire.

Peser les fruits cuits. Moi j’en avais 650gr. Remettre les fruits dans la casserole, les écraser avec le presse purée ou au mixer.

Pour 500gr de fruits rajouter1 cuillère à café de cannelle, de cardamome, une pincée de gingembre et deux tours de moulin à poivre. D’après l’auteur, on peut rajouter entre 50% à 100% du poids des fruits en sucre. Je n’ai mis que 300gr donc 50% à peu prés.

Faire chauffer à feu vif tout en remuant sans cesse, cela prend un certain temps, jusqu’à 20mn avant que le mélange se détache des bords.
J’ai étalé sur une plaque en téflon et mis au four pendant 2 heures à 100° en laissant la porte du four ouverte pendant de longs moments.


Couper (ou du moins essayer de couper) des carrés et les rouler dans le sucre.

Si vous arrivez à voir un carré dans cette photo c’est que
vous avez beaucoup d’imagination :


Le titre n’est pas de moi, j’aurais bien aimé. Le Monde fait une rubrique Blogs gourmands de manière hebdomadaire. J’ai bien aimé le titre de cette semaine : tapio-quoi.
Pour avoir gouté ces perles du Japon dans un restaurant du 13ème à Paris : Sing-Sing (je sais, cela ne s’écrit pas du tout comme ça, ils sont rue Dunois), j’avais acheté à paquet à mon épicerie locale en pensant chercher une recette un jour ou l’autre.
 

Alors j’ai utilisé la recette de Hélène-m sur son blog La Cuisine d’EclatDuSoleil et c’était parfait, cremeux, pas trop sucré mais avec un gout de banane.

 

Pour moi ce dessert rentre dans la catégorie nouriture de réconfort avec le riz au lait et les flans à la semoule. Pour Stéphanie Plum ce sont les doughnuts. Chacun son truc.

 

Ingrédients :

 

  • 150g de tapioca

  • 200ml de lait de coco

  • 2 ou 3 bananes pas trop mûres

  • 100g de sucre en poudre (je mets du sucre de canne roux)

  • 1 sachet de sucre vanillé
  • 1/2 litre d’eau

 

Faire bouillir
l’eau et verser le tapioca dedans. Laisser cuire 10 mn en remuant tout le
temps,  pour que le tapioca n’accroche pas. Eteindre et laisser gonfler.

Couper les bananes en morceaux et verser le sucre par dessus.


Lorsque les graines de tapioca sont transparentes et gonflés ajouter le lait de
coco et le sachet de sucre vanillé. Bien mélanger et remettre sur le feu très
doucement pendant 10mn.  Ajouter le mélange banane-sucre, laisser cuire à
couvert pendant 5mn.


Ce dessert se sert tiède ou chaud saupoudré de noix de coco en poudre d’après
l’auteur. J’ai choisi de le servir tiède et sans noix de coco.

Alors
pour 5 personnes les quantités sont parfaites si tout le monde en mange (Merci
Mr Lapalice). Par contre dans le cas de ma petite famille, nous nous sommes
retrouvés à en manger à deux pendant quelques jours. Grrr. Et je n’ai pas pris
de photo, je trouvais que cela faisais pas très photogénique le gloubiboulga.
Alors comme l’inconvénient majeur de ce dessert (d’après ma marmaille) était le
lait de coco, j’ai testé sans et en plus petite quantité.

Ingrédients pour deux :

  • 50g de tapioca
  • 70ml de lait
  • 1 banane pas trop mûre
  • 30g de sucre en poudre (je mets du sucre de canne roux)

  • 1/3 sachets de sucre vanillé
  • 170ml d’eau

Mêmes indications que ci-dessus. J’ai essayé de photographier et voilà le résultat :

 

Toujours aussi gloubiboulgesque, mais qu’est
que c’est bon. Toujours aussi réconfortant. Mais il est vrai que le lait de
coco le rend plus crémeux et pour deux les quantités sont un peu justes.


tapioca


Quand la mère de Stéphanie veut quelque chose de sa fille (du genre venir aux répétitions du mariage de son autre fille) elle brandit comme menace de ne plus jamais lui faire son gâteau préféré : le pineapple upside down cake.

 

J’ai trouvé cette recette sur le net, un lien qui ne fonctionne plus….

Ingrédients :

  • 50 gr de beurre
  • 100gr de sucre brun (j’ai utilisé de la vergeoise blonde)
  • 100gr de farine
  • 100 gr de sucre
  • 1 cuillère à soupe de levure chimique (env 15gr)
  • une pincée de sel
  • 50 gr de beurre ramolli
  • 1 dl de lait
  • 1 œuf
  • une boite d’ananas en tranches
  • des cerises maraschino (=confites je crois, mais j’ai utilisé
    une cerise à l’eau de vie)

 

Mettre le four à chauffer à 200°

Egoutter les tranches d’ananas en gardant le jus.

Mettre le beurre dans le moule à gâteau et à fondre dans le four qui chauffe. Quand il est fondu, saupoudrer avec le sucre brun. Disposer les tranches d’ananas au fiond du moule et des demi-tranches sur les bords. En principe il faudrait remplir chque trou d’ananas avec une cerise. Je n’en ai mis qu’une seule parce que j’ai utilisé des cerises à l’eau de vie non dénoyautées.

 

 

Dans un bol mélanger la farine avec le sucre, la levure, le sel, le beurre ramolli, le lait, l’œuf et deux cuillères à soupe de jus d’ananas.

Verser ce mélange dans le moule.

 

 

Mettre au four pour 30 à 35mn.

Sortir du four et laisser refroidir quelques minutes avant de démouler le gâteau. Servir tiède avec de la crème fouetté ou de la glace à la vanille ou nature.

 

Alors voilà à quoi cela ressemble et c’est vraiment très bon, l’ananas est juste un peu caramélisé.

 

 

Après avoir écrit que Stéphanie Plum mangeait des trucs qui me paraissaient improbables je me suis dit que j’allais essayer de faire quelques uns des plats dont elle se régale chez sa mère. J’ai pensé au Pineapple upside down cake (qui est dans le four en ce moment, donc la recette suivra) et au meatloaf. Alors pour tout vous avouer ce n’est pas la première fois que j’essaie de faire un meatloaf (ou pain de viande), l’idée m’a toujours paru pratique d’avoir ce pain de viande à manger chaud ou froid avec ou sans sauce.

Mais mon premier essai fût assez catastrophique : sec et pas assez assaisonné. Par contre là je crois que suis sur la bonne voie, il faudra peut être ajuster le tir mais c’est pas mal. Comme d’hab les enfants ont trouvé cela bof, mais je ne désespère pas, avec un peu d’habitude ils vont finir par aimer ça.

 

Alors la recette qui m’a inspiré est sur le net mais un lien qui n »existe plus. J’ai changé pas mal de choses et surtout j’ai divisé la recette par deux (à peu prés) et cela remplit déjà un moule à cake. Donc cela suffit.

 

Ingrédients pour un moule à cake :

  • 600gr de viande haché
  • 1 poivron rouge émincé grossièrement
  • ½ boite de tomates pelées (que j’ai remplacé par 200 gr de coulis maison)
  • 1 petit oignon émincé
  • 3  tranches de bacon
  • 75 gr de chapelure
  • 30gr de parmesan râpé
  • 1  gousse d’ail pressé
  • ½ cuillères à café de basilic
  • 2 cuillères à soupe de persil
  • 1 cuillère à café de fond de veau
  • 2 œufs
  • 1 cuillère à café de poivre noir moulu
  • 3 petites tomates (cerises !) coupés en morceaux
  • 1 cuillère à soupe de sauce soja
  • 1 cuillère à soupe d’huile d’olive
  • du ketchup selon envie
  • Poudre d’oignon ou d’échalote

 

Préchauffer le four à 200°

 

Dans un grand bol mélanger la viande, les légumes coupés, les œufs, les herbes, la chapelure, le coulis de tomates,l’huile d’olive (si le mélange parait trop sec) et le soja. Garder le bacon et le ketchup pour la fin.

 

Mettre la viande dans un moule à gâteaux (beurré ou huilé si c’est nécessaire). Mettre du ketchup par-dessus en couche fine, mettre les tranches de bacon par-dessus, saler, poivrer et éventuellement mettre de la poudre d’oignons ou d’échalotes. Mettre au four pendant 1h30. De temps en temps rajouter du ketchup si vous pensez que la viande sèche trop.

 

D’après la recette originale le ketchup peut être remplacé par une autre sauce de type barbecue si vous préférez.

 

Alors le résultat est moelleux à souhait, je pense que l’apport de légumes frais en morceaux était juste ce qu’il fallait. A servir avec de la purée de pommes de terre et des légumes verts sans oublier le gravy si on veut faire comme la Maman de Stéphanie. Les enfants l’ont mangé avec du riz blanc et nous avec une salade verte.

Et puis franchement n’étant pas douée pour la photo, aucune de mes photos est appétissante. Donc pas de photo. Désolée.

 

Bon, c’est pas pour dire, mais écrire un blog avec la
cuisine comme excuse principale, pardon je voulais dire comme thème principal, me
fait faire des trucs dont je n’aurais pas rêvé il y a quelques temps.

 

Sur les cinq personnes qui composent cette famille, je ne
compte pas mes chats  qui n’ont pas le droit à la parole
quand il s’agit de bouffe, même si sur d’autres sujets on leur demande leur
avis : « tu n’as pas trop chaud ma Paprika sous ma couette et toi
Miss Tache je ne te dérange pas trop quand je bouge la nuit ? ».

 

Je reviens au sujet qui me préoccupe et qui fait rarement l’unanimité
dans cette famille : ma cuisine. Entre celle qui ne mange pas de tomates ni de fromage, sauf
la raclette, ne me demandez pas pourquoi, mais je pense que c’est pour faire caguer
(vous avez vu comment je me suis mise au Provençal) sa mère. Elle ne mange pas non plus de quenelles mais ça c’est pour embêter sa deuxième mère.

Le petit dernier
n’aime ni tomates cuites, ni fromage (et surtout pas en gratin), ni riz. Le
grand, il aime tout mais comme il a 14 ans il râle quoique l’on fasse. Et tout
le monde est d’accord sur une chose : « Ahh non Maman, pas encore une
de tes soupes, pourquoi tu nous fais pas une soupe en brique ». Grrr.

Le
seul qui n’est pas (trop) casse-pieds, c’est mon Bob, (c’est peut être pour ça
que je l’ai épousé, avec moi ça fait une moyenne) et il mange tout ce que je
lui fait. Bon d’accord le panais il n’a pas aimé, mais pour le reste il aime les
mêmes choses que moi.

 

Pour en revenir à la galette, j’ai voulu essayer d’en faire
une. Mais pourquoi donc faire une galette quand on en trouve des toutes faites,
très bonnes d’ailleurs, dans le commerce. Parce que, celle je j’ai faite, je
n’en ai jamais vu dans le commerce. J’ai trouvé cette idée l’an dernier sur un
blog de cuisine (impossible de me souvenir du quel !). Et cette année malgré tous les gâteaux et les galettes des rois que j’ai vu
(bon d’accord je n’ai pas regardé tous les blogs) je ne l’ai pas vu.
J’ai voulu essayer de faire une galette avec de la crème de calissons.


(C’est un truc à se rouler par terre, et on peut le manger à la petite cuillère. Miam)

J’ai fait ça le soir où Garance est venu dîner avec son
Chéri, parce que j’étais sûre que les enfants n’en voudrait pas et pour deux
cela faisait beaucoup trop et comme ça je vous fait part de mes test
culinaires. A défaut de mes enfants j’ai au moins quelques personnes qui
profitent au moins visuellement des mes trucs. Donc me voici revenu à mon point
de départ qui était que ce blog à thème me permet
de faire des tests et de vous en faire profiter. C’est pas beau tout ça.

 

Ingrédients :

 

  • Deux plaques de pâte feuilletée de chez Monsieur Picard
    (voir note sur les tartes fines)
  • Un pot de crème de calissons
  • Un jaune d’œuf
  • Un peu d’eau

Mettre le four à chauffer à 200°

Etaler une des pâtes sur un plan de travail fariné, découper
un rond (j’ai utilisé un saladier). Mettre ce rond sur du papier sulfurisé.

 

Mettre dessus jusqu ‘a deux cm du bord la crème de
calissons. Eventuellement mettre un sujet (une fève chez les nordistes*).
Mettre par-dessus le deuxième rond, Sceller les deux en appuyant sur les bords
ou en les roulant ensemble. Faire les dessins que l’on veut sur le dessus.
Mélanger le jaune d’œuf avec quelques gouttes d’eau, (juste pour le rendre un
peu plus liquide) et passer le jaune d’œuf avec un pinceau sur toute la galette.
Mettre au four environ 40mn, tout en surveillant de très prés pour que cela ne brûle
pas.

 

 

Le résultat était très satisfaisant, surtout vu le travail
fourni. Mais je l’ai trouvé quand même très sucré, je pense qu’il faudrait
mélanger la crème de calissons à quelque chose d’autre pour adoucir la teneur
en sucre. J’y réfléchi (vous pouvez vous aussi) et je vous tiens au courant l’année
prochaine.

 

 

* Bon un peu de culture régionale. Dans le nord de notre
beau pays on mange essentiellement des Galettes des rois à la Frangipane, même
si ces dernières années se sont multipliées les galettes à la compote de pommes
ou pommes framboise ou poires chocolat. Dans ces galettes on trouve un petit
objet décoré en porcelaine appelé la fève et qui permet de déclarer Roi ou
Reine celui qui s’est cassé la dent dessus.

 

Dans le Sud, mais alors très au Sud puisque à Cavaillon ils
n’avaient pas l’air d’être au courant), donc je disais à Aix et à Marseille, on
mange aussi la galette à la Frangipane, mais la tradition locale lui préfère le
Gâteau des Rois, qui est lui une brioche à la fleur d’oranger avec des fruits
confits dedans et surtout dessus. Et que trouve t-on dans ce gâteau ? Eh bien,
un sujet : petit objet décoré en porcelaine qui casse les quenottes et une fève, mais
une vraie fève, celle du légume.


 

Il existe plusieurs traditions qui co-habitent : une
dit que celui qui trouve le sujet paye le prochain gâteau et celui qui trouve
la fève amène la prochaine bouteille (mais c’est ma bande de copains bois-sans-soif
qui me l’a rapporté alors je ne garantis pas la véracité de cette version. D’autres
gardent la fève dans leur porte monnaie pour avoir la prospérité toute l’année
et certains se coiffent d’un couronne en papier quand ils se sont débarrassé d’un
chicot.

 

Bon si j’ai oublié des détails ou si, que le très grand m’en
préserve, j’ai fait un erreur, j’espère que les régionaux de mes visiteurs
pourront corriger.

 

photo fèves : http://www.legume-sec.com/Monde%20LS/3_Les_f%C3%A8ves.htm

Et c’est qui la reine des pommes ou la tartignole en chef si vous préferez, celle qui ne trouve rien de mieux  à faire
que d’attendre les soldes pour acheter de magnifiques bottes et finalement
achète la seule paire non soldé.

J’avais même reussi à trainer mon Bob, le premier Samedi des soldes en
ville (un exploit).  Aprés un café sur le cours Mirabeau, direction les magasins. Chez
San Marina, plusieurs paires de bottes me font de l’oeil, des noires avec un
talon pas trop haut. Mon Bob en déniche une paire tout au fond du magasin.
Magnifique. Et évidemment elles ne sont pas
soldés. Arghhhh c’était pas la peine d’attendre. Mais j’adore ces bottes.





Alors comme le sujet c’est les pommes, voici les tartes fines aux pommes que
j’ai fait pour ma Bobette qui me les réclame à cors et à cris.



Ingrédients :

  • Une pâte feuilletée (voir note plus bas)

  • une pomme

  • du sucre cassonade

  • de la cannelle

  • Un jaune d’œuf additionné d’un peu d’eau.


Mettre le four à chauffer à 200°.

Etaler la pâte, et avec l’aide d’un bol faire des cercles. Eplucher une
pomme et couper des fines lamelles dans les quartiers. Poser les lamelles sur
les ronds de pâtes en laissant un espace autour. Saupoudrer un peu de sucre et
de cannelle par-dessus. Mélanger le jaune d’œuf avec un peu d’eau et étaler sur
la pâte avec un pinceau. Mettre au four 10 mn en surveillant.


Pour la pâte feuilleté, les recettes sont légions sur les blogs. J’ai bien aimé les explications d’Anaik et surtout elle dit que si on a pas le temps, Monsieur Picard en fait une tout a fait délicieuse pour de l’industrielle. Dont acte.
En fait la pâte m’a en fait servi à faire une galette des rois et j’ai utilisé les chutes pour faire les tartes fines. voilà pourquoi il n’y a pas plus d’indications sur les quantités.


Quelque temps près avoir fait ma soupe aux panais, j’ai retrouvé un de ces légumes qui s’était caché sur mon plan de travail pour ne passer à la moulinette. Comme j’avais prévu un poulet rôti pour le déjeuner j’ai pensé le faire cuire avec quelques légumes.

 

J’ai d’abord fait griller le poulet sur toutes ses faces pendant 20mn. J’ai salé et poivré la bête, mis un peu d’eau au fond du plat et je l’ai fait cuire encore 20mn à 200°. Pendant ce temps là j’ai épluché et coupé en dés 3 carottes de taille moyenne, un quart de céleri, une dizaine de pommes de terre moyennes, un panais, un gros navet.


J’ai rajouté les légumes au plat et j’ai remis au four pour ¾ d’heure après avoir salé et poivrer les légumes. Pendant la cuisson j’ai surveillé le niveau d’eau et j’ai arrosé le poulet et mélangé les légumes.

 

Evidemment, mon Bob est resté sur sa première idée : si le panais avait été oublié c’est qu’il y avait une raison et il n’est pas nécessaire que je le sorte des oubliettes mais encore un fois moi j’ai aimé et ce mélange de légumes a quelque chose qui sort de l’ordinaire et accompagne très bien le poulet.

 

Une soupe au Panais, qui rentre dans la catégorie des légumes oubliés. Quoique on doit pouvoir dire légumes retrouvés maintenant.

Je dois vous avouer que ce ne fut pas considéré comme un grand succès par la moitié de la famille, Bob et p’tit Bob ont décrété que c’était un échec : Bob a déclaré que si ce légume avait été oublié ce n’était pas pour rien.  Alors que Mlle Bobette et moi-même étions contente du résultat obtenus. 

Comme pour toutes ces soupes, un passage au mixer plongeant de quelques minutes suffit. Evidemment le mien a choisi de me lâcher pile poil à ce moment là. Damned!

Ingrédients pour 4 personnes :

  • 750 gr de panais

  • 150 ml de crème liquide

  • sel et poivre

Éplucher les Panais, les couper en morceaux. Mettre les morceaux dans une casserole recouverts d’eau. Saler et faire cuire jusqu’à ce qu’un couteau transperce les légumes (environ 20mn).

Mixer les légumes et remettre à feu doux en rajoutant la crème et poivrer.

Un délice, un gout très doux entre la carotte et la châtaigne mais moins sucré que la carotte. Je vous le recommande!

Mon autre belle-soeur préférée nous a donné cette recette il y a quelques temps de cela. Mlle Bobette adore ce gâteau et nous en régale souvent. Lorsque j’ai demandé à La Grive ce qu’elle voulait que je lui fasse pour l’anniversaire de son Merle, elle m’a dit :  » le dessert ». Alors voilà un super moelleux au chocolat. Nous avons prévu de le décorer plus tard avec de la crème (pourquoi faire léger quand on peut faire autrement !) et des physallis.

Ingrédients :

  • 200gr de chocolat
  • 125 gr de beurre
  • 2dl de sucre en poudre
  • 3 œufs
  • ½ dl de farine

Mettre le four à préchauffer à 190°.

Faire fondre le chocolat au micro-ondes (entre 2 à 3mn selon votre four, mais surveillez le !). Faire fondre le beurre toujours au micro ondes (env 1mn30).

Ajouter le beurre au chocolat et mélanger. Ajouter le sucre, donner quelques coups de cuillères. Ajouter les œufs, bien mélanger. Et en dernier ajouter la farine. Mettre dans le moule de votre choix, je le fais autant dans un moule à cake que dans un moule rond).

Faire cuire 25mn au four. Tester si la cuisson vous convient, il ne doit pas être cuit au centre.

Gateau_chocolat

MAJ pour Léonie : Oui cela se mange les physalis (cela ne prend qu’un « l » je viens de vérifier) ou amour en cage :

.

Photos prise chez Wikipédia : http://fr.wikipedia.org/wiki/Physalis

 

Autre site :http://tous-les-fruits.com/fruit-7.html

En fait d’aprés ces sites toutes les physalis ne sont pas comestibles. Mais celles que l’on a mangé hier avec le gâteau étaient très bonnes : sucrées et un peu acides à la fois.

Alors le jour de la Sainte Lucie, qu’est qu’on fait? On boit du vin chaud, du café et on mange des Lussekatter ou des pepparkakor.

Un petit film avec la chanson de la Sainte Lucie

Les Lussekatter sont des gâteaux traditionnellement servis pendant la période de Noël en Suède. On les appelle aussi safransbullar ou brioches au safran. Fred en parle sur son blog. On peut leur donner plusieurs formes. Moi j’ai choisi de diminuer la quantité de safran pour ne pas effrayer mes invités, de rajouter de la pâte d’amandes pour adoucir un peu le goût et enfin j’ai utilisé un moule un peu particulier.

Ingrédients :

  •  100 gr de beurre
  • ¼ de litre de lait
  • 25 gr de levure de boulanger
  • une pincée de sel
  • ¾ de dl de sucre
  • 0,5 gr de safran
  • une pincé de sucre en poudre
  • entre 400 à 500gr de farine

Pour mettre dans les brioches :

  • du beurre
  • environ 100 gr de pâte d’amande

Pour décorer :

  • quelques raisins secs
  • Un jaune d’œuf avec un peu de lait.

Faire fondre le beurre dans une casserole, rajouter le lait et laisser chauffer à « température de doigt » c’est dire pas trop chaud ni froid, on doit pouvoir tremper un doigt sans se brûler env 37°.

Dans un petit bol mélanger le safran avec la pincée de sucre.

Dans un grand bol, émietter la levure. Rajouter le mélange lait-beurre. Mélanger, puis ajouter le mélange safran-sucre.

Ajouter le sucre puis la farine en mélangeant. Arrêter de mettre de la farine quand le mélange ne colle plus et prend la forme d’une boule souple.

Laisser reposer la pâte pendant 45 minutes sous un torchon dans un endroit pas trop froid et à l’abri des courants d’air.

Quand la pâte a levé, la mettre sur un plan de travail fariné. Travailler la pâte quelques instants et l’étaler avec un rouleau à pâtisserie, de manière à obtenir un grand rectangle d’un épaisseur de 0,5cm environ.

Mettre quelques copeaux de beurre sur la pâte, ainsi que des copeaux de pâte d’amande.

Rouler la pâte pour obtenir un rouleau.

Couper ce rouleau en part égales de 3cm de larges à peu prés. J’ai choisi de les mettre dans un moule beurré, mais on peut également les mettre dans des formes en papier ou sur une plaque qui va au four.

 Recouvrir d’un torchon et laisser lever pendant 35 mn.

Au bout de 10mn mettre le four à chauffer à 190°. Préparer un jaune d’œuf mélangé avec une cuillère à soupe de lait.

Quand la pâte a levé, appliquer le mélange œuf-lait avec un pinceau sur chaque brioche et mettre un raisin sec au milieu.

Mettre au four pendant 15mn. Laisser refroidir sous un torchon et voilà :

Pour une recette plus traditionnelle Fred nous indique celle-ci (ne me demandez pas ce qu’est le fibrex je n’en ai aucune idee) et pour une forme plus traditionnelle :

ou

Pour le glögg, entre autres j’ai servi un pain d’épices, j’ai fait un mélange d’une recette de Marmiton et de Anne (P&P). L’odeur du pain d’épices dans la maison c’est un rêve. Au finale, le résultat était extrêmement goûteux mais pas très esthétique : comme il n’avait pas levé il était carrément creux sur le dessus. Mais je pense que je referais comme ça quand même.

 

Ingrédients :

  • 250gr de miel
  • 120 ml de lait
  • 100 gr de beurre mou
  • 250 gr de farine
  • 1 sachet de levure chimique
  • 1 sachet de sucre vanillé
  • ½ cuillères à café de bicarbonate de soude
  • 1 cuillère à café de sel
  • 1 cuillère à café d’anis vert
  • 1 cuillère à café de muscade râpé
  • 1 cuillère à café de gingembre en poudre
  • 1 cuillère à café de cannelle

 

Faire préchauffer le four à 180°.

Faire chauffer le lait et le miel doucement. Enlever du feu et mettre le beurre à fondre.

Dans un bol mélanger la farine, la levure, le bicarbonate, le sucre et les épices. Versez le mélange lait-miel-beurre dessus en mélangeant doucement.

Verser dans un moule à cake et mettre au four pour 50mn.

Je l’ai laissé tranquille pendant une semaine dans du papier alu, et il était délicieux.