Ceci est une recette faite par ma mère lors de son dernier passage avec ce qu’il y avait sous la main. J’ai re-essayé et voilà ce que cela donne.

Ingrédients pour 6 personnes

  • 1 kg de viande de bœuf (comme pour faire un bourguignon)

  • 1 gros oignon (il faisait 200gr)

  • 2 gousses d’ail

  • 40 gr de gingembre frais

  • sel et poivre

  • 3 dl d’eau

  • 1 bouillon cube

Préparation :

Faites revenir les morceaux de viande dans une sauteuse avec une lichette d’huile, sur toutes ses faces pendant quelques minutes pour la saisir.

Eplucher et émincer l’ail et l’oignon.

Enlever les morceaux de viande et les couper en lanières, pendant ce temps faire revenir l’ail et l’oignon doucement dans la sauteuse avec une deuxième lichette d’huile pendant 5mn.

Eplucher le gingembre et le râper. Remettre la viande en lanière et le gingembre dans la sauteuse. Ajouter le sel, le poivre, le bouillon cube et l’eau. Couvrir et laisser cuire ¼ d’heure.

Servir avec du riz ou des pommes de terre à l’eau.

Pas de photo pour l’instant, on a tout mangé.

Boeuf_au_gingembre

Les Kanelbullar  sont des petits pains ou brioches qui se mangent souvent à la pause café d’où le nom kaffebröd (pain à café) ou fikabröd (pain de pause café ??).

Il en existe pleins de versions différentes entre autres sur Marmiton et chez Anne de Papilles et Pupilles avec la MAP.  C’est ma Madeleine à moi! Pour moi c’est mon trip Suèdois.

En principe on met dans la pâte des graines de cardamome, moi je préfère faire des bullar à la cannelle et puis des bullar à la cardamome.

Au fait Kanelbullar c’est le pluriel, au singulier on dit Kanelbulle. Et bulle veut dire boulette ou briochette dans le cas présent.

Pour environ 50 bullar (en principe cela dépend de la taille)

La pâte :

  • 100 à 150gr de beurre
  • ½ litre de lait
  • 50gr de levure de boulanger (comme les paquets que je trouve font 42gr, je m’en contente, mais du coup la pâte lève un peu moins)
  • ½ cuillères à café de sel
  • 1 à 1,5 dl de sucre (environ 100 à 150gr)
  • 15 dl de farine (environ 850gr)

Pour l’intérieur :

  • 100 gr de beurre
  • 100 gr de sucre
  • 1,5 cuillères à café de cannelle
  • 1,5 cuillères à café de cardamome

Pour le dessus

  • 1 jaune d’œuf
  • 2 cuillères à soupe de lait
  • une poignée de « perles de sucre » ou sucre à chouquettes

Préparation

Faire fondre le beurre, rajouter le lait. Dans un grand bol, émietter la levure. Quand le mélange lait-beurre atteint les 37° environ (on ne se brûle pas le doigt), le verser sur la levure et mélanger. On peut laisser reposer 2mn.

Rajouter les autres ingrédients : sucre, sel. Mélanger. Rajouter la farine petit à petit en mélangeant. La quantité de farine donnée est indicative, j’arrête d’ajouter de la farine quand la pâte se détache des bords du bol et fait une boule. Recouvrir d’un torchon, et laisser lever la pâte pendant 40 mn environ.  De préférence, ne pas laisser le bol dans les courants d’air ni dans une pièce trop froide.

 

Elle doit avoir doublé de volume.

 

Pétrir la pâte quelques instants sur le plan de travail fariné, la séparer en deux morceaux, et en mettre un de coté pour l’instant.

Etaler la pâte au rouleau en un rectangle (très approximatif); mettre dessus du beurre en tranches fines, saupoudrer de la moitié du sucre et de la cardamome.

 

Rouler la pâte et couper de tranches. Pour faire des bullar individuels je coupe des tranches de 3 cm environ. Pour mettre dans un moule je coupe un peu plus large.

 

Poser sur une plaque avec du papier sulfurisé ou dans un moule de type « moule mou ».

Recommencer avec la deuxième moitié de pâte, et répéter l’opération avec de la cannelle cette fois.

 

(toujours pas rectangulaire!!!)

Laisser reposer les kanelbullar sous un torchon pendant 30mn environ.

Au bout de 15 mn mettre le four à chauffer à 225° pour les bullar individuels ou 200° pour les moules.

Préparer dans un bol un jaune d’œuf avec le lait. Quand les bulle ont suffisamment levé, appliquer le mélange jaune d’œuf-lait avec un pinceau.

 

Saupoudrer dessus du « sucre perle ». (Celui ci je le trouve en Suède mais maintenant on le trouve facilement ici 🙂 )

Mettre au four entre 5 à 15mn les kanelbullar individuels et 10 à 20mn les moules selon la taille. Les recouvrir à la sortie du four avec un torchon, ils sèchent moins en refroidissant.

 

Remarques :

1° je fais des kanelbullar dans des moules parce que j’en fais des grosses quantités et comme ça ils sèchent moins.

2° Le sucre perle est bien entendu facultatif, comme j’en ai ramené de Suède, j’en utilise. Mais il me semble en avoir vu dans un super marché ici !!! Je sais plus ou.

3° La farine utilisé en Suède n’est pas de la même densité qu’en France, je trouve facilement ici de la type 45. Je pense qu’en Suède ce doit être de la type 55. Le résultat n’est pas tout à fait le même, mais «shit la meme » (=tant pis) comme on dit chez moi.

4° En principe les bulle à la cardamome (kardemmumabulle) ne se font pas comme ça, mais ….. shit la meme !!!

5° Pendant longtemps je ne trouvais pas de cardamome moulu mais maintenant j’en vois à tous les coins de rue, comme quoi il suffit de ne pas la chercher.

5° Le nom de étouffe chrétiens vient de mon père qui n’est pas Suèdois. CQFD

Alors le paradis sur terre pour moi, ce sont des bullar qui sortent du four avec une tasse de café au lait assise sur les rochers dans l’archipel de Stockholm regardant les bateaux passer. Ahhhh gros soupir !!

 

Les photos de la Suède viennent de http://www.objectif-suede.com/ . Un site que je vous recommande avec pleins de photos sympa.

Il était une fois ma bonne amie Véro, qui lors d’une invitation nous a fait goûter un super gâteau aux pommes d’après une recette Tupperware (elle s’appelle 1 2 3  etc. parce que il faut 1 mesure de ci, 2 mesures de ça, 3 mesure de ço etc.).

J’ai recopié la recette une fois, perdu la recette, redemandé la recette, fait le gâteau une fois, reperdu la recette (en principe je ne suis pas aussi bordelique je vous l’assure). Et puis j’ai oublié.

En farfouillant sur Marmiton, j’ai trouvé une recette de Gloria : Gâteau au pommes en deux fois, et les ingrédients faisait penser à la recette de Véro. J’ai oublié de préciser que cette merveille devait se préparer en deux fois.

Donc les recettes se ressemblent beaucoup, du moins d’aprés mes souvenirs.

Alors voilà la recette de Gloria

Et voici mes adaptations

  • 10 cuillères à soupe (15ml) de farine

  • 8 cuillères à soupe de sucre (j’ai mis de la cassonade)

  • 6 cuillères à soupe de lait

  • 4 cuillères à soupe d’huile

  • 2 œufs

  • 1 paquet de levure chimique

  • 4 pommes

Pour la 2ème partie :

  • 125 gr de beurre

  • 2 dl de sucre

  • 1/2 cuillères à café de cannelle

  • 2 œufs

Préchauffer le four à 180°.

Mélanger la farine, le sucre, le lait, l’huile, la levure et les œufs.

Verser dans un moule beurré ou dans un moule mou.

Rajouter les pommes, épluchées et coupés en petits morceaux.

Cuire au four pendant 30mn, le gâteau doit commencer à prendre de la couleur.

Pendant ce temps faire fonder le beurre dans une casserole avec le sucre et la cannelle. Hors du feu, rajouter les deux œufs et mélanger.

Verser cette préparation sur le gâteau, et remettre au four pour 20 à 25mn.

A défaut de cette recette, je demanderais bien à Véro ses explications (avec photos à l’appui) de sa tarte au sucre, elle diras comme d’habitude, mais c’est rien à faire, mais je n’ai pas le sucre qu’il faut (elle bien mon excuse non ?).

le_1_2_3_ou_gateau_aux_pommes

Le rösti est une galette de pommes de terre. Je penses qu’à l’origine c’est Allemand, mais comme en Suède on ne mange que de pommes de terre (ou presque), cette recette a été vite adopté.

Les quantités indiqués ci dessous sont à ajuster selon les appétits.

Ingrédients pour 4 personnes :

  • 500gr de pommes de terre

  • 1 oignon

  • de l’huile

Eplucher, puis râper les pommes de terre. Ensuite il faut mettre les pommes de terre râpées dans un torchon et essayer d’en extraire le maximum de jus.

Faire revenir un oignon haché dans de l’huile dans une poêle. Quand ils sont prêts, rajouter les pommes de terre. Les mélanger aux oignons et les aplatir de manière à faire une galette. Au bout de 3 à 4 mn baisser le feu. Attendre encore 6 mn puis retourner la galette en vous servant d’une assiette. Remonter le feu pour la galette grille un peu, puis baisser pour qu’elle cuise plus doucement pendant encore au total 10mn.

Elle doit rester moelleuse à l’intérieur. Servir chaud.

Rösti

 

Remarque : il est possible de rajouter des lardons dans cette recette juste après les oignons si l’on souhaite en faire un plat complet. Ou même des champignons.

MAJ du 2/10/06 : suite aux commentaires de Momo, (à lire ci-dessous), je vous précise que le rosti est Suisse. Qu’il faut faire cuire les patates avant de les raper avec une rape a rosti  qui ressemble à ça :

Comme dans les commentaires, il n’est visiblement pas possible de mettre des liens, voici les liens que Momo m’a envoyé:

http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%B6sti (ou comment tout savoir sur le rosti)

http://babel.lexilogos.com/forum/viewtopic.php?t=1414&sid=6b3f21f463bd886daa9f145f4b02f782

http://www.forums.supertoinette.com/recettes_182557.suisse_rosti.html

http://www.patate.ch/ ou comment tout savoir sur la patate suisse (il y a des recettes qui ont l’air sympa).

Merci Momo

Ceci est une recette tirée d’un magazine Suédois qui s’appelle Femina (je n’ai pas trouvé de lien curieusement). Ne sachant pas comment traduire Fiskgryta, j’ai fait une traduction littérale, mais on pourrait peut être dire du ragoût de poisson. 

 Ingrédients pour 6 personnes :

  • 400 gr de cabillaud surgelé

  • 400 gr de saumon surgelé

  • 20 gr de beurre

  • 1 oignon

  • 1 poireau

  • du fond de poisson ou fumet de poisson

  • 200 gr de champignons de paris

  • 1 à 2 cuillères à soupe de farine

  • 2 cuillères à soupe de crème fraîche

  • 1 cuillère à soupe de moutarde

  • 1 dl de vin blanc

 

Mettre le beurre à fondre, rajouter les oignons et les laisser revenir doucement. Rajouter le poireau coupé très finement. Quand l’oignon et le poireau ont « fondu », mettre la farine et mélanger de manière à ce que les légumes en soient recouverts. .

Pendant ce temps préparer le fumet de poisson avec de l’eau chaude de manière à obtenir ¼ de litre de bouillon.

Rajouter le bouillon dans la casserole, le vin puis la crème et la moutarde.

Quand le mélange est chaud, rajouter le poisson coupé en morceaux. Laisser cuire environ 10 mn. Enlever de feu et laisser reposer encore 10 mn.

Au dernier moment nous avons rajouté des haricots verts (cuits) coupés en morceaux, qui nous restaient de la veille.

 

Nous l’avons servi avec du riz, mais je pense qu’avec des pommes de terre à l’eau ce doit être bon aussi.

casserole de poisson

Pour le porc j’utilise en fait toujours la même marinade, mais cette fois ci pour ce sauté de porc plus ou moins chinois j’ai fait sauter la viande.

Donc pour 5 personnes:

  • 800gr à 1 kg de sauté de porc

  • un oignon

  • une gousse d’ail

  • de la coriandre

  • huile d’olive

Faire macérer la viande entre une à deux heures dans la marinade. Dans une sauteuse faire chauffer de l’huile d’olive. Mettre l’oignon et l’ail coupés en petits morceaux. Faire revenir pendant cinq minutes à feu moyen pour qu’ils prennent de la couleur.

Augmenter la température et faire sauter la viande pendant 10 à 15 mn. Servir avec du riz et un peu de coriandre par-dessus.

Sauté de porc

Je ne sais pas si c’est très chinois d’ou le titre mais je le rentre quand même dans cette catégorie! 😉

Pour écluser les tomates du jardin, une autre solution c’est le coulis de tomates. Malgré la simplicité de cette recette, je suis allée voir sur Internet ce qu’il en était, Gloria de La cuillère en bois nous montre la fabrication en directe et une manière intéressante de concentrer la coulis. N’ayant pas de moulin à légumes j’ai préférée peler et épépiner les tomates avant de les faire cuire, donc je n’ai pas suivi à la lettre les conseils de Gloria mais voilà :

  • 3kg de tomates
  • 400 gr d’oignons
  • Huile d’olive
  • Sel et poivre
  • Herbes du genre Thym et/ou romarin ou basilic

Mettre à chauffer l’huile dans une sauteuse, mettre les oignons coupés en petits morceaux à revenir sur feu moyen.

Pendant ce temps éplucher les tomates, enlever les pépins et les couper en morceaux. Quand les oignons ont pris un peu de couleur, rajouter les tomates et les herbes choisis. Saler et poivrer et laisser cuire à feux doux pendant une heure.

J’ai ensuite passé la mixture au bâton mixeur, de manière à avoir un mélange homogène.

Pour épaissir mon coulis, je suis revenu à la recette de Gloria (qui l’explique très bien en photos). Poser un torchon sur le bol contenant le mélange et recueillir l’eau qui passe à travers avec une louche posé sur le torchon. Répéter l’opération jusqu’à la consistance désirée.

Coulis de tomates      Coulis de tomates

Ensuite je me suis attaquée à la mise en pots. J’ai acheté chez Casa des bocaux en verre avec des couvercles qui se vissent. J’ai suivi en cela les conseils de Vincent le canneux. C’est un fan de la conserve en pots en verre, et il a pleins de bons conseils.

Coulis de tomates

Mais pourquoi pas congeler la sauce, me direz vous. Mais parce que j’ai un congel qui est déjà plein et que cela fait longtemps que je voulais essayer la conservation en bocaux stérilisés.

Donc des bocaux en verre avec un couvercle qui se visse (et se change à chaque utilisation) Au modeste prix de 2€75 le bocal de ½ litre cela commence à faire chère ma petite lubie de conserves. (J’aurais aussi vite fait d’aller acheter du coulis tout prêt mais il est vraie que je n’aurais pas l’immense satisfaction de pouvoir dire : « C’est moi qui l’ai fait ». )

J’ai nettoyé les bocaux, puis je les ai plongés dans l’eau bouillante et je ne vous raconte pas la galère pour aller récupérer des pots dans l’eau bouillante. Ensuite j’ai rempli les bocaux avec le coulis, jusqu’à 1 cm du bord. J’ai vissé les couvercles sans forcer puis j’ai remis les pots dans l’eau bouillante (aie aie) : il faut pas les lâcher sinon ils risquent de se casser donc comment faire. J’ai mis un torchon au fond et ensuite j’ai lâché mes pots. 35 minutes dans l’eau. Et maintenant je fais comment pour récupérer mes pots !!! Ahhhhhh. Bon je laisse tomber. Ils refroidiront dans l’eau.

Coulis de tomates

Les couvercles se sont bien creusés. Je pense que c’est bon.

Conclusions :

  • Primo : pour stériliser j’avais une énorme marmite donc là pas de problèmes mais il fait vraiment que je trouve une solution pour rattraper mes pots sans m’ebouillanter.

  • Deuxio : Je n’ai pas tenu compte du temps de stérilisation dans mon temps de cuisson du coulis donc à priori j’ai du coulis trop cuit maintenant.

Bref, ce n’est pas encore au point. Entre la préparation (éplucher trois kg de tomates), la cuisson puis la stérilisation, j’ai passé quelques heures. En plus j’ai payé mes pots une fortune. Bon je n’ai pas payé mes tomates, mais j’ai fait un coulis de luxe. Je sens qu’il va falloir trouver  autre chose de moins « bouffeur de temps » à stériliser.

Je n’avais jamais fais de risotto, je n’avais même jamais goûté de risotto. Mais les recettes que j’avais lues me semblait répondre à mon critère principal de simplicité et accessoirement de rapidité.

Donc un jour j’ai acheté du riz Arborio et il ne me restait plus qu’à trouver une recette, autre que celle indiqué au dos du paquet. Et puis j’ai oublié jusqu’à la semaine dernière ou je suis tombé sur ce livre chez mon marchand de journaux préféré :

 

Ce petit ouvrage contenait une recette de Risotto aux fruits de mer. Après avoir fait le tour de la famille et conclue que ce serait pizza pour trois et risotto pour deux j’ai un peu modifié les quantités. Je vous indique ici les quantités pour six, faites la division si vous le souhaitez :

Ingrédients : 

  • 1 kg de fruits de mer mélangés (merci Mr Picard.)

  • 400 gr de riz Arborio

  • 200 gr d’oignons émincés (je n’ai pas utilisée du surgelé)

  • 15 cl de vin blanc

  • 3 tablettes de bouillon de volaille

  • 100 gr de parmesan râpé

  • 1 gousse d’ail

  • 1 bouquet de persil plat (j’ai encore utilisée du surgelé)

  • 80 gr de beurre

  • sel et poivre

Faire fondre 30gr de beurre dans une cocotte et mettre les oignons à revenir doucement pendant 5mn. Ajoutez le riz et remuez jusqu’à ce qu’il soir translucide. Pendant ce temps faire chauffer 1,5 litres d’eau pour dissoudre les bouillon cubes émiettées.

Mettre le vin dans la cocotte et monter la température pour faire évaporer le vin. Salez et poivrez, ajouter un peu de bouillon et mélanger. Quand le bouillon a été absorbé par le riz, en rajouter et recommencer jusqu’à ce qu’il n’y en ait plus.

Dans les mêmes temps faire revenir les fruits de mer dans une poêle avec du beurre. Remuer jusqu’à ce qu’il n’y ait plus d’eau. Ajouter l’ail pelé et pressé et le persil. Faire cuire environ 5 mn.

Quand le risotto a absorbé le bouillon, le retirer du feu, rajouter 20 gr de beurre et le parmesan, mélanger. Rajouter les fruits de mer, mélanger. Couvrir et laisser reposer 5mn avant de servir.

Risotto aux fruits de mer

J’ai adoré cette recette, le riz est crémeux à souhait. Comme j’aime particulièrement l’odeur des fruits de mer associés à de l’ail et celle des oignons-beurre-vin blanc j’ai vraiment aimé faire cette recette.

Petit aparté : Le groupe Marie Claire et plus particulièrement Le magazine Cuisine et Vins de France édite plusieurs de ces petits livres fort bien fait avec des recettes simples et que je trouve bonnes.

PancakesBob Junior revient d’un séjour aux US où il a passé tout son temps à manger et à regarder la télé. Pour apprendre l’Anglais, c’est pas mal. A part les kilos qu’il a pris, il est revenu avec un enthousiasme délirant pour les pancakes au beurre de cacahuètes et au sirop d’érable.

Pour ceux qui pourraient croire que j’ai fait une faute, j’insiste des pancakes avec du beurre de cacahuète et par dessus une rasade de sirop d’érable. J’en frémis rien que d’y penser.

Je ne vois pas du tout où il peut y avoir une ombre d’équilibre diététique dans cette description. En plus il a réussi à entrainer sa sœur et son frère dans son délire. Donc Dimanche soir ils voulaient manger des pancakes.

Je leur ai sorti la recette trouvé sur le Oueb, mais par contre je ne peut pas rendre à César ce qui lui est dû. Je n’ai pas noté à l’époque le nom du blog où j’ai chipé cette recette.

Je vous donne la recette telle quelle (mais les enfants ont fait double dose : ils avaient un peu faim ce soir là).

Ingrédients :

  • 2 œufs
  • 3 dl de lait
  • 1 cuillère à soupe de sucre
  • 200 gr de farine
  • 1 pincée de levure chimique.

Mélanger d’abord les ingrédients liquides puis ajouter la farine et la levure. Laisser reposer 20mn.

Mettre une louche dans la poêle beurrée, bien chaude et retourner quand les bulles commencent à être visibles.

Mettre de coté, au chaud sur une assiette, elle-même posée sur une casserole d’eau frémissante.

Servir chaud avec du beurre et du sirop d’érable, pour les cinglés de beurre de cacahuète étalez du beurre de cacahuètes sur la pancake, puis verser du sirop dessus. Bon Ap !

PS : c’est aussi très bon avec du Nutella.

Ptit'BobVoici une recette de Roses des sables de Ptit’ Bob. Il l’a faite au Centré aéré il y a quelques années. Je pense qu’elle vient d’un dos de paquet de céréales d’une marque connue. D’ailleurs ce n’est pas moi qui ai fait la recette mais Ptit’ Bob en personne. J’ai juste fait l’assistante.

Pour 18 biscuits :

  • 85 gr de Corn Flakes

  • 100 gr de beurre

  • 15 gr de chocolat

  • 70 gr de sucre glace

Faire fondre le beurre et le chocolat dans une casserole. Ajouter le sucre glace en mélangeant. Verser les Corn Flakes dans un saladier, puis verser par-dessus le mélange au chocolat. Mélanger doucement sans briser les pétales de Corn Flakes.

Nous avons utilisé une plaque en téflon avec des alvéoles. Remplir chaque alvéole d’une cuillère du mélange. Laisser reposer quelques minutes avant de servir. Vu la température qui règne ici, pour les faire durcir jusqu’à l’heure du goûter nous avons mis la plaque au frigo.

Rose des sables

Après l’effort, le réconfort. Il fallait bien nettoyer le bol!

J’ai trouvé la recette  de la Marmouna ou Tchouchouka chez Anna Mes mets et moi. Elle explique que c’est une recette juive tunisienne de salade de légumes.

La recette m’a tenté mais pas dans ses quantités alors voilà ce que j’ai essayé.

Ingrédients :

  • Deux poivrons rouges
  • Un poivron jaune
  • Quatre tomates
  • Deux gousses d’ail
  • Deux cuillères à soupe d’huile d’olive

Couper les poivrons en lanières, les tomates en dés, l’ail en morceaux. Mettre l’huile d’olive dans une casserole, rajouter les légumes, du sel et du poivre. Faire mijoter à feu doux pendant deux heures en mélangeant et éventuellement en rajoutant de l’huile d’olive.

Laisser refroidir puis servir.

 

En effet c’est trés bon mais les peaux des poivrons me gênent un peu, il va falloir trouver une solution pour les enlever et ce sera parfait.

L’an dernier une amie m’a offert un pot de chutney de tomate vertes en me précisant que c’était délicieux avec les fromages de chèvres et le foie gras (en toute simplicité bien entendu). Effectivement. Tellement bon d’ailleurs que j’en ai fait cette année.

 

Les tomates vertes sont (en principe) cueillies en fin de saison quand on arrache les plants de tomates qui ne vont plus mûrir pour cause d’absence de soleil.

Moi je n’ai pas pu attendre parce que je voulais faire un essai avant de me retrouver avec X kg de tomates et pas de recette éprouvée. Donc j’en ai profité pour alléger certaines de mes plantes.

J’ai fouillé sur Marmiton et j’ai trouvé plusieurs recettes, j’ai également trouvé chez Lady Marmelade  une confiture et un chutney avec de l’estragon. J’ai fait un mélange et voilà ce que j’ai fait :

 

 Ingrédients :

  • 700 gr de tomates vertes
  • 500 gr de sucre (j’ai utilisé de la cassonade)
  • 1 citron pressé
  • 2 cuillères à soupe de vinaigre de cidre

Couper les tomates en morceaux, mélanger avec le sucre et le jus de citron. Laisser macérer pendant 24h environ. Mettre à cuire à feu doux, (comme je trouvais que cela faisait trop confiture, j’ai rajouté le vinaigre de cidre). A un moment j’ai arrêté la cuisson et j’ai utilisé mon mixeur bâton parce que les morceaux restaient trop gros. Ensuite reprise de la cuisson jusqu’à ce que le test de la cuillère de mélange se fige sur une assiette. Mettre dans des pots stérilisés (ou du moins passés à l’eau très très chaude). Mettre les pots à l’envers.

 


Petite remarque après l’avoir goûté : je pense que je mettrais un peu moins de sucre la prochaine fois mais sinon c’est très bon.

 

Mademoiselle Bobette me réclame un bœuf bourguignon depuis des mois. Après des explications sur le plaisir de manger des plats en sauce l’hiver, et à priori pas pendant la canicule , j’ai finalement abandonné, et malgré nos 26°à 7h du soir nous avons, hier soir, mis en route ce plat qu’elle aime tant pour ce soir. Pourquoi hier ? Mais parce que c’est encore meilleur quand c’est réchauffé !!!

    

Ingrédients :

  • 125 gr de lardons
  • 1,3 kg de viande de bœuf
  • 250 gr de champignons
  • 2 oignons
  • 2 cuillères à soupe de farine
  • 500 gr de carottes (environ 4 carottes)
  • 1 gousse d’ail
  • ¾ de litre de vin rouge (de préférence de bourgogne, mais j’ai pris du cru local)
  • une pincée de thym
  • sel et poivre

Faites revenir dans une sauteuse les lardons et la viande coupé en morceaux (très petits m’a dit Mlle Bobette, moyen ai-je tranché) pendant une dizaine de mn. Rajouter les oignons coupés en lamelles puis les champignons. Faire cuire quelques minutes. Saupoudrer de la farine et bien mélanger. Mettre les carottes coupées en rondelles dans la sauteuse, l’ail coupé en morceaux, puis le vin. Ajouter le thym puis saler et poivrer. Laisser cuire à feu doux pendant 2h30. Attendre le lendemain, pour éventuellement dégraisser puis réchauffer.

Remarque : il est clair que 1.3kg de viande pour cinq cela fait beaucoup. Mais comme ça je suis sure qu’il m’en reste pour le lendemain.

Il n’y a pas de photos parceque je trouve que le Boeuf en sauce n’est pas trés photogénique pour pas dire carrément mochebouillesque.


Ce n’est pas très original, mais comme c’est très bon je vous explique comment je fais.

Alors faire chauffer le four à 200°. Laver un (ou deux ou trois) poivron rouge (ou orange ou jaune). Le mettre dans un plat au four, pendant 30 à 45 mn. Le retourner à mi-course et le sortir quand il ressemble à ça :

poivrons grillés

 C’est-à-dire la peau un peu grillée mais pas brûlée. 

Ensuite, les techniques divergent, certains se brûlent les doigts en essayant d’enlever la peau tout de suite.

D’autres recommandent de mettre le poivrons dans un sac plastique quelques minutes pour ensuite enlever la peau sans se brûler les doigts (ce que l’on a certainement déjà fait en mettant le poivron dans le sac).

Et puis il y a la méthode Annika-Panika-la flemmarde. C’est-à-dire qu’on ne fait rien, à part attendre que le poivron ait refroidi. Et là on enlève la peau délicatement du poivron.

En principe il est tellement cuit, que il se « déchire » en lambeaux que l’on met dans un petit bol, en évitant de mettre les graines blanches (qui cela étant dit, n’ont jamais empoisonné quelqu’un à ma connaissance). On peut mettre le « jus » du poivron avec.

Ensuite on verse un filet d’huile d’olive (Château Virant par exemple (j’en ai même vu chez Carrouf aujourd’hui)) et un peu de sel.

poivrons grillés

A mon avis cela suffit. On le sert comme ça à manger sur des tartines ou en accompagnement d’autres petite douceurs d’été style caviar d’aubergines (d’ailleurs en général je fais le caviar et les poivrons en même temps) ou taboulé.

 

Pour les spareribs ou travers de porc, j’ai utilisé la sauce barbecue déjà décrite, en ajustant les quantités pour accommoder.

Les travers de porc ont mariné pendant plus de 12 heures au frais.

Ensuite comme les brochettes, on peut utiliser le four ou le barbecue. Pour le four compter ½ heures en les retournant. Sur le barbecue pendant 15 à 20 mn selon leur taille. Voilà ce que cela a donné :

Après le taboulé avec de la semoule de Luolan, voici un taboulé Libanais au Boulghour. Moi j’aime les deux. Ils sont très différents. Mes enfants préfèrent celui de Luolan.

Après avoir regardé dans mes livres de cuisine et sur Marmiton, voici ce que j’ai fait :

  • 6 tomates

  • 2 oignons blancs

  • 1 botte de persil frisé

  • 1 botte de persil plat

  • 1 botte de menthe

  • 1 grosse poignée de boulghour

  • 1 citron

  • 4 cuillères à soupe d’huile d’olive

  • du sel

Mettre le boulghour dans un bol d’eau et le laisser gonfler une dixaine de minutes, puis l’essorer avec les mains et le mettre dans un saladier.

Trier les bouquets de persil et de menthe. Enlever les plus grosses tiges en gardant les feuilles. Pour laver et égoutter les feuilles j’utilise mon essoreuse à salade.

Mettre des feuilles dans un verre et les couper en petits morceaux avec des ciseaux, verser dans le saladier, recommencer jusqu’à ce qu’il n’y ai plus de feuilles.

Eplucher les tomates, et les couper en petits morceaux, pareil avec les oignons. Les mettre dans le saladier.

Presser le citron, verser dans le saladier, rajouter l’huile d’olive et le sel.

Comme le boulghour est encore un peu croquant, je le mets quelques heures au réfrigérateur avant de le manger.

Pour imprimer : Le_taboul__Libanais